Jost Hochuli

Imaginez la fin du monde. Quoique, pas tout à fait. Imaginez plutôt l'extinction de l'espèce humaine. Hommes, femmes, nous avons tous disparu. Et qu'avons-nous laissé derrière nous ? Quelle trace ? Une architecture flamboyante, des œuvres d'art et un savoir scientifique incommensurable ? Peut-être, mais peu importe. Nous avons surtout laissé des tonnes, et des tonnes, et des tonnes... de plastique.

Du sable, à perte de vue. Le monde entier en est recouvert depuis déjà bien trop longtemps. Des dunes et autres crevasses ensablées forment le paysage de ce temps inconnu, dans un futur incertain. Un No Man’s Land et, en son milieu, la silhouette d’une jeune femme. Sur son dos, c’est une bombe atomique qu’elle porte à travers cette étendue aride ; « une arme qui, lui avait-on dit, pouvait être mise à feu simplement, par forte pression ». Et qui allait détruire une ville.

HIVER2024 - Dans le tourment et la peine occasionnés par le décès de Gabriel, la narratrice décide subitement de se rendre, seule, à Beyrouth. Elle y cherche la maison d'enfance de son ami défunt, une demeure dont elle ne connaît que les récits. 

Il avait fait le mariole en publiant dans sur

À son réveil, force est de constater qu’il est devenu amnésique.

« La sensation de revenir à la vie, mais pas complètement, une semi-vie peut-être. Une obscurité encore totale, à moins qu’un soupçon de lumière ne pointe à l’horizon. » Un homme se réveille, sort de ce que son esprit reconnaît être une période de « stockage ». Un homme ? Rien n’est moins sûr. Humanoïde en apparence, la pilosité attendue a quitté son corps, dont la peau est d’une blancheur spectrale. Lisse, élastique, sans aucune imperfection. Mais aussi des jambes qui ne lui répondent pas : aucune sensation, aucun contrôle de ses membres. 

Comme chaque année à la même époque, le site Admission Post-bac ouvre ses portes. Destinée aux lycéens de terminale, cette interface permet de saisir les vœux de poursuite d’études par ordre de préférence et ce jusqu’au 20 mars 2015.

Jusqu’alors, un étudiant étranger souhaitant se préinscrire à une formation en apprentissage ne pouvait le faire par le biais du site Admission post-bac, le site de préinscription dans l’enseignement supérieur.

José Carlos Somoza raconte Daphne disparue

Le sourire étrusque, José Luis Sampedro

Les Assises de la traduction du 11 au 13 novembre à Arles s’intitulent « L’Empire contre-écrit ». Santiago Artozqui, président de l’Association pour la promotion de la Traduction Littéraire qui organise ces rencontres annuelles ouvertes à tous, explique le choix de ce titre qu’il admet « cryptique » mais qui permet d’ouvrir le débat autour des littératures post-coloniales au centre de cette 33e édition.

MANGA SEINEN - Au collège, Kanon a vécu la chute d’extraterrestres sur Tokyo. Au lycée, elle a rencontré l’homme de sa vie, qu’elle aime toujours autant huit ans après alors qu’il est marié. Mais peut-être que cette fois, elle aura quand même sa chance…

Ce n’est qu’une petite stèle de mots, mais à tout prendre, c’est déjà ça. Les baleines ont bien droit à des comités de soutien, des meetings ; les bébés phoques à des défilés. Alors nous aussi pour certains livres quelque chose. Oui. Mon regard s’est porté vers un auteur pris dans les sables mouvants de l’oubli, vers Pierre Bost et son roman Le scandale, paru en 1930 et non réédité depuis, un récit qui m’a particulièrement touché et ému. 

L'ouvrage Claraboya de José Saramago a été présenté au public à Madrid et est publié pour la première fois, deux ans après la mort de l'auteur. Claraboya, ou « le livre perdu » comme l'appelait Saramago de son vivant, est l'un des premiers romans du prix Nobel de littérature 1998, qui ne charma aucun éditeur de l'époque, à sa grande déception.

