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Le peuple invisible. Enquête sur les délaissés de la République

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Dossier

Albums, romans : une sélection de 20 livres jeunesse pour Noël 2020

La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.

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Dossier

Chroniques anti-isolement à travers L’Âme des peuples

« Parce que pour connaître les peuples, il faut d’abord les comprendre. » Cette présentation de la collection l’Âme des peuples, montée en 2013 par les éditions Nevicata, résume à elle seule toute la situation mondiale.

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Dossier

Le catalogue des nouveautés éditeurs de la rentrée

Les éditeurs planchent depuis des mois, les auteurs ont réécrit leurs livres... et voici le grand moment : la présentation des nouveautés aux libraires. Alors, quoi de bon à se mettre sous la dent ?

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Dossier

Vois Lis, Voix Là : le podcast de ActuaLitté

Avec le développement fulgurant du livre lu, c’est toute une dimension audio qui se développe désormais dans le monde du livre. Ce qui devait pousser la rédaction à diversifier ses approches, avec la création d’un podcast dédié. Des livres, des auteurs, des lectures, des chroniques, et bien d’autres choses encore.

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Dossier

Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

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Dossier

Les Imaginales 2023 : Le futur de la cité

Depuis sa création en 2002, le festival des Imaginales a su s'imposer comme l'un des rendez-vous majeurs des Littératures de l'imaginaire. Des milliers de passionnés se rassembleront à Épinal, du 25 au 28 mai prochain, pour découvrir les derniers ouvrages de science-fiction, fantasy, horreur... 

Extraits

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Sociologie politique

Le peuple invisible. Enquête sur les délaissés de la République

2019. Le mouvement des Gilets jaunes met en avant le peuple des invisibles, le peuple des "sans" - sans voix, sans visage, sans porte-parole, sans représentation, sans revendications précises. Qui sont-ils, d'où viennent-ils ? Ils restent insaisissables, car si des enquêtes, un film, des livres leur ont été consacrés, les invisibles ne se donnent à voir qu'au moment où ils deviennent visibles. Le groupe de travail mis en place par les Poissons Roses s'est attaché à démontrer combien cette notion révolutionne notre approche des rapports politiques au sein d'une société qui, bien que toujours ancrée dans l'Etat-providence, bascule inéluctablement dans la société liquide décrite par Zygmunt Bauman. Dans ce rapport, ils font trois propositions concrètes pour que les invisibles ne soient plus des laissés-pour-compte.

05/2021

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Sociologie

Les invisibles de la République

Ils s'appellent Gaëlle, Charlotte ou Julien. Ils vivent dans un village de l'Allier, à Cerbère, sur la Côte Vermeille, ou à Neufchâteau, dans les Vosges. Ils sont jeunes, compétents, et cherchent aujourd'hui leur voie professionnelle. Le champ des possibles devrait leur être grand ouvert. Pourtant, leur horizon est largement bouché. Parce qu'ils grandissent loin des centres de décisions, à l'écart des flux économiques, parce qu'ils résident au coeur de petites villes, dans des zones pavillonnaires, des villages ou des espaces ruraux, 60 % de nos jeunes n'ont pas les mêmes chances de réaliser leur potentiel que leurs camarades des grandes métropoles. Ces millions de Français, absents du débat public et dispersés sur le territoire, ont un point commun : le parcours d'obstacles qui s'impose à eux. Autocensure, manque d'informations, assignation à résidence, fragilité économique, absence de réseaux, fracture digitale... ils cumulent les difficultés et, pire, se sentent ignorés. Hors radar. Les Invisibles de la République apporte un éclairage inédit sur les questions d'égalité des chances et propose des solutions pragmatiques, issues du terrain. La jeunesse de la France périphérique n'a plus à subir ce déterminisme territorial. Pour eux, pour nous, il faut agir !

