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Henri Froment-Meurice

Dossiers

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Dossier

Un titan littéraire : découvrir les livres d'Henry James

Henry James est né le 15 avril 1843 à New York, au sein d'une famille aisée d'intellectuels. Son père, Henry James Sr., était un éminent théologien et philosophe, offrant au jeune James un environnement nourri de débats intellectuels dès son plus jeune âge.

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Dossier

Le prestigieux et convoité Prix Goncourt

Récompense la plus populaire, la plus médiatique et la plus convoitée de la rentrée littéraire, le Prix Goncourt rythme depuis plus d'un siècle la vie littéraire française en désignant un lauréat ou une lauréate, au début du mois de novembre. Pour l'éditeur du livre en question, l'annonce signifie la plupart du temps des ventes assez confortables à l'occasion des fêtes de fin d'année.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Michel Houellebecq

Révélé avec Extension du domaine de la lutte, publié en 1994 par les Éditions Maurice Nadeau, Michel Houellebecq, né Michel Thomas en 1956 ou 1958 selon ses propres dires, a cultivé le mystère tout au long de sa carrière : après ce premier roman remarqué, il publie Les Particules élémentaires (1998), puis Plateforme (2001), alors qu'il vient de s'exiler en Irlande.

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Dossier

Dix textes, pour voyager, avec soi, vers les autres

Le poète Horace nous l’a dit voilà bien longtemps : « Nul ne peut se fuir soi, en quittant sa patrie. » On lui opposerait tout de même que les voyages forment la jeunesse et qu’il ne cause aucun tort de partir à la découverte du vaste monde. Quitte à n’y trouver que soi. Alors, justement, voici quelques titres sélectionnés pour les périples qu’ils proposent.

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Dossier

Le trône de fer : les livres de la saga A Song of Ice and Fire de George RR Martin

Le trône de fer est une immense saga d’héroïque fantasy qui s’inspire de la série des Rois maudits de Maurice Druon. C’est au début des années 1990 que Georges R.R. Martin commence à écrire Le trône de fer, le premier volume est publié en 1996. En 2007, la chaine de télévision HBO acquiert les droits d’adaptations. L’auteur lui-même participe à sa production et écrit le scénario d’un épisode par saison. 

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Dossier

Axelle Demoulin et Nicolas Ancion : traducteurs à quatre mains

Avec plus d'une centaine de romans traduits de l'anglais et de l'espagnol, Axelle Demoulin et Nicolas Ancion forment un des tandems les plus productifs de la traduction en langue française. Bon nombre des titres qu'ils ont traduits en français ont figuré parmi les meilleurs vendeurs en littérature Young Adult, comme la trilogie À travers ma fenêtre, d'Ariana Godoy chez Hachette, ou la série Serpent & Dove de Shelby Mahurin, publiée par De Saxus. 

Extraits

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Religion

Les femmes et Jésus

Le lecteur assidu des Évangiles ne peut qu'être frappé par la place privilégiée qu'y tiennent les femmes. Et dans ce moment de l'histoire de nos sociétés où leur rôle est de plus en plus objet de débats, il a semblé utile d'en présenter un tableau aussi complet et ordonné que possible. Cet ouvrage qui n'est ni de théologie ni d'exégèse propose une lecture toute simple et directe des textes du Nouveau Testament, parfois de l'Ancien et des récits apocryphes. Il fait état des nombreuses femmes qui accompagnent l'avènement et la manifestation de la Bonne Nouvelle. Même si les douze apôtres sont tous des hommes, il montre l'éminent respect dont a témoigné Jésus envers les femmes, le regard nouveau qu'il a porté sur elles et l'immense confiance qu'il leur faisait. C'est à elles que Jésus a accordé, souvent en premier, le privilège de son enseignement et de sa présence. Puisse cet ouvrage contribuer à promouvoir la place de la femme dans l'Église d'aujourd'hui et, plus largement, dans les religions.

