Ces enfants qui veulent guérir leurs parents

INFOGRAPHIE - Dans une étude réalisée au Canada sur les enfants et la lecture par les éditions Scholastic, on y apprend plein de choses. Sur les 1939 enfants et parents interrogés, on découvre sans surprise qu’un livre choisi et toujours préféré à un autre, à 94%. Morale de l’histoire : On laisse les enfants choisir !

Cet hiver, les familles américaines devraient se ruer, une fois de plus, sur des appareils de lecture numérique. Selon un récent sondage, 45 % des parents envisagent d'offrir à leur progéniture un outil de lecture. Les lecteurs ebook seraient parmi les cadeaux technologiques les plus en vogue de cette saison. 

Une récente étude réalisée auprès de plus de 500 parents montre qu'aujourd'hui, près de 64 % des parents ne lisent pas de livre à leur bébé  avant ses sept mois, et pire encore, que 57 % ne possèdent pas un seul livre. Enfin, jusqu'à ce qu'ils reçoivent les ouvrages offerts aux parents dans le cadre du programme Bookstart de Booktrust. 

 C'est maintenant un fait, les jeunes, enfants comme adolescents, lisent de moins en moins. Les lecteurs numériques changent-ils la donne ? Selon une étude par Scholastic, oui. Et dans le bon sens.

Les parents seraient encore assez réticents à faire confiance au numérique, de peur qu'il ne vienne corrompre les habitudes de lecture. Pointés du doigt : l'exposition aux écrans, à la publicité, et donc une concentration moindre. La lecture numérique pourrait pourtant réhabiliter le livre dans le cœur des enfants, surtout des garçons. 

En janvier dernier, une étude montrant que les enfants préfèrent les livres numériques aux livres papier présentait des conclusions intéressantes sur ces pratiques de découverte et de lecture. Avec une grande victoire : l'iPad faciliterait le retour à la lecture des plus jeunes.

Les jeunes... sans respect pour les valeurs de leurs aînés, convaincus de tout savoir et d'avoir raison de le croire... Les jeunes, c'est affreux. Insupportable. Intolérable !

Sécurité et scolarité : les parents confiants pour leurs enfants

Les progrès de la technologie rendent désormais accessible aux parents une traçabilité de tous les instants de la vie de leur chère progéniture. Entre le téléphone portable que l'on peut utiliser pour prendre des nouvelles ou bien pour suivre à la trace son enfant et les logiciels permettant de retracer l'historique de la navigation sur Internet de nos chers bambins, ceux-ci perdent en liberté par rapport à leurs aînés.

La société Trend Micro, spécialisée dans la sécurité informatique a réalisé une enquête auprès des parents américains. Il en ressort que 79 % d'entre eux jugent l'usage de Facebook dangereux pour leurs enfants. Ils appréhendent notamment les dérives qui peuvent se cacher derrière l'utilisation des réseaux sociaux, à savoir le harcèlement, la pédophilie ou encore les différentes formes de cybercriminalité, rapporte le site Les Numériques.

Des parents sans diplômes poussent moins leurs enfants aux études

Une enquête russe, intitulée The Digital Parenting Russia et publiée en mai 2012, s'est intéressée à la manière dont les parents russes appréhendent les perspectives offertes par le contenu numérique. Sont passées à la loupe leurs habitudes de consommation ainsi que leur perception des impacts des nouvelles technologies sur l'éducation de leurs enfants, sur leur développement, les compétences sociales et les relations familiales.

Le Livre qui fait parler les parents et les enfants de 7 à 10 ans

Le laxisme fait rage outre-Manche, laissant les enfants seuls à leur triste sort. Un tableau désastreux, affolant, et plus encore : selon les données de la Book Trust, organisme chargé de la promotion de la lecture, les pères britanniques ne font toujours que trop peu la lecture à leurs enfants. 