Le Huffington Post a publié mercredi son premier ebook A People’s History of the Great Recession, basé sur le blog d’un de ses reporter, Arthur Delaney, à propos de la crise économique, rapporte

En août dernier, vous étiez avertis : plus possible de retourner dans un parc d'attractions, sans se demander ce qui se passe en coulisse.

Enrichi d’année en année depuis son instauration en 2009 dans toute la France, le site Admission Post-Bac va subir une réforme qui vise, selon le ministère de l’Education nationale, à ce qu’à la rentrée 2016, tous les bacheliers puissent avoir une proposition de formation. Ce but paraît bien légitime puisque c’est le principe même de ce dispositif…

Pierre Laurent, hommage à José Saramago (PCF)

José-Manuel Gonçalves nommé directeur du CENTQUATRE

Just Books, librairie historique à la vente

GoSpoken propose The Lost Symbol pour mobiles

L’écrivain philippin Francisco Sionil Jose est décédé ce jeudi 6 janvier, à l’âge de 97 ans. Il s’est éteint à l'hôpital de Makati, dans la banlieue de Manille, à la veille d’une angioplastie. Romans, poésies, nouvelles, essais, l’auteur touche-à-tout était une des plus grandes voix philippines, avec des livres largement traduits à travers le monde.

Comment un homme, aussi jeune soit-il, peut changer en si peu de temps ? Comment une société réussit à transformer un homme en vingt-deux mois ? Voilà la vraie question. Quand Saint-Just arrive à Paris pour participer politiquement à la Révolution française, il vient d’avoir 25 ans, le 25 août 1792. Et surtout, il a été élu député le 5 septembre.

C’est un étonnant petit roman que nous proposent les éditions Globe cet automne. L’Ours est avant tout un roman post-apocalyptique qui commence par ces mots : « Les deux derniers étaient une fille et son père… » Cette fille et son père, donc, qui ne seront pas nommés de tout le roman – mais à quoi bon nommer quand il n’y a plus ni autre femme ni autre homme ? – semblent être les deux derniers humains sur terre. Par Laurence Baulande.

Suite aux confinements liés à la crise sanitaire, les bibliothèques écossaises peinent à retrouver le rythme d'activité d’antan. Pour tenter de résorber ce phénomène, la Scottish Library and Information Council (SLIC), organe consultatif indépendant du gouvernement écossais concernant les questions de bibliothèque, a proposé de supprimer les frais de retards, pour inciter la population à emprunter davantage de livres. Un objectif qui viserait à rendre les bibliothèques « accessibles à tous ».

Nos fidèles lecteurs n'ignorent pas que nous aimons Pierre Bost (1), écrivain d'avant-guerre devenu scénariste célèbre après 1945, et que nous aimons aussi les Editions de la Thébaïde qui, il y a deux ans, ont publié un recueil de nos articles sur les écrivains oubliés (Lectures en stock). Il était donc évident et naturel que nous parlions aujourd'hui de la réédition de Prétextat (1925) de Pierre Bost, d'autant plus que la préface a pour auteur François Ouellet, chroniqueur des "Ensablés", et par ailleurs grand spécialiste de l'écrivain. Par Hervé Bel.

Bon, c'était à prévoir, et en même temps... Peut-on réellement blâmer Stephenie Meyer de vouloir rentabiliser une nouvelle franchise ? C'est que, depuis la fin de Twilight, la romancière n'a plus vraiment d'existence sur la scène éditoriale. Bien sûr, les films ont alimenté les médias et permis de sortir la mormone de son placard. Mais l'actualité est tournée ces derniers temps vers The Host. 

Ron Howard avait baissé les bras, mais finalement Mark Romanek reprend la main sur le projet The Lost Symbol, qui doit être la dernière grande production inspirée par le livre de Dan Brown.