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Camille Saint-Saëns, Victor Roussy, Cyril Bongers

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Livres, actualités : tout sur Victor Hugo

Poète, romancier, dramaturge et dessinateur, Victor Hugo est l'archétype de l'homme de lettres français du XIXe siècle, engagé dans la vie politique de son pays et créateur de plusieurs œuvres incontournables. Né en 1802 dans un milieu bourgeois, il manifeste rapidement des facilités avec l'écriture, et publie son premier roman, Han d'Islande, publié en 1823.

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Auteurs sans éditeurs, éditeurs sans auteurs ? Un podcast en 4 épisodes

Auteurs sans éditeurs ? Éditeurs sans auteurs ? Toute ressemblance avec un article ou un livre déjà paru n’est pas fortuite. D’ailleurs, le papier de Jérôme Lindon n’a pas pris une ride depuis 1998. Arrêtons-nous un instant sur sa conclusion dans les colonnes du monde : « [La] transformation du paysage de l’édition tend inévitablement à priver de toutes chances d’être lues, et par conséquent d’être publiées, les nouveautés d’exception qui ne répondent pas aux critères de valeurs en vigueur au moment où elles voient le jour. Mais qui remarque l’absence d’un auteur inconnu ? »

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Livres, actualités : tout sur Antoine de Saint-Exupéry

Né le 29 juin 1900 à Lyon, Antoine de Saint-Exupéry reste l'homme du Petit Prince pour des millions de lecteurs dans le monde entier. Publié en 1943 à New York avant de ne l'être que 2 ans plus tard par Gallimard en France, après la mort de son auteur, ce conte féérique et philosophique fait depuis partie des ouvrages français les plus célèbres à l'international.

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Le Petit Prince, conte intemporel d'Antoine de Saint-Exupéry

Le Petit Prince n'est pas seulement allé dans l'espace : il a traversé toute la planète. Livre le plus traduit au monde après la Bible, ce classique d'Antoine de Saint-Exupéry a été publié pour la première fois en 1943 par la maison d'édition Reynal & Hitchcock, puis aux éditions Gallimard, en français, en 1945. De loin le livre le plus connu de son auteur, ce conte a touché des millions de lecteurs par sa portée philosophique et onirique...

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Fête du Livre 2023 : le rendez-vous littéraire de Saint-Étienne

La 37e édition de la Fête du Livre de Saint-Étienne est en marche ! Du vendredi 13 au dimanche 15 octobre, la ville s'anime autour de la littérature, offrant aux passionnés et aux curieux une pléiade d'événements.

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Dossier

La famille, ce port d'attache parfois trop attachant

La famille, ce mot si universel, évoque en chacun de nous des images, des souvenirs et des émotions. Pourtant, sa signification et sa structure varient étonnamment d'une culture à l'autre. Voyageons à travers le vaste monde des familles et découvrons les mille et une façons de former ce précieux noyau social.

Extraits

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Musique, danse

Ivanhoé (réduction). cantate sur un poème de Victor Roussy pour solistes et orchestre

