La folle histoire du système solaire

Zimbabwe : un système scolaire à la dérive

La Cour des comptes épingle le système scolaire français

Si un récent sondage montrait que les jeunes enseignants s'estimaient peu reconnus, voilà une nouvelle étude qui montre que 58 % des Français ne sont pas satisfaits de la qualité de l'enseignement donné à leurs enfants, rapporte l'AFP.  

Dans une interview publiée par le journal « Le Monde » vendredi dernier, le directeur de l’éducation pour l’OCDE, Andreas Schleicher, passe en revue l’éducation française. Et il n’est pas très impressionné. Il met notamment en avant un système trop académique, les inégalités persistantes et le peu d’attractivité pour les enseignants. 

Au premier rang des objectifs de la stratégie Europe 2020, l’Europe a fait figurer la lutte contre les sorties précoces du système scolaire. Dans une Note d’information de mars 2015, la Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP) fait un état des lieux de cette problématique.

La direction de l'éducation et des compétences de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) vient de publier son rapport annuel 2015, Regards sur l’éducation. Ces ressources statistiques présentent en creux les nombreux problèmes que rencontre aujourd’hui le système français. Cependant, et il ne faut pas le nier, le système scolaire français possède encore aussi d'importants atouts.

Seuls 50 % des enfants réfugiés suivent un enseignement primaire et 25 % des adolescents réfugiés un enseignement secondaire. C’est ce qui ressort d’un nouveau document d’orientation, intitulé « Plus d’excuses » et publié conjointement par l’UNESCO dans le Rapport mondial de suivi sur l’éducation (Rapport GEM) et par le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) en amont du Sommet mondial sur l’action humanitaire qui se tiendra à Istanbul (Turquie) les 23 et 24 mai. 

L'éducation profitera-t-elle de l'essor numérique ? C'est incontestable, soulgien Digital Publisher dans son livre blanc. Un ouvrage qui réunit les éléments actuels sur l'édition et le lien qui peut se tisser entre enseignants, élèves et ebooks.

L'UNESCO et son institut de statistiques ont dévoilé les dernières données sur l'éducation dans le monde, avec une attention particulière portée aux plus jeunes. En 2016, un jeune sur cinq reste exclu du système éducatif, soit 263 millions d'individus dans le monde entier : un chiffre qui n'a pas vraiment bougé sur les 5 dernières années, déplore l'UNESCO.

A en croire Andreas Schleicher, directeur de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), dans les colonnes du Monde, « En France, l’enseignement n’est pas pertinent. » (voir notre article). Cependant, quand on épluche par le menu la dernière publication de cette organisation, « Regards sur l’éducation 2014 », qui compte 590 pages, on peut en extraire quelques points positifs.

Depuis le début de l'année 2022, les panneaux photovoltaïques placés sur le toit de l'école Albert Thomas, à Bordeaux, couvrent les besoins en électricité de la bibliothèque Mériadeck, plus grande bibliothèque de la ville. Un véritable projet d'autoproduction, qui devrait bientôt s'étendre à toute la ville. 

Insolite : Histoire de l'uniforme scolaire au Japon

Information ActuaLitté : Suite à la conférence de presse organisée par les deux nouveaux partenaires, les librairies Chapitre.com et Sony, plusieurs informations sur le devenir de l'offre commune aux deux sociétés ont filtré. C'est évidemment par la présence d'un ebookstore Chapitre dans les nouveaux lecteurs ebook de Sony, le PRS-T2 que tout commence...

Le prix Mieux comprendre l’Europe est organisé en partenariat avec l’Institut Jacques Delors. Depuis 2009, il récompense des ouvrages permettant de mieux comprendre l’organisation européenne dans son ensemble. En partenariat avec ActuaLitté, le jury présente ses chroniques des différents titres retenus. Aujourd'hui, Le Syndic : une folle histoire des Européens, de Gonzague Dejouany.

Au début des nineties, une décennie avant Internet, le Minitel a permis à des milliers de personnes d’assouvir des fantasmes inavouables. Ex-directeur commercial devenu son propre éditeur, Pierre March revient sur la douloureuse histoire de Marine, jeune chercheuse en génétique, rencontrée via un 3615, et qu’il initie au sadomasochisme. Ayant défini le cadre d’une relation maître-esclave, les deux protagonistes, en couple dans la vie « réelle », se retrouvent dans divers hôtels, et s’adonnent à des pratiques de domination, avant de s’éprendre l’un de l’autre… Par Étienne Ruhaud.

Ce 1er septembre sortira le « Nouveau Manuel d’Histoire », écrit par Dimitri Casali, aux Éditions La Martinière. De son propre aveu, il s’agit d’un « manuel de résistance à la réforme : un anti-manuel pour combler les lacunes des programmes scolaires ». Si l’ouvrage s’adresse avant tout aux élèves, il sera décliné en plusieurs versions, dont une numérique, enrichie et gratuite. Mais le manuel s’inscrit également dans une tout autre approche pédagogique. Entretien.

Ça ressemble au comble du charognard, mais ce n'est finalement qu'une conséquence du contrat que la chanteuse avait signé avec HarperCollins. La fille devait un livre à l'éditeur, c'est finalement le père qui va se retrouver à devoir l'écrire.

Sur une île grecque, l’auteur rencontre Irène qui, enceinte à quatorze ans, est ostracisée par les habitants de ce bout de terre dont on fait le tour à pied en une journée. Irène la solitaire se laisse approcher par cet homme qui ne porte aucun jugement et qui n’est là que pour l’écouter. Ecouter une jeune fille qui nage au milieu des dauphins.

Avec l’introduction de l’enseignement de l’histoire des arts au sein des programmes officiels de l’Education nationale, le Festival de l’histoire de l’art trouve pleinement sa place dans le paysage culturel actuel tant pour les professionnels que pour les amateurs. En mémoire de L’Eloge de la folie, publié par Erasme, il y a cinq cents ans, cette première édition aura pour thème principal la folie.

Pour son troisième livre interactif, la société Slim Cricket a choisi de nous emmener dans l'univers de la piraterie. Après La Sorcière Sans Nom et Victor a froid !, c'est donc l'application Alizée, fille pirate (4,49 €) qui débarque sur les tablettes.

Wild Side lance la polémique Système

Dans un rapport remis en septembre 2012, l'Inspection générale de l'Education nationale brosse un portrait sans concessions d'un ouvrage d'Hatier consacré à la préparation de l'épreuve d'Histoire des arts que doivent passer les élèves de troisième.

« Le devoir de qui aime les hommes est peut-être de faire rire de la vérité », écrivait Umberto Eco dans Le nom de la rose. Cette citation résume bien la démarche de Priscille Lamure, dont les Drôles d’histoires, cabinet de curiosités historiques et déjantées est le premier ouvrage (Éditions du Trésor). 

La start-up française, qui a bâti sa réputation sur la qualité de ses livres gratuits a, il y a peu, lancé son service de téléchargement de livres payants. Alors que plusieurs grands éditeurs s'apprêtent à lui fournir leurs catalogues, le site a retiré celui à destination des utilisateurs de Kindle.

Adulé par la critique lors de la rentrée littéraire 2007 avec Cendrillon, Eric Reinhardt revient pour son cinquième roman avec Le système Victoria, un conte de fée revisité à l’image de nos sociétés contemporaines.

Les éditions Hatier sont visiblement allées trop loin : dans le manuel Questionner le monde, signé par Sophie Le Callennec et Émilie François, on découvre que les noms ont été rédigés selon les règles préconisées pour une écriture inclusive. Autrement dit, l'ajout des différents accords au bout d'un nom, par exemple auteur·e.

YOUNG ADULT FRANÇAIS – Face à la haine et la bêtise, il ne nous reste que les histoires, fédératrices, celles qui parviennent à rassembler un peuple, un territoire, ou plus modestement une ville et ses habitants. Quelque part en province, Stan et son équipe œuvrent à quelque chose de grand. Parce qu’en amitié, la parole donnée, même à 16 ans, vaut plus que tout.

Depuis près de trente ans, le nombre des redoublements pratiqués dans le système éducatif français est en baisse constante, avec une accélération très nette opérée ces dernières années. Pourtant, la fin du redoublement (sauf cas exceptionnels), présentée comme la solution miracle par bien des ministres de l'Education nationale, n'a pas vraiment eu les effets escomptés.