03/2007

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Histoire internationale

Journal de Moscou. Ambassadeur au temps de la guerre froide

Il n'aura fallu que deux décennies pour que ce qui fut un monde à part, avec son soleil trompeur et sa nuit enveloppante, son arbitraire et ses règles, sa grisaille et ses couleurs singulières, sa brutalité et sa sociabilité, obsédant les uns, en asservissant d'autres, donnant de l'espoir à d'autres encore, s'évanouisse comme s'il n'avait jamais existé... Ce monde courut-il à sa fin selon un processus aussi inéluctable que discret, pour ainsi dire souterrain ? Ou bien cette disparition ne fut-elle elle-même qu'un artifice d'apparence, nombre de traits essentiels du régime défunt lui ayant survécu avec une inaltérable vigueur ? Tout ce qui entoure l'expérience soviétique nous paraît aujourd'hui bien étrange. Comment cette étrangeté, avec son coeur d'opacité encerclé par les murailles du Kremlin, fut-elle perçue par les observateurs avisés ? Un Français, issu d'un canton raisonnable, plutôt apaisé, voire un peu rassis de la vieille Europe, pouvait-il comprendre ce pays anormal, s'exempter d'humeurs et pour autant ne pas tout sacrifier à ce réalisme politique dont, après coup, l'opportunité est si souvent sujette à caution ? Pouvait-il aussi ne pas se sentir plus stimulé, fût-ce pour lui opposer un zeste d'esprit missionnaire, par ce curieux empire que par la République livrée à ses calculs, mais qu'il servait de toute sa loyauté ? Le Journal tenu par Henri Froment-Meurice, au fil de trois postes successifs dont au final celui d'Ambassadeur, est un précieux document. L'acuité du regard et le style élégant du diplomate n'assèchent en rien la capacité d'indignation et la force d'enthousiasme de l'homme. La haine du communisme contrebalancée par l'amour de la Russie, la croyance dans les vertus de la présence culturelle de la France, la complexité parfois savoureuse des rapports de l'Ambassadeur, qui n'en pense pas moins, avec son administration et un pouvoir qui se laissaient trop souvent abuser par le langage de paix venu du Kremlin... Nous voilà ramenés aux heures chaudes de la relation très particulière, très intéressée de part et d'autre, mais empreinte à sa manière de sincérité entre la France et l'URSS.

05/2016

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Histoire de France

Vu du Quai. Mémoires 1945-1983

C'est une carrière brillante, variée, féconde que celle d'Henri Froment-Meurice. Attaché au commandement français en Allemagne au sortir de la guerre, élève de la deuxième promotion de l'ENA, diplomate par vocation, nommé tantôt à l'administration centrale, tantôt aux postes à l'étranger les plus prestigieux (Moscou, Bonn...), il a été un témoin privilégié de l'émergence du monde surgi des bouleversements de la Seconde Guerre (Japon, Algérie, Indochine, Egypte...), de la guerre froide et des épisodes de dégel et de tension qui l'ont ponctuée comme des prémisses de l'écroulement de l'URSS. Il a été proche d'hommes d'Etat comme Jean Monnet, René Pleven, Raymond Barre et a eu pour interlocuteurs Gromyko ou Helmut Schmidt. Riches d'une attention constante portée aux destinées de la France et du monde, d'une ferme conviction dasn la nécessité d'une Europe unie et puissante, en pleine confiance avec l'Allemagne, d'une inlassable curiosité pour les façons de vivre des peuples et d'innombrables anecdotes révélatrices d'un climat ou du comportement des protagonistes, ses Mémoires constituent un passionnant document d'histoire, très révélateur du sens de l'Etat, de la finesse d'observation et de l'esprit de décision qui animent les grands diplomates. Henri Froment-Meurice, ambassadeur de France, a publié deux ouvrages : Une puissance nommée Europe (1984) et Une éducation politique (1987).

10/1998

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Littérature française

Madame Bethsabée

"Il arriva un jour que David se promenait sur la terrasse de son palais ; et il vit une femme vis-à-vis de lui qui se baignait ; et cette femme était fort belle. Le roi demanda quelle était cette femme ; et il lui fut dit que c'était Bethsabée, fille d'Eliam, femme d'Urie Héthéen". Ainsi débute au Livre des Rois de l'Ancien Testament la célèbre histoire de David et Bethsabée, si poignante qu'il vint à l'esprit de l'auteur de la situer dans notre monde d'aujourd'hui. Si le lecteur n'a guère de mal à imaginer que David, très autoritaire Empereur d'Orient, ne se contentera pas de regarder Madame Bethsabée sortir de son bain, il ira ensuite de surprise en surprise. Et, à chacune, il découvrira que Madame Bethsabée, bien que femme dans un Empire d'hommes, s'impose et finit par faire l'Histoire.

