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Emmanuel Berl, Bernard de Fallois

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Romans, nouveautés : les livres de Bernard Minier

Bernard Minier est un auteur de thrillers et de romans policiers français né en 1960 à Béziers (Hérault), dont les romans sont caractérisés par des intrigues sombres et complexes, une grande précision dans la description des environnements naturels et des personnages qui explorent les recoins les plus sombres de leur âme. 

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Romans, essais, dictées : tous les livres de Bernard Pivot

Bernard Pivot, né le 5 mai 1935 à Lyon et décédé le 6 mai 2024, est une figure emblématique de la culture française, célèbre pour son rôle de journaliste, animateur de télévision et défenseur passionné de la langue française. 

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Livres, actualités : tout sur Leonard de Vinci

Fantastique visionnaire, inventeur de génie, les expressions manquent pour cerner la personnalité de Leonard de Vinci. Le 500e anniversaire de sa disparition est l'occasion de se replonger dans la vie, l'œuvre et l'héritage du peintre florentin, qui a multiplié les activités, de l'architecture à la botanique, en passant par la musique, la poésie ou encore la philosophie.

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Livres, actualités : tout sur Antoine de Saint-Exupéry

Né le 29 juin 1900 à Lyon, Antoine de Saint-Exupéry reste l'homme du Petit Prince pour des millions de lecteurs dans le monde entier. Publié en 1943 à New York avant de ne l'être que 2 ans plus tard par Gallimard en France, après la mort de son auteur, ce conte féérique et philosophique fait depuis partie des ouvrages français les plus célèbres à l'international.

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Livres, actualités : tout sur Guy de Maupassant

Sombrant dans la folie alors qu’il n’avait qu’une quarantaine d’années, Guy de Maupassant meurt à 43 ans, ne lègue au patrimoine littéraire français qu’une décennie d’œuvres. Mais quelles œuvres ! En quelques pages, Maupassant parvient à mêler ce pessimisme caractéristique, un réalisme prégnant et une dose de fantastique qui fera sa marque. 

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Dossier

Ouvrir les bibliothèques de France : Erik Orsenna au rapport

Mandaté par Françoise Nyssen, ministre de la Culture, faisant suite aux promesses de campagne d’Emmanuel Macron, Érik Orsenna est devenu rapporteur. Aux côtés de Noël Corbin, il s’est embarqué dans un tour de France des bibliothèques, pour évaluer la situation, et proposer des solutions pour valoriser les lieux.

Extraits

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Critique littéraire

Mélancolie d'Emmanuel Berl

Henri Raczymow nous propose ici un essai sur Emmanuel Berl dont la figure et l'oeuvre sont aujourd'hui quasiment oubliés. Dans l'introduction, il brosse à grands traits le portrait de Berl et souligne les paradoxes de sa trajectoire (oeuvre irrégulière, engagements politiques, amitiés de tous bords). L'ouvrage est une relecture du parcours biographique de Berl, rappelant notamment la proximité de sa famille avec la famille de Bergson et la figure de son oncle Emmanuel Lange, brillant agrégatif mort prématurément, dont ne cessait de lui parler sa mère et sa grand-mère, et qui hanta son enfance. Très jeune, Berl se révèle grand séducteur et brillant causeur. Dans les années 20, il fréquente Proust mais finit par se fâcher avec lui. Il est proche des surréalistes, et de Breton en particulier - à qui il disputera Suzanne Muzard. De Drieu (avec qui il crée un journal, Les Derniers Jours). De Malraux. De la NRF. Et d'un grand nombre d'autres futurs fascistes et collaborateurs comme Morand ou Bertrand de Jouvenel. Les entretiens menés par d'Ormesson et Patrick Modiano avec Emmanuel Berl sont sur le sujet de précieuses sources. Dans les années 30, il se lance en politique avec le journal Marianne, sans réelle conviction. Dans les années 40, il collabore à la rédaction de l'un des plus célèbres discours de Pétain - on lui attribuera plus tard les formules "Je hais les mensonges qui vous ont fait tant de mal" et "La terre ne ment pas". Mais les lois raciales et son mariage avec la chanteuse Mireille, d'origine juive, comme Berl, vont l'obliger à se cacher en Corrèze à partir de 1941. Intéressant projet que de se pencher sur cette figure qui a littéralement traversé le siècle et fréquenté, pour ne pas dire magnétisé, les plus grands écrivains du XXe siècle. Les louvoiements de Berl sont passionnants, tant ils épousent ceux de son pays. Réfléchir à Berl, c'est aussi réfléchir à notre Histoire.

