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L'INTELLIGENCE DU SENSIBLE. Essai sur le dualisme cartésien

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L'intelligence artificielle au service du livre et de la lecture

On ignore si l’intelligence artificielle décidera d’écrire Guerre et Paix ou Les Misérables, mais les scientifiques y travaillent d’arrache-pied. L’évolution du livre et de l’édition passera par les travaux de chercheurs, qui demandent) des robots d’engloutir des livres... pour écrire de nouvelles histoires.

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Romans, essais, actualités : tout sur Roberto Saviano

Roberto Saviano est un écrivain, journaliste et essayiste italien né le 22 septembre 1979 à Naples, en Italie. Il est surtout connu pour son travail d'investigation sur la Camorra, la mafia napolitaine, qui est le sujet central de son livre le plus célèbre, Gomorra, publié en 2006. 

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Essai littéraire : interroger le monde, en écrivain et écrivant

Il n’y a – fort heureusement – pas que la littérature dans la vie : on trouve des essais aussi. Des ouvrages qui pensent la société, s'appuyant sur les théories de la sociologie, de la philosophie, sur l'Histoire, l'ethnologie ou encore la psychanalyse, ils explorent un sujet avec une approche bien spécifique. Que serait Don Quichotte sans Lydie Salvayre pour redonner une énième vie à l'Hidalgo ?

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Romans, essais, théâtre : tous les livres de Paul Auster

Né en 1947 à Newark dans le New Jersey, Paul Auster étudie de 1965 à 1970 les littératures française, anglaise et italienne à Columbia University, où il obtient un Master of Arts. Il publie à cette époque des articles consacrés essentiellement au cinéma dans le Columbia Review Magazine, et commence l’écriture de poèmes et de scénarios pour films muets qui deviendront ultérieurement Le Livre des illusions.

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Romans, essais, dictées : tous les livres de Bernard Pivot

Bernard Pivot, né le 5 mai 1935 à Lyon et décédé le 6 mai 2024, est une figure emblématique de la culture française, célèbre pour son rôle de journaliste, animateur de télévision et défenseur passionné de la langue française. 

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Dossier

KILÉMA Éditions : Pionnier du Facile à Lire et à Comprendre

Fondée en 2021, KILÉMA Éditions est la première maison d'édition francophone axée sur le Facile à Lire et à Comprendre (FALC). Elle vise principalement les personnes atteintes de maladies de l’intelligence, leur offrant l'opportunité d'accéder à la littérature de manière adaptée.

Extraits

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Philosophie

L'INTELLIGENCE DU SENSIBLE. Essai sur le dualisme cartésien

Pour quelles raisons aimons-nous une personne plutôt qu'une autre ? Pourquoi l'esprit, sitôt uni au corps, éprouve-t-il d'abord de la joie, puis toutes les "passions de l'âme" ? Pourquoi cette joie sensible peut-elle être par la suite une joie intellectuelle ? Quelle est la part du sensible et de l'intellectuel dans les passions de l'âme, dans les perceptions de l'esprit ? Ou bien encore, pourquoi, lorsqu'un morceau de cire, approché du feu, change de forme, disons-nous que c'est bien la même cire qui a changé d'aspect ? Pourquoi, lorsque nous voyons un triangle dessiné sur du papier, c'est au "véritable triangle" que nous pensons et non à la figure que nous avons sous les yeux ? Ces questions, classiquement propres à la philosophie, sont aujourd'hui reformulées à leur manière par les biologistes ou les cognitivistes - les philosophes de l'esprit. Or, elles ne peuvent trouver de réponse que si, préalablement, la scène philosophique et scientifique n'est plus hantée par le spectre du dualisme cartésien. L'expression, devenue courante, désigne l'opposition du corps et de l'esprit. La philosophie véritable et si concrète de Descartes montre, au contraire, que l'homme fait distinctement et indissociablement l'expérience de la pensée et de son existence corporelle. Pierre Guenancia dégage, de la lecture de Descartes, une conception de l'esprit comme puissance de comprendre et aussi de vouloir, à contre-courant des théories qui voudraient réduire l'esprit au cerveau ou l'identifier à un ordinateur. A la différence, en effet, du corps, composé de parties elles-mêmes décomposables en de plus petites, l'esprit humain se manifeste tout entier et uniquement dans le fait de penser. Et nul autre que celui qui pense ne peut l'expérimenter : l'esprit est partout où il y a conscience d'agir, de voir, de sentir. Pour reprendre une formule de Descartes, c'est l'âme qui sent et non le corps.

10/1998

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Philosophie

Trois essais sur le sensible

Le sensible. La langue s'embarrasse quand il faut articuler le mot. La langue commune ne substantive pas l'adjectif. Quant à la langue philosophique, elle ne parle bon français qu'en faisant du sensible le partenaire d'une catégorie, elle, parfaitement pensable et dicible : l'intelligible, le transcendantal, le spirituel. Or il faut prêter attention à ce genre de réticence. C'est qu'on ne peut substantiver le sensible, sans en former le concept. Mais y a-t-il un concept du sensible ? Ces trois essais abandonnent donc la méthode déductive. Et pour parler du sensible — et il faut en parler, puisqu'il y a au fond de lui une trace d'absolu — on se livre à l'errance d'une promenade qui, le soir venu, découvre avec bonheur que décidement il y a de la raison dans les détours auquel le sensible force la philosophie.

