Recherche

La fin du déni

Rédacteurs

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Rentrée littéraire 2019 : une nouvelle cuvée de 524 romans à découvrir

Dès la fin du mois d’août débutera le grand rendez-vous français de la Rentrée littéraire. Cette année, une production en légère diminution, puisque “seuls” 524 romans sortiront contre 567 l’année passée. On passe donc de 9,78 livres à engloutir durant les deux mois et demi, à simplement, et plus digestement, 9,03.

ActuaLitté

Dossier

Le Prix “Envoyé par La Poste”

Créé par la Fondation d’entreprise La Poste, le prix « Envoyé par La Poste » récompense un manuscrit (roman ou récit) adressé par courrier, sans recommandation particulière, à un éditeur qui décèle, avec son comité de lecture, un talent d’écriture et qui décide de le publier.

ActuaLitté

Dossier

Le Prix Goncourt de la biographie

Dès 1980, l'Académie Goncourt se dote d'une bourse pour soutenir les auteurs de biographie : Jean Lacouture reçoit la première récompense pour son ouvrage François Mauriac, consacré à l'auteur d'Un Nœud de vipères et publié par les éditions du Seuil. Devenu un Prix Goncourt au même titre que le Goncourt de la nouvelle, par exemple, le prix est désormais remis chaque année par les académiciens, au cours d'une cérémonie organisée à Nancy pendant l'événement Le Livre sur la Place.

ActuaLitté

Dossier

Le Prix de la littérature arabe

Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe est la seule récompense française distinguant la création littéraire arabe : il salue le roman ou le recueil de nouvelles d'un écrivain ressortissant de la Ligue arabe et auteur d'un ouvrage écrit en arabe et traduit en français ou directement écrit en français.

ActuaLitté

Dossier

Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

ActuaLitté

Dossier

Le catalogue des nouveautés éditeurs de la rentrée

Les éditeurs planchent depuis des mois, les auteurs ont réécrit leurs livres... et voici le grand moment : la présentation des nouveautés aux libraires. Alors, quoi de bon à se mettre sous la dent ?

Extraits

ActuaLitté

Faits de société

La fin du déni

"J'ai connu l'inceste paternel dès l'âge de mes 8 ans. A partir de ce jour, ma vie a été brisée, et c'est après de longues années de thérapie, accompagnées de séance d'EMDR, que je revis actuellement. L'apprentissage et la pratique de la respiration, de la méditation, de la pleine conscience, de la relaxation, de la sophrologie, du yoga et du Thaïchi ont également été un précieux appui. Mon recueil parle des conséquences catastrophique de l'inceste ; fuite dans les drogues, les surdoses médicamenteuses, les scarifications, les tentatives de suicide, le schéma de répétition par mon mariage, et une terrible anorexie... Mes lignes relatent ma première et si dure hospitalisation lors de ma première anorexie. Aujourd'hui guérie, je voudrais dire aussi combien ma foi, mes sorties dans le parc, la contemplation, la musique et, bien sûr, l'écriture, n'ont jamais cessé de me donner espoir et de me relever. Pendant quarante-cinq ans, j'ai vécu dans le déni et, comme beaucoup de victimes d'inceste le font, j'ai adulé mon père. Je souhaite que mes nouvelles lignes annulent et corrigent ce que je pensais avant, et rétablissent la vérité. Je voudrais aussi redonner espoir, et la même joie dans laquelle je vis aujourd'hui, à toutes les personnes ayant vécu ce traumatisme. Derrière les nuages, il y a toujours un rayon de soleil qui nous berce, une brise légère qui caresse notre visage, le chant des oiseaux qui égaie notre journée, un sourire échangé et la splendeur des cieux qui réchauffe le coeur."

02/2021

ActuaLitté

Critique

Le fil sans fin

"Nous autres, enfants de l'Europe des riches, qui a produit Auschwitz, nous qui passons pour des êtres civilisés, vivant dans une paix apparente depuis plus de soixante-dix ans, nous pensions être sortis de tout cela. Et aujourd'hui que le monde en est réduit au sauve-qui-peut, aujourd'hui que la grande fuite a commencé, nous sommes encore tout imprégnés du sentiment déraisonnable d'être étrangers aux désastres qui nous environnent". Face à tant de violence destructrice, d'où pourrait bien venir un élan de reconstruction de l'Europe ? Qu'y a-t-il encore d'authentique dans un Occident submergé par le matérialisme ? Pourrons-nous nous rétablir sans avoir besoin d'autres guerres et catastrophes ? A l'urgence de ces questions, Paolo Rumiz cherche une réponse dans les lieux et parmi les personnes qui continuent de tenir le fil des valeurs essentielles. Ce sont les disciples de Benoît de Nursie, le saint patron de l'Europe. Rumiz les a cherchés dans leurs abbayes, de l'Atlantique aux rives du Danube, des lieux plus forts que les invasions et les guerres. A l'heure où les semeurs d'ivraie tentent de déchirer l'utopie de leurs pères, les hommes qui y vivent selon une "règle" plus que jamais valable aujourd'hui nous disent que l'Europe est, avant tout, un espace millénaire de migrations.