01/2019

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Manga

Peuple invisible

Les histoires réunies dans ce volume complètent La promesse, achevant de rendre disponible l'intégralité des récits composés par Shohei Kusunoki. Elles ont pour la plupart été publiées dans Garo la légendaire revue d'avant-garde fondée en 1964 qui a révélé des auteurs aussi incontournables que Yoshiharu Tsuge Yoshihiro Tatsumi (édités tous deux chez Cornelius), accompagnant pendant les décennies 1960 et 1970 une jeunesse réfractaire au conservatisme de la classe dirigeante. Shohei Kusunoki a imaginé ces histoires entre 1968 et 1974 dans un Japon qui cherchait à se réinventer par une course à la modernité peu soucieuse du sort des classes populaires. Comme son ami Susumu Katsumata (Neige rouge, Cornelius), il fut marqué par l'apparition de Yoshiharu Tsuge, qu'il fréquenta à cette époque et dont l'influence se retrouve dans plusieurs des récits regroupés ici. Délaissant le registre contemporain sans renoncer à parier de son époque, Shohei Kusunoki s'attache à décrire avec justesse la vie du peuple, tout en lui insufflant une dimension épique. Au travers de genres aussi codés que le conte traditionnel ou le récit de samouraï, il décortique l'ambiguïté des rapports humains. Mettant à nu les sentiments qui unissent les êtres, les raisons pour lesquelles ils s'attirent et les malentendus qui les séparent, Shohei Kusunoki parvient, à travers un style limpide, à exprimer ce qui ne l'est pas. Un auteur immense qu'il est urgent de redécouvrir et de célébrer. Shohei Kusunoki est né le 17 janvier 1944 à Tokyo. souffre très jeune de graves problèmes cardiaques qui l'éloignent de l'école et le contraignent à rester le plus souvent inactif. C'est pendant : ces longues journées d'école buissonnière forcée que le jeune Shohei développe son intérêt pour les mangas, qu'il loue dans les librairies de prêt de son quartier. Il fonde un fanzine avec quelques ara qui aspirent comme lui à devenir mangakas. Ses auteurs favoris sont alors Tokao Saitô (Golgo 13, Glénat) ou Hiroshi Hirata (L'Ame de Kuydo, Akato). Mais son admiration se concentre plus particulièrement sur le grand Sanpei Shirato (Kamui-den, Kana), dont Shohei Kusunoki deviendra l'assistant en 1961, à dix-sept ans. Il publie ses propres histoires en tant qu'auteur à partir de 1964, notamment dans la revue Garo où il portage ne saine émulation auprès de Shin'ichi Abe (Un Gentil Garçon, Cornelius), Yoshiharu Tsuge (anthologie en sept volumes chez Cornelius) et Susumu Katsumata (Poissons en eaux troubles, Le Lézard noir), avec lequel il partagera un véritable compagnonnage. Cette carrière prometteuse est malheureusement interrompue par la maladie, qui le rattrape pendant l'été 1973.Il décédera l'année suivante à l'âge de 30 ans, avant que ne soient publiés les recueils qui lui valent le souvenir ému de ses admirateurs, dont nous espérons que cette traduction accroîtra le nombre.

06/2020

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Actualité et médias

La bulle de la République. Enquête sur le Sénat

Le Sénat, chambre dite " haute " de la démocratie parlementaire française, est un drôle d'endroit, une " bulle " au sein de la République, en plein centre de Paris mais loin des fureurs de la ville. L'endroit est superbe, les rémunérations et les avantages en tous genres sont royaux. Il s'y livre des combats feutrés dans une ambiance florentine qui contraste avec l'agitation médiatique de l'Assemblée nationale. Le grand public n'est pas témoin des tractations et des trahisons auxquelles donne lieu en particulier l'élection du président du Sénat. Luxe, calme et volupté. Confidentialité et... inutilité ? Certains dirigeants, scandalisés par cette " bulle " dont ils voyaient bien les défauts ont tenté en vain, au fil des temps, de réformer une institution dont ils discernaient mal les services qu'elle rendait à la République. Tous, du général de Gaulle à Lionel Jospin, s'y sont cassé les dents. Si le Sénat a la peau si dure, c'est qu'il sert les intérêts de la classe politique. Refuge pour les recalés du suffrage universel ou les mis en examen, maison de retraite de luxe pour hommes politiques sur le déclin, sas de décompression entre deux campagnes, il rend bien des services. Pour la première fois, le fonctionnement, les dysfonctionnements, les zones d'ombre et la culture particulière du lieu sont passés au scanner par un journaliste connaissant tous ses secrets et n'hésitant pas à mettre les pieds dans le plat - pour parler, par exemple, de l'influence des francs-maçons, des complicités contre-nature, du rôle des lobbyistes ou des avantages consentis aux élus comme au personnel...

02/2006

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Actualité et médias

La caste des 500. Enquête sur les princes de la République

La politique est leur métier. Leur unique métier. Ministres, parlementaires, de droite ou de gauche, mais aussi maires ou présidents d'exécutifs locaux, ils exercent dans leur fief un pouvoir quasi monarchique et, par le jeu du cumul des mandats, jouissent d'invraisemblables privilèges dont ils assurent eux-mêmes la pérennité. Comment s'intègre-t-on au sein de cette caste qui accorde rarement son onction à ceux qui sont issus de la société civile? Combien gagnent-ils? Comment vivent-ils ? Pourquoi sont-ils pour la plupart hostiles aux réformes qui les concernent? S'appuyant souvent sur le témoignage des intéressés eux-mêmes, cette enquête dénonce le vrai prix de la démocratie de représentation, et en dévoile les abus. Elle démonte les effets pervers du cumul des mandats, démasque le secret des couples politiques, des dynasties de notables, et révèle le profil des "traîtres ", transfuges d'un bord politique à l'autre. Elle cible une race de politiciens aguerris qui mène grand train et, garante du système, en exploite tous les avantages.

01/2010

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Actualité et médias

Aux frais de la princesse. Enquête sur les privilégiés de la République

Héritiers de privilèges d'un autre âge, ils occupent, aux frais de la princesse, des adresses de rêve, cumulent salaires, primes et indemnités, vivent aux crochets d'un État, certes républicain, mais d'essence monarchique, voire féodale. Qui sont ces nantis ? Au nom de quoi bénéficient-ils de cet art de vivre si centralisation du pouvoir contribue-t-elle à réunir dans les mains d'une seule personne les clés de 6 000 postes de dirigeants des ministères, des grands services publics ou des sociétés nationalisées ? Impossible de comprendre la France d'aujourd'hui et les enjeux des réformes qui s'imposent, sans lever le voile sur les avantages attachés au statut des grands corps de l'État et de 15 000 hauts fonctionnaires qui constituent le vivier des grands commis de la République, sans se référer au contexte historique dans lequel s'inscrivent ces faveurs.

01/2011

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