Ces pères qui n'aiment pas forcément leurs enfants

Les parents seraient terrorisés à l’idée de lire, avant qu’ils ne s’endorment, des histoires effrayantes à leur progéniture. Un tiers d’entre eux évitent soigneusement ces textes, montre une étude réalisée par une psychologue auprès de 1003 parents britanniques. Tout ce qui pourrait contenir un personnage effrayant est tenu loin de leurs enfants – encore faut-il définir ce que peut signifier « effrayant ».

Les enfants aiment lire, que l’on se rassure. Du moins ceux de 7 à 11 ans, que le magazine J’aime Lire a sollicités, avec leurs parents, dans le cadre d’une enquête. Les résultats sont nets : la lecture n’est pas un sport de combat — et cette fois, enfants et parents ont été sollicités pour répondre.

On ne sait pas si c'est une bonne nouvelle, mais, selon une étude américaine, il faut croire que le livre papier ne fait plus rêver les enfants. En tout cas, les parents voient d'un bon œil la lecture sur reader. En effet, 40% des parents dont les enfants lisent des livres numériques ont prévu de leur offrir une nouvelle machine.

Les départs en vacances, tout le monde les connaît : ils sont, dans la voiture, ponctués par des cris, des pleurs, des hurlements, des coups de volant pour tenter de faire taire la marmaille installée à l'arrière, des menaces, des supplications, des imprécations, etc. Mais pour ces parents désespérés, ces solutions sont bien souvent vaines. Raison pour laquelle on recourt généralement aux drogues.

Dans un monde où les outils numériques se multiplient, l'application Booxup met en avant le réseau au service d'un échange humain, celui des livres. Le service d'échange et de prêt entre particuliers a attiré l'attention d'acteurs de l'industrie du livre et de la DGCCRF, qui a diligenté une enquête préventive sur l'appli. L'information avait suscité de nombreuses réactions, notamment en provenance des auteurs : les fondateurs y répondent.

PODCAST – Calamité : les enfants ne lisent plus ! Les sondages l’assurent, et les adultes s’en griffent le visage au sang : pauvre jeunesse, pauvres enfants, pauvre de nous ! Mais les enfants, leur a-t-on simplement demandé leur avis avant de leur asséner des sondages de grands auxquels personne ne comprend goutte ? 

Si de nombreux pays se battent pour rendre les livres accessibles à tous, les États-Unis aiment autant empêcher leur circulation. Le journal local

Les étudiants veulent leurs examens, Pécresse aussi

Parce que de plus en plus de livres sont publiés, mais aussi en raison de budgets peu élevés ou en baisse dans plusieurs régions du monde, les bibliothèques ne sont pas toujours en mesure d'avoir dans leur fonds les ouvrages demandés par les usagers. Raison pour laquelle l'Online Computer Library Center (OCLC) propose aux établissements du monde entier de mettre leurs collections en réseau, pour mutualiser les documents...

Le cabinet international de conseil en management Kurt Salmon a mené une étude auprès de 4000 personnes, en France, Grande-Bretagne, États-Unis et Chine pour le Forum d'Avignon, afin d'évaluer les attentes des consommateurs en matière de contenus culturels. Accompagner ces derniers tout en leur laissant leur liberté, un mantra que les diffuseurs et les institutions culturelles doivent répéter, d'après le cabinet.

Les jeunes devraient avoir une situation moins bonne que leurs parents

Qui n’a jamais tenu dans ses mains, enfant, un numéro de J’aime lire (édité par Bayard) ? Du moins dans la génération 80 dont je fais partie, J’aime lire était notre bible. Le magazine n’a pas pris une ride, et reste un vecteur de lecture à la fois ludique et qualitatif dans le choix de ses textes, pour initier les plus jeunes lecteurs.

Une enquête réalisée par OpinionWay pour l'association Savoir Livre, présente la volonté des parents, des enseignants et des maires de disposer d'un cartable essentiel de livres, complété par des outils numériques minimums, pour l'enseignement. 

La période de tensions psychologiques où l'enfant commence à comprendre que l'un de ses parents est atteint d'une maladie mentale est un sujet de plus en plus fréquent dans les fictions pour adolescents et jeunes adultes.