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Cécile Gavlak, Alexis Voelin, Maxime Maillard

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Cécile Coulon

Née le 13 juin 1990, Cécile Coulon publie son premier roman à l'âge de 16 ans, Le Voleur de vie, en 2007, aux éditions Revoir. En 2010, elle récidive avec Méfiez-vous des enfants sages, aux éditions Viviane Hamy. Ses talents sont rapidement remarqués, puisqu'elle reçoit le Prix Mauvais genre dès 2012.

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Dossier

En 2024, Montmorillon met Cécile Coulon et Timothée de Fombelle à l'honneur

Le Festival du livre de Montmorillon fait son retour du 7 au 9 juin 2024. Depuis plus de 30 ans, le Festival du Livre invite personnalités du monde littéraire, lecteurs avertis et amateurs de tout âge et de tout milieu dans cette charmante ville de la Vienne pour trois jours consacrés à la littérature d’ici et d’ailleurs.

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Dossier

Le Prix Jean d'Ormesson

En mars 2018, quelques mois après la disparition de Jean d'Ormesson, le 5 décembre 2017, sa fille Héloïse d'Ormesson annonce la création d'un prix littéraire pour lui rendre hommage. « C’est avec joie et fierté que je vous annonce la création du prix Jean d’Ormesson, qui sera décerné le 6 juin prochain au Centre national du livre (pour s’approcher de la date anniversaire de la naissance de mon père le 16 juin 1925) », explique-t-elle.

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Dossier

Le Prix des Libraires

Créé en 1955, le Prix des Libraires est porté par une association réunissant des libraires indépendants. Chaque année, la récompense, décernée au mois de mai ou juin, vient saluer un roman écrit en français. La particularité du prix est de permettre à tous les libraires indépendants de faire entendre leur voix...

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Dossier

La chronique des Bridgerton : la revanche de la romance

À plus d’un titre ! En 2009, J’ai lu publiait les premiers ouvrages de Julia Quinn dans la collection Aventures & Passions. Entre temps, Netflix décide de réaliser une adaptation de cette fresque : au total, près de 900.000 exemplaires vendus… Ces aventures amoureuses sur fond de marivaudage britannique, à l’époque de la Régence, dans les premières années du XIXe siècle ont conquis le public.

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Dossier

9e édition du prix "Envoyé par La Poste"

Imaginé et créé par la Fondation La Poste en 2015, le prix Envoyé par La Poste récompense un manuscrit (roman ou récit) adressé par courrier, à un éditeur qui décèle un talent d’écriture et qui décide de le publier. 

Extraits

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Sociologie

Dose de cheval. Reportage avec Myriam Dutruy, physiothérapeute

L'hippothérapie-K, vous connaissez ? C'est une forme de physiothérapie, reconnue par les assurances maladies, qui vise à améliorer la santé et le quotidien de personnes à mobilité réduite. Avec ce métier, Myriam Dutruy a réuni ses deux passions de toujours : la mécanique du corps humain et les chevaux. Elle est physiothérapeute à Luins, en Suisse. Les séances se passent à dos de cheval. Le principe ? Le pas naturel de l'animal reproduit les mouvements de la marche sur le bassin du patient. Nous nous sommes glissés dans l'emploi du temps chargé de Myriam, entre ses cinq enfants, les travaux de la ferme, les séances de thérapie et tout le reste.

04/2021

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Sociologie

Transmission d’une école de cirque : la piste familiale. Rencontre avec L’élastique citrique

L'Elastique citrique, dans une ancienne caserne de pompiers, trône sur l'une des places principales de Nyon, ville située entre Lausanne et Genève. Ici, une communauté se côtoie grâce à une discipline particulière : ni sport, ni art, ni loisir. Un état d'esprit : le cirque. Pour qui n'a jamais franchi les portes de la caserne, c'est une tribu lointaine, étrange, peut-être un peu trop. Mais nini aime le trop. Et François aime nini. Nini et François Pythoud ont créé cette école de toutes pièces voilà trente ans. Aujourd'hui, il est l'heure de confier les clés de la direction à leurs trois enfants, Juliette, Maxime et Valentin. Nous sommes allés voir comment se transmet la direction d'une école de cirque chez les Pythoud.

