Y’a pas à dire, un polar, ça rime avec blanc et noir. Les couleurs de la trame, ou plutôt l’absence de couleurs et la totalité de celles existantes, fondues jusqu’au blanc. D’autant plus amusant, qu’au cinéma, on parle de fondu au noir. Personnellement, je préfère le fondant au chocolat. Mais rien de tout cela ne nous rapproche de Caboche, roman graphique d’exception – rien, sinon le flux erratique dont les synapses sont capables. Et plus particulièrement en cas de cancer au cerveau.