Né en 1947 à Newark dans le New Jersey, Paul Auster étudie de 1965 à 1970 les littératures française, anglaise et italienne à Columbia University, où il obtient un Master of Arts. Il publie à cette époque des articles consacrés essentiellement au cinéma dans le Columbia Review Magazine, et commence l’écriture de poèmes et de scénarios pour films muets qui deviendront ultérieurement Le Livre des illusions.
En mars 2018, quelques mois après la disparition de Jean d'Ormesson, le 5 décembre 2017, sa fille Héloïse d'Ormesson annonce la création d'un prix littéraire pour lui rendre hommage. « C’est avec joie et fierté que je vous annonce la création du prix Jean d’Ormesson, qui sera décerné le 6 juin prochain au Centre national du livre (pour s’approcher de la date anniversaire de la naissance de mon père le 16 juin 1925) », explique-t-elle.
Coup de tonnerre fin mai, la maison de la rue Huygens divorçait de son auteur star, le polémiste bien connu de CNews, et potentiellement candidat aux présidentielles de 2022. Eric Zemmour et Albin Michel, rejouaient la petite mélodie d’Hervé Villard, Capri, c’est fini. Caprice de l’éditeur devant la poule aux œufs d’or, différend politique plus que touchant à la politique éditoriale et finalement grand cas d’école : l’affaire Zemmour va de rebondissements en rebondissements.
Venu au monde dans le 7e arrondissement de Paris, le 16 juin 1925, au sein d’une famille noble, Jean d'Ormesson s'engagea tardivement, de son propre aveu, dans l'écriture, trop occupé qu'il était à lire. Il publie son premier ouvrage, L’amour est un plaisir, en 1956, aux éditions Julliard, mais son livre La gloire de l’Empire, en 1971, lui vaut une reconnaissance littéraire avec le Grand Prix du roman de l’Académie française.
Marie-Hélène Lafon est née en 1962 à Aurillac. Professeure de lettres classiques à Paris. Tous ses romans sont publiés chez Buchet/Chastel. Elle a choisi d’enseigner dans un collège situé en Zone d’Education Prioritaire. Elle rédige son premier texte, une nouvelle, à l’âge de 34 ans. Elle est un écrivain en quête d’une écriture absolue, animée par une irrépressible envie d’écrire et libérée des contraintes inhérentes à sa condition sociale originelle.
Mandaté par Françoise Nyssen, ministre de la Culture, faisant suite aux promesses de campagne d’Emmanuel Macron, Érik Orsenna est devenu rapporteur. Aux côtés de Noël Corbin, il s’est embarqué dans un tour de France des bibliothèques, pour évaluer la situation, et proposer des solutions pour valoriser les lieux.
Primaire parascolaire
05/2019
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05/2019
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05/2019
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Enseignement primaire
08/2017
Romans policiers
Corso Bramard est le plus jeune commissaire d'Italie. Un homme aussi insondable que les montagnes piémontaises, et dont les intuitions s'approchent de la clairvoyance. Sa vie se dissout lorsque Automnal, un tueur en série qui entaille le dos de ses victimes avec d'étranges dessins, s'en prend à sa femme et à sa fille. Vingt ans plus tard, Corso, désormais enseignant, vit dans la campagne turinoise et passe son temps à grimper en montagne, souvent de nuit, dans l'espoir à peine dissimulé de tomber. Pourtant, il reste quelque chose de bien vivant en lui : l'obsession de mettre la main sur son ennemi. Car l'assassin continue à le narguer en lui envoyant par la poste des extraits d'une chanson de Leonard Cohen. Dix-sept lettres en deux décennies. Mais cette fois, dans la dernière, Automnal commet une petite erreur. Juste de quoi ouvrir la brèche, dans laquelle Bramard va s'engouffrer avec toute la force du désespoir. Dans cette quête épique et absolue, Bramard aura plus que jamais besoin du commissaire Vincenzo Arcadipane, son élève et ami, pour peut-être enfin atteindre sa cible, et trouver la paix. Il le traque depuis une vie, mais Automnal a toujours eu une longueur d'avance. Jusqu'à aujourd'hui.
02/2024