10/2015

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Histoire de France

La fin de la 3ème République (10 juillet 1940)

En mai 1968 paraît La Fin de la IIIE République d'Emmanuel Berl. Témoin privilégié des semaines qui vont de l'attaque allemande du 10 mai 1940 à l'avènement du régime de Vichy, Berl met son talent d'écrivain au service de ses exceptionnelles connaissances du monde politique pour restituer ces moments qui virent le désastre militaire de la France et la disparition de la République. Partisan des accords de Munich, hostile à la déclaration de guerre en 1939, Berl est appelé dans l'entourage du maréchal Pétain devenu chef du gouvernement. Il quittera Vichy dès le 25 juillet, mais aura eu le temps d'écrire deux des discours prononcés par Pétain entre la demande d'armistice à l'Allemagne et la fin de la IIIE République, le 10 juillet 1940. Qui ne connaît ces formules qui firent les beaux jours de la propagande vichyssoise, avant de figurer dans tous les livres d'histoire : "Je hais les mensonges qui vous ont fait tant de mal" et "La terre, elle, ne ment pas" ? Réédité dans la collection "Témoins" , l'ouvrage de Berl est accompagné d'un dossier destiné à le replacer dans le cours de son oeuvre comme dans son contexte, et à montrer comment il fut accueilli en 1968, époque de réflexion politique bouillonnante, où l'historiographie de Vichy n'était pas encore nourrie d'archives. "Chez Berl, ce n'est pas l'intelligence seule qui parle, c'est aussi le sentiment, celui d'un homme qui ne connaît pas la haine" , écrit dans sa préface Bernard de Fallois, qui fut l'ami de Berl, avant d'être l'éditeur de ses Essais.

05/1968

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Littérature française

Prise de sang

La guerre finie, la paix revenue, Emmanuel Berl (1892-1976) veut comprendre ce qui est arrivé. En 1945, le "Voltaire du XXe siècle" se demande : comment un Juif va-t-il pouvoir vivre en France ? Dans Prise de sang (1946), Berl revient sur sa plus grande blessure : son pays lui a dit en 1940 qu'il n'était plus un Français comme les autres. Pour lui, il n'y a rien de plus grave qu'un pays qui reprend à quelqu'un ce qu'il lui avait donné à sa naissance. Depuis son enfance, Berl s'était toujours considéré Français avant d'être Juif. Ce sont les autres qui lui ont dit qu'il était Juif. La France de Pétain l'a exclu jusqu'à souhaiter sa mort alors qu'il avait réécrit le discours de l'Armistice de 1940, à la demande de ministres socialistes, pour qu'il soit écrit en "bon français" . Peut-il oublier la haine comme les Juifs livrés aux nazis par les Vichystes ? Dans son livre examen de conscience, Emmanuel Berl revient sur la trahison de la France envers lui et ses coreligionnaires. S'il revient sur le passé, sans le ressasser, c'est pour mieux se projeter dans l'avenir immédiat. A cinquante-quatre ans, il sait que sa vie est loin d'être finie dans une France qu'il aime tant, malgré tout. Pour la réédition de Prise de sang, nous y associons le très bel hommage à Emmanuel Berl de Bernard de Fallois, son ami et dernier éditeur.

