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Littérature française

Drag

Tony / Nita. Le jour / la nuit. Noisy / Paris. L'un est un jeune type de cité, il vit encore chez ses parents et rêve de devenir comédien mais passe des castings sans succès. L'autre est une drag-queen adulée. Elle illumine les soirées de la capitale, mais, comme Cendrillon, doit, à l'aube, quitter ses beaux atours pour disparaitre sous les traits de Tony. Pile et face d'une même médaille, l'un vit en jogging et parle en argot quand l'autre est une diva qui soigne autant son maquillage que son langage. On les suit à tour de rôle dans la narration comme deux personnages différents. Mais le destin va bientôt les obliger à se réunir. Des tours grises de la cité où le masque de caïd permet à Tony de s'en sortir à l'univers scintillant des drag-queens où la vie semble une fête, Johann Zarca nous fait passer d'un monde à l'autre jusqu'à les faire se rencontrer pour confronter son personnage au seul choix qui lui reste : s'unir ou mourir.

05/2023

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Littérature française

Le drap

Après avoir respiré des vapeurs nocives dans l'imprimerie où il travaille, monsieur Carossa tombe malade. Par crainte d'un licenciement, il demande au médecin le silence. Et puis, un jour, il ne se lève pas. Comme un animal écrasé sur la route, il gît, à même le drap.

02/2003

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Coloriages adultes

Drag queen

Talons aiguilles et tenues de rêve, retrouvez tout l'univers des drags dans ce coloriage ! Au programme : traits d'eyeliner démesurés, lèvres pulpeuses, contouring, costumes de scène à tomber et coiffures vertigineuses. Choisissez vos couleurs les plus osées pour redonner vie à ce show extravagant, et laissez libre cours à votre imagination.

06/2023

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Littérature française

Le drap blanc

"Quand mon père est mort, je n'ai pas hérité de boîtes pleines de documents et de lettres. Ses cendres ont été jetées à l'eau. Ses biens ont été donnés, détruits à la hâte. Il avait les yeux clairs et portait la barbe. Sur les photos, il avait cette allure virile et négligée caractéristique des années soixante-dix. Il ne pouvait pas se mettre à table sans son couteau de poche et du pain. Il disait "il" à ceux qu'il aurait dû vouvoyer, parce qu'il refusait de se soumettre à leur supériorité de classe. Il était drôle et colérique. Il était sensible. Il fumait, il buvait ; il n'a pas laissé grand-chose derrière lui. Je crois qu'il avait commencé à disparaître de son vivant déjà. Quand on a soulevé son corps, j'ai vu la légère empreinte qui creusait le drap, là où était posé son crâne. Puis elle s'est effacée, et le drap est redevenu lisse. C'est cette disparition qui a déclenché l'écriture de ce livre, cette absence que laissent les morts, avec laquelle ceux qui leur survivent tissent des fictions pour s'en sortir." C. H.

09/2019

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Non classé

Le drap rouge

Il n'y a de crime plus crapuleux, en ce 21e siècle, que le mariage forcé. Maïmouna aurait pu mener une adolescence plus épanouie si, et seulement si, sa mère ne l'avait pas donnée en mariage à l'âge de 14 ans et organisé par la suite son viol. Cette nouvelle retrace la dure réalité que continuent à traverser maintes jeunes filles dans la plupart des familles maliennes. Le mariage forcé, dénoncé sur tous les toits, continue malheureusement d'être une réalité atroce dans moult sociétés maliennes. A travers cette histoire de Maï, l'auteur expose et dénonce les dangers de cette pratique.

08/2019

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Romans de terroir

La Manade du Drac

En Camargue, en ce lieu si particulier où l'eau et la terre se livrent depuis la nuit des temps, un combat dont on ne sait qui sort vainqueur ou vaincu, rien n'est certain, rien n'est stable, rien, à dire le vrai, n'est rassurant. Rien. Et à La Manade du Drac, encore moins qu'ailleurs. De là à penser qu'elle est maudite, il n'y a qu'un pas ; la malédiction rôde sur le domaine, elle est là et bien là, la noire rôdeuse, elle a déjà frappé, elle repassera. Elle rôde, elle sait attendre. Alors, la défier ? A cheval entre le XVIIIe et le XIXe, grisé par sa réussite ou par sa foi en sa bonne étoile, François Gasquet s'y risquera. Alain Gérard livre là, dans un récit magistral où chaque phrase place le lecteur en tension, le parcours d'un homme, jouet de la fatalité embusquée. Sa narration, sans état d'âme, résonne comme l'écho parfait d'un Destin implacable, filé puis coupé - par les trois Parques ?- il n'a plus qu'à s'accomplir. François croyait tenir le fil quand il n'était que la marionnette suspendue de la Fatalité à l'oeuvre...

05/2018

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