Bien loin de constituer un ouvrage isolé dans l'oeuvre de Camille Saint-Saëns, Ivanhoé appartient à un ensemble réalisé dans le contexte particulier du concours pour le prix de Rome. Institué en 1803, supprimé dans la foulée des événements de mai 1968, ce dernier fut pendant longtemps le plus convoité des prix français de composition musicale. Organisé par l'Institut, il garantissait à ses lauréats, à défaut de l'assurance d'une future carrière sans embûches, du moins l'entrée par la grande porte dans le monde artistique et quelques années de pension en Italie, à la villa Médicis. De fait, bien peu résistèrent à l'attrait de cette récompense susceptible de marquer avec éclat l'aboutissement de longues années d'études. Que l'auteur de la Danse macabre s'y soit présenté n'a finalement rien d'étonnant. Mais bien qu'appelé à devenir au tournant du siècle l'un des plus illustres représentants de l'art académique, il n'obtint jamais le fameux premier grand prix. Certes, il serait aisé de mettre son premier échec, en 1852, sur le compte de l'inexpérience, mais son second et dernier, douze ans plus tard, demeure plus surprenant ? : ayant presque atteint la limite d'âge, le musicien n'est alors plus un novice. Est-ce sa situation d'artiste déjà établi qui lui valut d'être écarté ? Rien ne peut le confirmer, mais il n'en reste pas moins qu'après avoir été placé en tête des six candidats admis à l'épreuve finale en juin 1864, il échoua finalement au profit de Victor Sieg, camarade appelé à un destin autrement plus modeste. Composé par Victor Roussy, le livret d'Ivanhoé s'inspire d'un épisode du roman éponyme de Walter Scott. Tout en répondant aux obligations d'une cantate de Rome, il exploite différents antagonismes susceptibles de mettre en valeur les candidats les plus talentueux. Sur fond de tensions entre Saxons et Normands dans l'Angleterre de la fin du xiie siècle, il développe l'amour impossible et unilatéral de la juive Rebecca pour le chrétien Ivanhoé, la grandeur d'âme de ce dernier répondant à l'ambiguïté de son ennemi Bois-Gilbert, pris quant à lui par son désir pour la jeune israélite. Entre histoire et religion, c'est un véritable petit opéra qui se développe dans ces cinq courtes scènes. Bien qu'inégale, la partition de Saint-Saëns est remarquablement variée. Si certains airs purement strophiques peuvent nous sembler convenus, nous ne pouvons qu'admirer son sens de la mélodie, l'efficacité de ses progressions dramatiques ou certaines fulgurances comme cet étonnant épisode vocal sur une simple note tenue. Ouvre de transition, Ivanhoé n'en contient pas moins certains aspects d'une écriture déjà personnelle, notamment cette volonté d'unification par des motifs conducteurs ou son goût prononcé pour les trames orchestrales denses qu'une instrumentation limpide vient éclaircir. Autant de qualités que le musicien ne tardera guère à mettre en pratique... son chef-d'oeuvre lyrique, Samson et Dalila, ne fut-il pas entrepris dès 1867 ??

01/2018

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Musique, danse

Correspondance romaine. Présentée et annotée par Cyril Bongers

« Je ne puis absolument pas écrire sur le papier l’admiration qui m’a frappé en voyant la villa Medici. Quand je pense que pendant deux ans j’habiterai là-dedans, mais c’est un rêve réalisé. Oh, je suis trop heureux ! » Si la postérité n’a voulu retenir de Gabriel Pierné (1863-1937) que ses importantes activités de chef d’orchestre, il n’en reste pas moins un grand compositeur, auteur d’une œuvre de qualité encore à découvrir. Signe manifeste de la multiplicité de ses talents, c’est par le prestigieux prix de Rome qu’il acheva ses années d’études au Conservatoire. Cette récompense très convoitée lui valut le privilège de vivre quelques années dans le cadre idéal de la villa Médicis, avec pour seule obligation d’y parfaire son art. La correspondance présentée dans ces pages, totalement inédite, en représente le témoignage unique ; celui d’un jeune compositeur ambitieux partagé entre l’espoir d’un avenir glorieux et l’insouciance de la jeunesse. Dans ce véritable journal de bord où se côtoient sans distinction les noms de Grieg, Liszt, Wagner et Debussy, Gabriel Pierné relate jour après jour, dans un style des plus vivants, l’émerveillement suscité par chacune de ses découvertes. « Cependant, dans les Meistersinger, Wagner a été bien plus musical que dans sa Tétralogie, où le chanteur n’est absolument que l’humble explicateur de ce qui se passe. A la 1ère audition c’est indigeste, mais à la 2e on est empoigné, émerveillé. Quant à faire de la musique comme celle-là, je ne le souhaite pas. Vous voyez chers parents que tout en aimant Wagner, je ne suis pas encore Wagnérien. »