12/2023

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Sociologie

Une question de temps. Reportage avec François Vorpe, croque-mort

12h30. "Je me change et on y va". Je ne le sais pas encore, mais cette phrase de François Vorpe, je l'entendrai quotidiennement. 12h50, l'heure de partir. Dans son costume noir, il est prêt, parfumé, coiffé. Sur l'autoroute, son corbillard s'enfile dans un tunnel, passe à travers la montagne, puis s'engage dans le trafic plus dense de la ville, en direction du funérarium de Bienne. François Vorpe est croque-mort à Tavannes, commune du Jura bernois, région francophone du canton de Berne, en Suisse. Croque-mort. François Vorpe n'a pas honte de ce mot, il ne le trouve pas dégradant ou argotique. De toute façon, quel autre terme employer ? Entrepreneur de pompes funèbres ? Prétentieux, trop recherché. Donc croque-mort, ce métier que François Vorpe exerce depuis toujours avec la même passion. 13h30, il sort le cercueil du corbillard pour le déposer dans une chapelle. 14h, côté public. Les mains jointes, l'air sérieux et grave, François Vorpe se tient dans l'allée au milieu des bancs de l'église, comme l'ouvreur d'un théâtre, prêt à épauler ou renseigner. 15h. La cérémonie se termine, François Vorpe glisse à nouveau le cercueil dans son corbillard pour le conduire au crématorium. 16h, coup de téléphone. Il faut partir immédiatement. Quelque part, une personne vient de décéder. Une famille endeuillée l'attend. Les familles à recevoir, les corps des défunts à préparer, les repas vite avalés, les allers-retours en corbillard, les visites éclair dans les vieilles fermes auxquelles il veut donner une deuxième vie et dont son entreprise de menuiserie assure les rénovations, les discussions avec sa secrétaire, les coups de téléphone. Et pour garder l'équilibre mental ? : monter à cheval. Dès le premier jour passé avec François Vorpe, on a compris que l'on aurait à s'adapter à un rythme effréné, au rythme de sa vie chronométrée. Le croque-mort, lui, nous a répété à tire-larigot qu'à force de vivre au contact permanent de la mort, il connaissait la valeur de la vie et ne voulait pas en perdre une miette. La mort. Qui fait peur. Redoutable gouffre, impasse pour certains, ouverture pour d'autres, pays inconnu d'où personne ne revient. Cette mort tellement présente aujourd'hui, qui nous frôle et habite notre esprit en période de pandémie. Avant de suivre François Vorpe dans son métier, on n'était pas fier, on appréhendait. Le glauque, les odeurs, les corps. Il fallut se préparer à accepter de ne pas être prêt. Se préparer à affronter ses propres angoisses, auréolées d'un imaginaire peuplé de zombies, de vers de terre, de flammes, de tunnels sombres ou lumineux. Et puis, finalement, au delà de l'émotion des familles endeuillées, ce fut une rencontre avec la banalité de la mort, la beauté figée des corps sans vie, rendus impeccables par François Vorpe. Le respect minutieux, une certaine douceur, un travail de réconfort auprès des personnes qui souffrent font de ce travail un métier particulièrement humain, réellement proche du soin.

01/2021

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Poches Littérature internation

Cécile

Dès les premières pages de ce roman, on devine que Cécile von Saint-Arnaud, mariée à un officier bien plus âgé qu'elle, possède un secret. C'est ce secret que s'efforce de découvrir l'un des protagonistes du roman : tout le récit se nourrit de cette attente, de cette tension qui monte, accompagnant en basse continue l'histoire d'un amour qui s'ébauche, évolue et se brise. La première partie se déroule dans les montagnes de Harz - terre des légendes de la vieille Allemagne - où Cécile déploie son charme au milieu d'une petite société de vacanciers dans l'enivrante splendeur d'un été qui touche à sa fin. L'histoire connaîtra son dénouement dans ce Berlin pittoresque et convivial que Fontane aimait tant, mais dont le carcan des conventions sociales se révélera mortel.

05/1998

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Littérature étrangère

Cécile

Dans la chaleur torride d'un début d'été, la très belle Cécile, épouse d'un riche officier en retraite, rencontre l'ingénieur civil Gordon. C'est un coup de foudre. L'atmosphère dans les montagnes du Harz est idyllique mais l'issue tragique est inévitable. Rebelle à la misogynie qui habite les lettres française et allemande, Fontane fait de Cécile une victime de la société et des préjugés masculins. A l'arrière plan du récit, mais pour mieux l'éclairer, Fontane nous livre un tableau politique, social et religieux d'une allemagne bismarckienne encore dominée par une aristocratie qui répugne à abandonner ses privilèges.

10/2016

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Littérature française

Cécile...

Il faisait pourtant très beau ce deux août 1914 ! La Première Guerre mondiale sonnera le glas de bien des amours... Cécile, à peine sortie de l'adolescence sait déjà ce qu'elle veut et ce qu'elle veut, elle le prendra envers et contre tous. Sa volonté inébranlable et sa détermination lui permettront d'accéder à ce qui lui tient le plus à coeur, le pouvoir ! Elle balaiera d'un revers de main tous les obstacles et elle reniera sans aucun état d'âme ses proches, sa famille, allant jusqu'à abandonner son fils... Au fil du temps et de sa vie, au gré de ses humeurs et aussi de ses remords, Cécile nous emmène dans son combat, celle d'une femme décidée à s'imposer dans une société patriarcale. A travers des dialogues hauts en couleur, Robert Macrez nous fait traverser quarante années de vies de ses personnages aux caractères bien trempés...

03/2024

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