03/2015

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Histoire de France

Journal de Bonn. Ambassadeur de France de Schmidt à Kohl 1982-1983

En des temps où la possibilité pour l'Union européenne de sortir du marasme économique et d'une véritable crise de doute dépend largement de l'énergie motrice que France et Allemagne s'entendront, ou non, à redonner à l'ensemble, et à l'heure de la célébration du cinquantième anniversaire du Traité de l'Élysée, la lecture du court et incisif Journal qu'Henri Froment-Meurice tint durant son séjour à Bonn ne manque ni d'intérêt, ni de piquant. Tant de choses ont changé. La RFA n'avait pas encore absorbé la RDA, les faucons du Kremlin creusaient innocemment leur tombe en menaçant l'Occident de ces SS 20 qui donnèrent au " socialiste " Mitterrand l'occasion de montrer que loin de virer au rouge, il appelait l'Occident à resserrer les rangs et exhortait les Allemands à la fermeté, il n'y avait pas encore d'euro pour empêcher les Français de se livrer aux délices coupables de la dévaluation, et le rêve européen d'une démocratie sociale accomplie ne s'était pas encore heurté à la mondialisation, à la montée des nouvelles puissances et à la crise délétère à quoi semblent parfois se résumer les débuts du XXIe siècle. Mais tant de choses ont subsisté aussi, accouchées souvent de ce passé point si lointain et des choix qui furent faits alors. Une question majeure est d'évidence celle des équilibres, ou plutôt des déséquilibres franco-allemands. Une réflexion sur ce qu'il y a de comparable et ce qui a fondamentalement changé d'une époque à l'autre, sur cette question, est nécessaire, instructive, même si elle se révèle quelque peu réfrigérante pour l'orgueil national français. Au-delà de la nécessité pour la France de se doter enfin d'une véritable politique allemande (et vice versa), c'est la question même d'un rapprochement plus profond des deux nations qui se pose et qu'aborde sans tabou Henri Froment-Meurice dans un avant-propos original, qui vient enrichir le journal d'alors comme une solide postface et comme un révélateur du sens de cette histoire qu'il suivait de son poste d'observation privilégié. D'observation, et d'action ? On peut, en lisant ces pages, se faire aussi une idée de l'évolution du métier d'ambassadeur et de ses conditions d'exercice.

01/2013

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Littérature française

Henri ou Henry. Le roman de mon père

"Je lui aurais obéi. Je lui ai toujours obéi. Même le soir où on l'a retrouvé allongé sur le tapis chinois de son bureau, le cœur presque arrêté. Le médecin était là avant moi, il m'a chuchoté d'aller lui dire adieu parce qu'il n'arriverait pas vivant à la clinique, il allait mourir dans l'ambulance. Quand je me suis accroupi pour l'embrasser, papa m'a dit de lui servir un whisky sec, bien tassé. Ne fais pas ça, m'a dit maman, tu vas tuer ton père. Je l'ai fait quand même, toujours obéir à papa, j'ai soulevé sa tête pour qu'il soit bien à l'aise pour boire son whisky, qu'il en profite à fond, je n'avais pas lésiné sur la dose, j'ai senti les boucles de sa nuque ma caresser la paume, ça faisait comme un chat un peu lourd et qui semblait avoir froid, je lui ai demandé de ne pas mourir, pas comme ça, pas couché sur le tapis, alors il m'a dit laisse-moi finir ce putain de whisky et tu m'aideras à me relever, ne le bougez surtout pas a dit l'ambulancier, c'est mon père, j'ai dit, j'ai aidé papa à se redresser, à se mettre debout, il ne tenait pas très bien sur ses jambes mais il n'est pas tombé, il s'est appuyé sur moi pour marcher jusqu'à la porte palière où l'attendait la civière pour l'enfourner dans l'ambulance où il devait mourir, et il n'est pas mort, ni dans l'ambulance ni à la clinique, il n'est pas mort ce soir-là, le scotch y fut peut-être pour quelque chose, c'est la preuve en tout cas qu'une fois de plus j'avais bien fait d'obéir à mon père. Et ce livre est tout le contraire, une désobéissance. " Des années et des années après Abraham de Brooklyn et John l'Enfer, Didier Decoin raconte enfin la vie du plus beau de ses héros, Henri Decoin, son père.

05/2006

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