12/2005

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Musique, danse

Ode (conducteur A4). sur un poème de Jean-Baptiste Rousseau

Bien loin de constituer un ouvrage isolé dans l'oeuvre de Camille Saint-Saëns, Ode appartient à un petit ensemble réalisé au début de sa carrière dans le contexte particulier du concours pour le prix de Rome. Institué en 1803, supprimé dans la foulée des événements de mai 1968, ce dernier fut pendant longtemps le plus convoité des prix français de composition musicale. Organisé par l'Institut, il garantissait à ses lauréats, à défaut de l'assurance d'une future carrière sans embûches, du moins l'entrée par la grande porte dans le monde artistique et quelques années de pension en Italie, à la villa Médicis. De fait, bien peu résistèrent à l'attrait de cette récompense susceptible de marquer avec éclat l'aboutissement de longues années d'études. Que l'auteur de la Danse macabre s'y soit présenté n'a finalement rien d'étonnant. Mais bien qu'appelé à devenir au tournant du siècle l'un des plus illustres représentants de l'art académique, il n'obtint jamais le fameux premier grand prix. Certes, il serait aisé de mettre son premier échec, en 1852, sur le compte de l'inexpérience, mais son second et dernier, douze ans plus tard, demeure plus surprenant ? : ayant presque atteint la limite d'âge, le musicien n'est alors plus un novice. Ses fonctions à l'orgue de la Madeleine lui avaient même permis d'acquérir une certaine réputation. Est-ce cette situation d'artiste établi qui lui valut d'être écarté? ? Si rien ne permet de l'affirmer, il n'en reste pas moins que ses ouvrages de l'époque témoignent déjà d'une grande maîtrise. Il en est ainsi de cette Ode avec accompagnement d'orchestre composée pour les premières épreuves du concours, entre le 28 mai et le 3 juin 1864. Pourtant placé en tête des six candidats admis à l'épreuve finale - une cantate pour trois voix solistes sur le thème d'Ivanhoé -, il devait échouer au profit d'un certain Victor Sieg, camarade appelé à un destin autrement plus modeste. Au-delà de ces circonstances que d'aucuns pourraient qualifier d'anecdotiques, Ode revêt une dimension particulière en ce qu'elle laisse clairement entrevoir les principales préoccupations esthétiques de Saint-Saëns dans ses premières années. Depuis longtemps familier du répertoire religieux, il ne fut guère décontenancé face à ce poème de Jean-Baptiste Rousseau, certes un peu vieilli mais non moins propice à de belles démonstrations chorales. Dans un même temps, il su éviter le dangereux écueil d'un traitement trop terne par l'aménagement de forts contrastes trahissant son intérêt pour l'opéra. A travers ces quelques pages, entre recueillement et grands gestes dramatiques, le compositeur s'attache à montrer toute l'étendue de son talent. Cyril Bongers

07/2019

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Musique et danse

Camille Saint-Saëns

Né en 1835 à Paris, Camille Saint-Saëns a marqué l'histoire de la musique avec Danse macabre et Le Carnaval des animaux. Il fut également l'un des premiers compositeurs à mettre son talent au service du cinéma en composant la musique du film L'Assassinat du duc de Guise. Reconnu par ses pairs de son vivant et décoré à plusieurs reprises, ce compositeur de génie forma et inspira de grands noms de la musique comme Gabriel Fauré.

10/2021

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Musique, danse

Camille Saint-Saëns

Avec Camille Saint-Saëns (1835-1921) se dessine la musique post-romantique française. Elève surdoué, il joue son premier concert à onze ans et suit les classes d’orgue, de composition et d’harmonie du Conservatoire de Paris. C’est à l’église de La Madeleine, dont il est titulaire de 1858 à 1877, qu’il acquiert une réputation de maître de l’improvisation. Saint-Saëns est aussi un des fondateurs de la Société Nationale de Musique pour encourager les jeunes compositeurs de l’époque. Eternel voyageur, avec une nette préférence pour l’Afrique du Nord, il entreprend en 1916 une tournée de concerts en Amérique du Sud, à l’âge de 81 ans ! Il meurt à Alger durant l’hiver 1921. On peut le considérer à juste titre comme un des pères du poème symphonique français, notamment avec sa Danse macabre aussi connue que son malicieux Carnaval des animaux. Mais on ne saurait oublier ses symphonies (dont la grande 3ème avec orgue), ses concertos pour piano, sa Suite Algérienne ou son opéra Samson et Dalila qui émerveilla Franz Liszt. Ce nouveau volume de la collection horizons vous propose de redécouvrir la vie et l’oeuvre d’un grand nom de la musique française à travers une synthèse illustrée.

01/2014

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Livres 3 ans et +

Le carnaval des animaux de Camille Saint-Saëns

Découvrez dans ce livre-théâtre six extraits du célèbre Carnaval des animaux de Camille Saint-Saëns, accompagnés par les poèmes originaux d'Elodie Fondacci et les magnifiques illustrations d'Amanda Enright. L'univers coloré du Carnaval des animaux est ressuscité grâce à de belles scènes réalisées en papiers découpés, mais aussi grâce aux extraits sonores choisis parmi les plus emblématiques. Un livre enchanteur que vous aurez plaisir à (vous) offrir et à partager ! La marche royale du lion ; Poules et Coqs ; Tortues ; L'éléphant ; Aquarium ; Finale.

10/2020

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