Certains auteurs, notamment anglo-saxons, placent non plus seulement l’homme au centre du développement, mais l’harmonieuse symbiose qui relie les humains, les animaux, les plantes et... les êtres non vivants entre eux. L’amour du lieu – où on est né, où on a grandi ou bien tout simplement où l’on réside – s’accompagne, de plus en plus, d’une sensation intense, d’un sens de la planète. Par Nasser, auteur de La faim du monde.