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Aglaja Kempf, Véronique Mauron, Oskar Kokoschka

Dossiers

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Dossier

Pass Culture : l'accès aux oeuvres et aux loisirs pour les jeunes

Proposition culturelle centrale du programme culturel du candidat Emmanuel Macron au cours de la campagne de 2017, le Pass Culture se présentait comme l'opportunité, pour les jeunes de 18 ans, de se saisir de leur citoyenneté et de leur liberté pour découvrir la richesse culturelle de leur territoire, ainsi que la diversité de la production culturelle. Ce sont ainsi 500 € qui seront « offerts » à chaque jeune, le jour de ses 18 ans, et qu'il pourra utiliser à travers une application conçue sur mesure pour le Pass Culture.

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Dossier

Ouvrir les bibliothèques de France : Erik Orsenna au rapport

Mandaté par Françoise Nyssen, ministre de la Culture, faisant suite aux promesses de campagne d’Emmanuel Macron, Érik Orsenna est devenu rapporteur. Aux côtés de Noël Corbin, il s’est embarqué dans un tour de France des bibliothèques, pour évaluer la situation, et proposer des solutions pour valoriser les lieux.

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Dossier

Législatives 2022 : le livre et la culture dans les programmes

Quelques semaines après l'élection présidentielle qui a reconduit Emmanuel Macron à l'Élysée pour un nouveau mandat de cinq ans, les élections législatives recomposeront l'Assemblée nationale. Les députés, à la fois législateurs et contrôleurs de l'action de l'État, s'intéressent assez logiquement à la culture et au livre.

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Dossier

Congrès 2022 de l'ABF : indispensables, les bibliothèques ?

L'Association des Bibliothécaires de France invite les professionnels à se retrouver et à débattre à l'occasion de son congrès annuel, organisé en 2022 à Metz. Avec une question provocante pour aiguiller la réflexion : quand les librairies sont devenues essentielles, les bibliothèques sont-elles indispensables ?

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Dossier

Présidentielle 2022 : les propositions des candidats pour le livre

L'élection présidentielle française, dont les deux tours se dérouleront le 10 et le 24 avril 2022, désignera l'homme ou la femme qui prendra la tête de l'État français pour les cinq années à venir. La profusion de prétendants et prétendantes signifie aussi un certain nombre de propositions pour convaincre, notamment dans le domaine de la culture et en particulier pour le livre.

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Dossier

Double peine : les prisonniers condamnés à un accès limité aux livres

L’accès à la littérature ou à la documentation dans les établissements pénitentiaires s’avère difficile. Outre la censure de nombreux titres dans les bibliothèques des prisons, les détenus se voient également souvent interdire de recevoir des livres, sous prétexte que ces expéditions alimentent le trafic de drogue ou la livraison d’armes.

Extraits

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Monographies

Oskar Kokoschka. Les garçons qui rêvent

Ce livre illustré de huit lithographies en couleurs - Les Enfants qui rêvent - propose un conte écrit et illustré par Kokoschka et publié en 1908, dédié par l'artiste à Gustave Klimt, son maître. Le graphisme porte l'empreinte de l'Art Nouveau : l'arabesque conduit les figures dans des paysages idylliques, une nature mystique comme chez Hodler. Les illustrations comme le texte relèvent du songe, du rêve érotique. Nuits étoilées, voyages sur mer et fuite hors du temps, désirs amoureux, végétation paradisiaque et fantastique manifestent un univers imaginaire. Peintre autrichien, Oskar Kokoschka (1886-1980) a été l'élève de Gustav Klimt. Très vite il s'éloigne de l'Art Nouveau : et suit une voie expressioniste. Il s'installe d'abord à Berlin ensuite à Dresde (1919-1924), après avoir été gravement blessé pendant la Première Guerre. Rentre à Vienne en 1933 qu'il quitte pour Prague oú il rencontre celle qui deviendra sa femme, Olda Palkowska. Son art considéré 'dégénéré' l'oblige à partir d'abord à Londres avant de se fixer définitivement à Villeneuve, en Suisse. La Fondation Kokoschka est accueillie au Musée Jenisch de Vevey.

11/2022

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Dessin

Kokoschka. Les dessins

Figure de proue de l'expressionnisme, considéré comme l'un des peintres les plus originaux et les plus audacieux du XXe siècle, Oskar Kokoschka s'est rendu célèbre par la vigueur de son coup de pinceau et par ses compositions, l'éclat de ses couleurs et sa faculté à restituer sur une toile le bouillonnement de la vie elle-même. Peintre avant tout, il n'en a pas moins toujours dessiné, au crayon gris et noir comme au crayon de couleur, avec cette façon bien à lui de jouer de chaque nuance. Toute sa vie il a portraituré autant des hommes et des femmes que des animaux, de la grenouille au tigre, du homard à l'éléphant. Dans un autre registre, il s'est inspiré de scènes bibliques et mythologiques, soulignant à la fois la ferveur des personnages et leur violence. Contemplatif, il sait aussi s'émouvoir d'un bord de mer ou d'un bouquet de fleurs. La présente monographie met en lumière cet aspect mal connu de son oeuvre à travers plus de cent cinquante dessins présentés par Aglaja Kempf, historienne de l'art et conservatrice à la Fondation Oskar Kokoschka.