10/1998

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Autres

D'un sensible l'autre. Sur la signification métaphysique des sensibles

On partira d'une représentation qui, sous diverses formes, a dominé une part importante de la philosophie du XXe siècle : celle de "la fin des arrière-mondes" . On essaiera de comprendre comment la récession du désir d'évasion en direction de quelque chose qui serait désigné comme suprasensible n'a pas reconduit la philosophie contemporaine, tant s'en faut, vers une prise en compte du sensible comme tel. La philosophie contemporaine, dans l'ensemble, certes, ne raisonne plus en termes d'opposition entre un sensible et un suprasensible et ne se donne plus comme tâche prioritaire le passage de l'un à l'autre, mais on peut avoir l'impression que, en perdant le sens du suprasensible, elle a perdu celui du sensible aussi. Pour essayer d'en comprendre les raisons, on reviendra sur la fameuse fable nietzschéenne du Crépuscule des idoles et on proposera diverses interprétations de la fin du "platonisme" que, apparemment, il faudrait diagnostiquer à sa lumière. On discutera si cette fin, ainsi que ceux qui l'ont thématisée ont pu parfois le croire, doit être interprétée comme un retournement ou comme un renversement, ou bien si ce motif n'offre pas d'autres possibilités : si sortir du platonisme ne consiste pas en autre chose que le renverser. La représentation d'une telle sortie n'est cependant possible que si l'on parvient à la juste appréhension de ce dont on serait censé sortir ou être déjà sorti. On rouvrira donc la question de la constitution platonisante du rapport métaphysique au sensible - ce qui conduira aussi bien à faire réentendre l'ambiguïté et la tension inhérentes à la notion de métaphysique, quelque peu étouffées aujourd'hui. Plutôt que d'y voir une pure et simple occultation du sensible, on y reconnaîtra une façon de prendre en charge la réalité du sensible et, en fait, l'invention même de ce sensible comme tel. On mettra en lumière, à cet égard, un double mouvement : comment la métaphorisation métaphysique du sensible est indissociable de sa constitution en genre unifié par le moyen d'une synecdoque. A partir de là, on pourra réfléchir sur les différentes façons dont le sensible, plutôt que de voir sa réalité s'effacer avec la métaphore métaphysique qui l'avait produit au profit d'une "métaphysique sans métaphore" , ce rêve constitutif de la philosophie moderne, peut aujourd'hui être remis en jeu dans sa diversité, en déplaçant les leviers mêmes actionnés par le platonisme pour le constituer.

02/2022

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Essais

L'intelligence ou les intelligences ?

L'auteur s'élève ici au-dessus de ses recherches "scientifiques" pour prendre une vision plus large et plus exacte des problèmes posés par l'intelligence, dans la ligne d'une philosophie génétique qu'il considère comme seule philosophie valable. Des considérations critiques le conduisent à restreindre beaucoup la valeur et l'utilisation - sauf clinique - de la mesure en psychologie, car elle entraîne trop aisément à négliger l'essentiel du psychisme. Le départ de toute psychologie de l'intelligence doit être recherchée dans l'étude de la rencontre entre individus ; on est ainsi amené à cesser de placer au premier plan l'étude de l'intelligence rationnelle et structurale. Jean Château est Agrégé de philosophie ainsi que fondateur et directeur de laboratoires de recherches en psychologie de l'enfant.

04/2022

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Histoire et Philosophiesophie

L'intelligence des limites. Essai sur le concept d'hypertélie

Dans la langue des naturalistes, on nomme hypertélie le développement d'une partie anatomique ou d'un caractère au-delà de son niveau optimal d'utilité : ramures géantes du Cervidé fossile Megaloceros giganteus, canines supérieures hypertrophiées des anciens "Tigres aux dents de sabre" ou du Babiroussa, défenses croisées des Mammouths, queue démesurée des Paons, etc. De telles structures, en continuant de grandir bien plus que ne le requérait leur fonction initiale, seraient devenues "monstrueuses" et nuisibles à leurs détenteurs par une sorte d'inertie de croissance handicapante, désadaptative, et tendanciellement fatale à la survie de l'espèce lors d'un changement ultérieur de ses conditions de vie. Contre de trop rapides commentaires qui concluaient au caractère "non darwinien" du concept d'hypertélie et, de là, à son inanité, Patrick Tort démontre son origine darwinienne dans la théorie de la sélection sexuelle et en tire un instrument puissant pour penser la naissance bio-éthologique du symbolique comme surcharge de l'apparence dans le champ de la séduction, et pour modéliser les conséquences dévastatrices du dogme d'une croissance sans limite, propre au capitalisme contemporain.

05/2019

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Philosophie

L'usage du vide. Essai sur l'intelligence de l'action, de l'Europe à la Chine

Il semble que les états les plus désirables, à l'image du sommeil, ne puissent survenir qu'à condition de n'être pas recherchés, le simple fait de les convoiter pouvant suffire à les mettre en déroute. Or ce paradoxe de l'action volontaire, mal élucidé et jamais résolu dans la philosophie occidentale, est au centre de la pensée taoïste. L'auteur explore dans cette double lumière, à partir de diverses sphères d'expérience, de la pratique d'un sport à la création artistique, de la recherche du sommeil à la remémoration d'un nom oublié, ou encore de la séduction amoureuse à l'invention mathématique, les mécanismes de ces états qui se dérobent à toute tentative de les faire advenir de façon délibérée. Une telle approche, qui requiert une observation patiente des dynamiques du corps et des différents registres de conscience, permet de comprendre pour quelles raisons, et au terme de quelles expériences, les penseurs taoïstes de l'antiquité chinoise ont formulé les concepts si déroutants de non-agir ou de vide. Elle permet par la même occasion de démonter les erreurs et les leurres sur le pouvoir et la volonté qui sont à la base des représentations occidentales de l'action efficace. Mobilisant, sans les opposer, les ressources de la pensée chinoise et de la pensée européenne, l'ouvrage apporte ainsi une contribution originale à l'intelligence de l'action.

09/2019

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