09/2020

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Critique littéraire

Simenon

"Arbre à romans", comme il aimait à se définir, Simenon en a laissé près de deux cents, dont soixante-quinze consacrés aux enquêtes du commissaire Maigret, sans compter des centaines de contes et nouvelles et plusieurs ouvrages autobiographiques. Cette fécondité presque monstrueuse l'a fait considérer longtemps comme un phénomène littéraire mais qui ne relevait pas de la littérature au sens noble du terme. Tandis que, plébiscité par des millions de lecteurs, critiques et universitaires l'ignoraient et que les chapelles à la mode le méprisaient, Bernard de Fallois, le premier, osa mettre en lumière des évidences alors cachées : les "Maigret" devaient être considérés comme des romans à part entière ; Simenon n'était pas un feuilletoniste à succès mais un écrivain et des plus grands, en dépit de la répugnance du goût français à admettre une oeuvre romanesque qui ne soit ni d'un styliste ni d'un écrivain "à idées". "Il écrit comme Monsieur-Tout-le-Monde", dit un jour de lui un critique de mauvaise humeur. A quoi un autre critique répondit, non sans humour : "Ce qui est tout de même curieux, c'est qu'à part Simenon personne ne sait écrire comme Monsieur-Tout-le-Monde".

02/2003

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Critique littéraire

Sept conférences sur Marcel Proust. Suivies de Lecteurs de Proust

Après la Seconde Guerre mondiale, Sartre déclarait péremptoirement que nous étions "enfin débarrassés de Proust" . Il revendiquait, en effet, pour lui-même la dignité de Premier Ecrivain du Siècle, mais il savait bien que la place était déjà prise - définitivement - par Proust. Nul ne conteste aujourd'hui cette évidence. Bernard de Fallois fut au début des années 50 l'un des premiers à la proclamer. Le présent recueil livre la quintessence de ses lectures et de ses recherches. A l'intention de ceux qui partent à la découverte du plus grand monument littéraire du XXe siècle mais aussi de ceux qui l'ont déjà maintes fois visité, il résume, il éclaire, il condense en formules limpides et saisissantes les grands thèmes de l'oeuvre en sept conférences magistrales : comment Prout a-t-il composé son livre, qu'est-ce qu'un "personnage proustien" , quelle est la part du génie comique dans son oeuvre, celle de l'amour, de la réflexion métaphysique et de l'art ? Quelle est la place par rapport à ses plus illustres devanciers, Balzac ou Chateaubriand ? Pour clore cet ensemble une longue étude intitulée Lecteurs de Proust retrace la postérité de l'écrivain dans les premières décennies du XXe siècle. Proust comparait son livre à une cathédrale. C'est dire qu'il faut commencer par prendre du recul pour en comprendre la beauté, pour en apprécier chaque détail, chaque figure, chaque personnage. Après l'Introduction à la Recherche du temps perdu, Bernard de Fallois s'impose comme l'un des guides les plus accessibles, les plus clairs et les plus sûrs.

01/2019

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Cinéma

Chroniques cinématographiques

Bernard de Fallois a tenu chaque semaine de 1959 à 1962, sous le pseudonyme de René Cortade la chronique cinématographique de l'hebdomadaire Arts, dirigépar Jacques Laurent, puis celle du Nouveau Candide. D'autres collaborations avaient auparavant précédé cette activité. Environ 150 films sont ici présentés, analysés et jugés dans leurs principales composantes ? : scénarios, distribution, dialogues, musique - exercice hebdomadaire périlleux puisqu'il s'agissait d'aller vite à l'essentiel, de séduire le grand public et de contenter les doctes ; exercice redoutable, Bernard de Fallois ayant été précédé dans ce magistère par François Truffaut. Il a suffi de rassembler ces chroniques aujourd'hui pour composer tout naturellement un panorama du 7eArt en son Age d'or, c'est-à-dire en un temps où il était dominé par les maîtres qui demeurent nos classiques ? : d'Hitchcock à Fellini, de Bunuel à Bergman, de René Clair à Jacques Tati - pour s'en tenir à quelques noms. On voit poindre également les étoiles montantes ? ; on suit les courants et les modes. Très vite les chroniques de Bernard de Fallois s'imposèrent par leur vivacité et leur élégance, par leur densité aussi, lorsque la matière s'y prêtait. Une égale allégresse dans le dithyrambe et dans l'éreintement conserve à ces textes les couleurs de la vie. On y retrouve les paysages, les saisons et les rêves d'un temps où l'industrie de l'image n'avait pas encore dévoré le cinéma d'auteur.

11/2019

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