04/2024

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Poches Littérature internation

Mirages du passé

Les cinq textes rassemblés dans ce recueil ont été écrits à diverses périodes de la vie de Kokoschka. Ils s'étendent des années agitées que le jeune peintre expressionniste passe à Berlin, à Vienne ou sur le front de l'Est pendant la Première Guerre mondiale, jusqu'aux épisodes de sa vie amoureuse et aventureuse à Chypre, en Afrique et ailleurs.

10/1984

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Beaux arts

Les garcons rêveurs. Suivi de Le blanc-tueur

S'il doit être à juste titre considéré comme un peintre majeur du XXe siècle, qualité à laquelle il faudrait ajouter ses talents de graveur, de dessinateur et de décorateur, Oskar Kokoschka (1886-1980) n'en demeure pas moins un écrivain de langue allemande de premier plan. Son oeuvre écrite compte en effet une autobiographie, de nombreux articles et essais, des pièces de théâtre, et quantités de fictions dont Les garçons rêveurs. Ce texte qui se présente sous la forme d'un poème à l'onirisme débordant, verra le jour en 1907, accompagné de huit lithographies originales réalisées alors par Oskar Kokoschka. A ce texte il a semblé judicieux d'associer, dans le présent cahier, une nouvelle écrite la même année, intitulée : Le blanc-tueur, jusqu'à ce jour inédite en français, et qui doit être regardée, car déclarée comme telle par son auteur, comme une suite à ces garçons riveurs.

11/2019

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Ecrits sur l'art

L'oeil immuable. Articles, conférences et essais sur l’art

De Kokoschka, on retient surtout en France les peintures viennoises des années 1910, celles qui le rattachent à la Sécession, à Klimt et à Schiele dans l'"apocalypse joyeuse" de l'empire austro-hongrois. C'est risquer d'ignorer que ce peintre bientôt exilé se sentit toute sa vie beaucoup plus proche de l'art grec et baroque, qu'il pensait sans frontière, que de tous les mouvements ponctuels et des étiquettes mortifères de la critique ; et que, loin de se contenter de capter dans des portraits d'aristocrates phtisiques une ambiance de fin de monde, il fut un inlassable objecteur de conscience, résolu à ouvrir les yeux de ses contemporains à la dimension proprement culturelle des catastrophes passées et à venir. Le présent recueil d'articles, de conférences et d'essais remédie à ce danger en donnant la parole à Kokoschka lui-même. Cet ensemble de textes choisis en 1975 par l'auteur comme les plus représentatifs de sa pensée et de son engagement en matière d'art, est inauguré par les quelques brefs mais denses essais d'esthétique de sa jeunesse, où il énonce la conviction qu'il ne fera au fond que déplier et réaffirmer par la suite : celle du primat en art de la "conscience" individuelle de l'artiste, chargé de garder les yeux ouverts, de transmettre sa vision singulière à autrui et ainsi de mettre en forme et d'humaniser le monde. Cette formule, où il décèle l'essence même de l'art et du concept d'humanité tel que la culture européenne l'a hérité des Grecs, il en relève ensuite l'illustration idéale chez les artistes qu'il admire - Altdorfer, Rembrandt, Maulbertsch, Van Gogh, Munch... - et la faillite complète chez ceux qu'il pourfend avec une férocité constante : les artistes abstraits à partir de Kandinsky, responsables selon lui du bannissement de la figure humaine et du monde hors de l'art, et donc complices d'un appauvrissement de notre expérience qui aurait concouru aux atrocités du XXe siècle. C'est que les prises de position de Kokoschka excèdent amplement la discussion esthétique. S'élargissant aux dimensions d'une critique culturelle, elles font retour sur des moments-clefs de l'histoire de l'Europe - théâtre selon lui, depuis les guerres médiques, d'un affrontement permanent entre les penchants humains et barbares de l'homme - pour détecter des tendances de fond et mieux agir sur le présent. Le peintre se distingua en effet par son action dans le domaine de la pédagogie, documentée dans la troisième partie par les textes issus de son expérience d'"Ecole du regard" à Salzbourg de 1953 à 1964, dans laquelle il offrit à plusieurs centaines de jeunes gens de leur apprendre à "voir de leurs propres yeux". La quatrième partie, enfin, retrace quelques étapes décisives de son propre parcours et réaffirme les principes qui guidèrent notamment son oeuvre de portraitiste, d'allégoriste, de dessinateur et même de scénographe. C'est dire que ce volume, révélant l'écrivain, inconnu en France, qui double le peintre Kokoschka, enrichit l'expérience d'une peinture novatrice qui sut réactualiser la tradition pour penser le présent, tout en méritant d'être rangé parmi les ouvrages remarquables de la Kulturkritik du XXe siècle.

04/2021

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Littérature française

Sans Véronique

"Plusieurs secondes ont passé, durant lesquelles Bernard s'est efforcé d'ordonner les mots qu'il venait d'entendre, et qui s'enchevêtraient dans son esprit : Sousse, la Tunisie, un attentat, ce matin, Véronique - tout cela n'avait aucun sens, Monsieur, vous m'entendez ? a articulé la voix, tandis que, de l'autre côté, Bernard se mettait à trembler, écrasant sa main gauche sur la tablette du téléphone, ici les chiens, qui avaient perçu son état, se sont approchés, avant qu'une phrase enfin s'échappe de sa bouche : Qu'est-ce qui est arrivé à ma femme ?".

01/2017

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