08/2022

ActuaLitté

Papauté

Romam veni. Humanisme et papauté à la fin du Grand Schisme

Cet ouvrage met en pleine lumière un moment décisif mais relativement méconnu de la naissance du mouvement humaniste dans l'Italie du début du Quattrocento : ce n'est pas à Florence, mais à la cour des papes revenue à Rome que s'épanouit et s'affirme une nouvelle génération d'intellectuels, au sein d'un milieu cosmopolite, travaillant dans l'administration pontificale et au service des élites ecclésiastiques. Et c'est dans un contexte de crise profonde, le Grand Schisme d'Occident, que la papauté s'ouvre à l'idéal d'une Renaissance. Aux origines de la République des Lettres, une constellation de lettrés — vedettes en devenir, lecteurs érudits ou protecteurs éclairés — a oeuvré en commun à définir le programme des "sciences humaines", à célébrer, déjà, un réveil culturel et à promouvoir leur rêve d'une Antiquité retrouvée auprès d'une audience internationale de gouvernants. Du pontificat d'Innocent VII au concile de Constance, la curie a été le melting pot et le vivier professionnel de nombre d'humanistes, dont les carrières publiques ont aussi connu les aléas d'une administration confrontée à la division de l'Eglise, secouée notamment par la rébellion des cardinaux à Pise. Elle a encore été le laboratoire d'un projet à la fois savant et politique, le cicéronianisme, qui ambitionnait de réactiver la puissance de l'éloquence classique au service de l'Etat et de refaçonner le modèle de l'officier en orateur, à l'image de la nouvelle figure montante qu'était le secrétaire apostolique. Au fil d'une enquête croisant sources archivistiques et littéraires, l'histoire de ce tournant est retracée, de l'afflux de jeunes lettrés en quête de fortune dans une institution en crise aux débuts d'une révolution rhétorique et idéologique qui plaçait Rome, capitale proclamée mais instable, éternelle mais défigurée, en point de mire d'un redressement futur.

03/2021

ActuaLitté

Littérature française

Déni

Alors qu'elle se bat contre ses propres démons, s'efforce de préserver ses secrets et respecter le pacte qu'elle a passé, Lyzie tente de se reconstruire jusqu'à ce que son passé resurgisse ...

10/2022

ActuaLitté

Philosophie

La mort aujourd'hui. Essai sur le déni social de la mort et la fin de vie

Depuis la seconde moitié du XXe siècle, de nombreux sociologues, anthropologues et historiens, ont souligné le fait que la civilisation occidentale se caractérisait par un "déni social de la mort" et qu'elle procédait ainsi à une occultation dramatique des personnes en fin de vie. La mort et le mourir seraient devenus " tabous " et notre culture jeuniste et consumériste nous inciterait à en détourner nos regards. Vouloir éloigner le tragique, faire décliner l'importance traditionnellement accordée aux rituels funéraires et au deuil, tel serait un des aspects majeurs de notre culture. Les sciences sociales étaient alors accusatrices : elles dénonçaient le " mal mourir " et faisaient la critique d'un monde où le rapport à la mort avait globalement cessé d'être familier. Ce constat exigeait donc un remède : dès les années 80, se sont développés en France les soins palliatifs et de nombreux débats sur la fin de vie ont fait leur apparition dans l'espace public (notamment la question de l'euthanasie et celle du refus de l'acharnement thérapeutique). Pour autant, avons-nous aujourd'hui réussi à modifier notre rapport au mourir, à "resocialiser la mort" et à mieux accompagner les personnes en fin de vie ? Avons-nous trouvé les moyens d'enrayer le processus d'occultation de la mort dont beaucoup pensent qu'il est inévitablement pathologique ?

08/2019

ActuaLitté

Sciences historiques

La fin du cheval

La fin du cheval n'est évidemment pas celle du cheval comme espèce, mais celle du cheval comme "moteur". Lorsqu'en 1899, Pierre Giffard publie La Fin du cheval, essai historique et polémique illustré par Albert Robida, cela s'inscrit dans un moment où s'impose une bascule technique, économique et sociale quasi définitive dans l'univers industriel de la fin du XIXe siècle : la perte de toute légitimité accordée à la traction animale comme mode de transport. La locomotive, la bicyclette et l'automobile invalident alors inexorablement l'équidé qui, même dans les campagnes, entame un irrésistible déclin. Aussi, Pierre Giffard cultive la nostalgie de cet univers fait de sensations, d'attentes, de gestes ou de désirs grâce auxquels l'homme et l'animal allaient l'amble dans la quotidienneté du déplacement. A sa façon, l'auteur se soumet à la loi du progrès, et la fin du cheval permet ainsi de dessiner et imaginer les locomotions du futur. Placé au coeur de passions politiques, sous couvert de promotions concurrentes du sport cycliste et automobile, objet de la vindicte du Comte de Dion, le père de la marque automobile célèbre, et d'Henri Desgrange, l'inventeur du Tour de France, cet ouvrage, jamais réédité, était devenu introuvable. Souvent cité, plus rarement lu, La Fin du cheval vaut également par les illustrations, tout à la fois nostalgiques et visionnaires, d'Albert Robida. Dès lors, une réédition commentée, reprenant scrupuleusement et le texte de Pierre Giffard, et les illustrations d'Albert Robida, s'imposait pour prendre enfin la pleine mesure d'un ouvrage dont l'enjeu va bien au-delà d'une simple chronique par défaut du progrès.

12/2015

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté