Dans son ombre

Las Vegas est incontestablement l’univers du strass et des paillettes : dans le monde, cette ville incarne une capitale du loisir, autant que de l’extrême. Tout au long du célèbre Strip, cet immense boulevard, hôtels et casinos alternent avec des attractions touristiques les plus fantasques. Jusque dans l’urbanisation, tout a été pensé pour autoriser les folies architecturales les plus improbables...

Réveillez le romancier qui sommeille en vous !

L’unique bonne raison qui pourrait vous pousser à ne pas vous précipiter sur le dernier roman d’Arnaldur Indridason, c’est qu’il est le premier opus d’une trilogie et qu’il va falloir patienter plusieurs mois avant la parution du 2e puis du 3e tome.

Rencontres / Débats - Vendredi 9 mars 2012 à 20h00 - A la librairie

Alors que l’été commence à peine, il semblerait que les fournisseurs d’Apple se mettent déjà au travail pour assurer la production du nouvel iPhone. Il n’y a en effet plus guère de surprise chez la marque à la pomme et l’on sait qu’avec chaque rentrée scolaire sort un nouveau modèle du célèbre smartphone.

RentréeLittéraire23 - Née à Wellington en Nouvelle-Zélande en 1888, Katherine Mansfield, de son vrai nom Beauchamp, s'est éteinte en 1923 à Avon, près de Fontainebleau, des suites de la tuberculose à l'âge de trente-quatre ans. Bien qu'elle n'ait écrit que des nouvelles par choix et passion, son héritage a été obscurci par des malentendus et un manque de témoignages concrets de son existence. 

Rencontres / Débats - Jeudi 22 novembre 2012 à 20h00 - A la librairie

Dans l’ombre du Professeur Nimbus, aventures et mésaventures d'un héros de bande dessinée et de son créateur André Daix, d'Antoine Sausverd, paru dans la collection « Mémoire vive » de la maison PLG, a reçu le Prix SoBD 2023 du meilleur ouvrage sur la bande dessinée.

Les amateurs de scan maison se frotteront les mains de découvrir les nouveaux appareils de la société IRIS. Deux nouvelles machines avec un modèle WiFi sont commercialisées. Une garantie de numérisation rapide pour tous types de documents – magazines, livres, journaux, le tout en haute résolution.

Pour ne jamais manquer d'inspiration, Guy Larsen a trouvé une technique infaillible : les feuilles blanches, il les froisse. Et à l'aide de la boule de papier, il dessine. En s'aidant de l'ombre portée de cette dernière, il trace de drôle de portraits, inquiétants ou drôles.

Quiconque d'extérieur au pays y jetterait un oeil, pourrait légitimement se croire dans une cour de récréation. Passons rapidement, et outre, les commentaires type fruit de mer servis par le président à François Hollande, pour revenir au cas Chatel.

Ben Cook, l'homme qui textote plus vite que son ombre

ESSAI – Barbara Cassin et Alain Badiou se connaissent bien, ils ont dirigé ensemble une collection dénommée L’ordre philosophique aux éditions du Seuil. Un titre qui en dit long sur la destination éditoriale.

Tourné par les studios Disney à partir de 1960 et sorti en 1964, Mary Poppins est d'abord l'adaptation d'une série de livres pour enfants qui connurent un grand succès dès la publication du premier opus en 1934.

Les nègres, écrivains de l'ombre, entrent dans la lumière

RÉCIT FRANCOPHONE - Nous avons tous lu Jean Giono. Ou, du moins, croisé son nom à l’école. Quelle image avons-nous de son oeuvre ? Celle d’une Provence chantant au rythme des cigales ? Des livres sentant le terroir ? Si c’est le cas, nous avions tout faux. Du moins trop souvent de l’avis d’Emmanuelle Lambert, dont Giono, Furioso, initialement paru chez Stock est désormais disponible en Folio.

Attaquée pour « atteinte au droit de reproduction » et « préjudice moral », la société Moulinsart, qui gère les droits des héritiers d'Hergé vient de remporter un procès intenté par le fils d'un certain René Verhaegen.

NOUVELLES – On ne peut plus ignorer que les arbres ont une vie, une vie secrète. Le peuplier de Haroldo Conti a même une âme. Il grandit, il apprend, il se souvient : le vieux colosse sauvage est un être vivant, il se dresse, il est debout. Et l’homme, à l’ombre de son feuillage, écrasé par un labeur estival, rêvera qu’il est, aussi, un arbre. 

Le nom d'Alison Uttley n'est pas spécialement familier des lecteurs français, et pourtant, cette brave dame a largement oeuvré pour la littérature jeunesse, en créant un personnage attachant, le lapin gris et un hérisson questionneur.

Mais son journal personnel reflète une image bien plus dure que la légende, autant que ses opinions sur Enid Blyton, par exemple, qu'elle considérait comme une femme vulgaire.

De fait, Alison détestait cordialement un bon paquet de personnes, comme Beatrix Potter, ou encore Margaret Tempest, la qualifiant « d'absolument horrible ».

C'est au professeur Denis Judd qu'est revenu le plaisir de participer à la publication de ces mémoires qui vont de 1932 à 1971. « C'est un paradoxe étonnant. Elle croyait aux fées, aux voyages dans le temps, que les gens puissent se déplacer dans des mondes différents. » Et pourtant, Alison avait un esprit analytique clair, mathématique et une pensée très scientifique.

Après le suicide de son mari en 1930, on ressent même une certaine aigreur s'instaurer. « Je trouve la vie difficile à certains moments... et je me comporte trop comme une enfant, faisant des choses insensées, indignes... Je ne pense pas qu'on puisse avoir une grande imagination et une grande sagesse », écrit-elle.

Selon Denis, Alison était une personne très manipulatrice et aimant contrôler les personnes de son entourage. Ce qui la rendait particulièrement difficile à vivre. En outre, sa nature compétitive aura souvent obscurci son jugement, admet-il « et considérablement affecté sa vie privée et professionnelle ».

Ce vendredi 16 juin sortait sur la plateforme de streaming Disney+, un documentaire sobrement intitulé Stan Lee. Ce dernier retrace la vie et la carrière de celui que l’on considère comme le père fondateur de l’écurie Marvel. Cependant, cette production en oublie un autre acteur essentiel dans la naissance de cette immense industrie : Jack Kirby. Sa descendance a d’ailleurs pris soin de remettre les points sur les i...

Grâce au succès d'Avant toi, paru en 2014 en français chez Milady, traduit par Frédéric Le Berre, Jojo Moyes peut aborder sereinement la suite de sa carrière d'auteure. Ce qui ne la conduit pas pour autant à oublier ses confrères et consœurs : elle propose ainsi de passer une semaine gratis dans sa maison de campagne, pour écrire loin des soucis.

L’histoire commence un peu par tous les bouts… D’abord il y a un monologue violent d’un personnage féminin non identifié qui s’énerve très fort à l’encontre de celle qui a été son amie mais qui semble bien avoir eu le tort de lui voler son amoureux. Avec des menaces vraiment très précises et une volonté farouche de punir la coupable jusqu’aux « flammes de l’enfer où tu brûleras pour l’éternité ».

ROMAN ETRANGER - Fortuitement, dans les couloirs du Théâtre Impérial où avaient lieu des représentations, alors que les premiers coups de claquoir annonçaient la fin de l'entracte, au pied du grand escalier, Komayo a bien failli butter contre Monsieur Yoshioka. Ils se sont évités au dernier instant et se sont reconnus.

BONNES FEUILLES - Trois années durant, Byung-Chul Han s’est consacré quotidiennement à son jardin, près du lac Wannsee, à Berlin. Jardiner a été pour lui un exercice physique et un exercice de méditation, et le jardin un lieu de séjour dans le silence, dans un temps durable et parfumé. Confessions, descriptions (de fleurs, d’arbres...), poésies, journal... Han compose avec ces « genres »  une musique qui rend grâce à la terre. Travailler au jardin enseigne le respect, la signification du soin et la pluralité des consciences du temps.