Un homme plein de misère

Max, célèbre romancier, est confronté au syndrome de la page blanche. Fraîchement divorcé et hanté par une enfance violente, il se bat pour remettre sa vie sur les rails. Lorsqu'il aperçoit son mystérieux voisin d'en face en train de fumer à sa fenêtre, l'imagination de Max s'enflamme et il veut en savoir plus. 

BONNES FEUILLES - L'expression « Être riche comme Crésus » fait référence au dernier roi de Lydie, un royaume en Asie Mineure. 

BONNES FEUILLES - « Un homme sans moustache est un homme sans âme », écrivait Confucius. L’arrière-pays dalmate, son maquis, sa pierraille et son village, Smiljevo, avec ses deux mille habitants, son auberge, son église, son école primaire, son bureau de poste et ses deux épiceries. 

BONNES FEUILLES - Un roman historique révèle enfin la vérité sur le plus grand mystère du monde des échecs. Ou comment une incroyable machination du KGB a mis fin, en pleine guerre froide, à la carrière du meilleur joueur de tous les temps : Bobby Fischer.

BONNES FEUILLES - Ce témoignage captivant est un cri de révolte contre l’injustice et la misère organisée, mais il laisse aussi entendre une voix apaisée qui invite à réfléchir sur les notions d’identité et d’intégration.

BONNES FEUILLES - Magnifique styliste, Yves Viollier raconte l'amitié trompée, la générosité exploitée. Ou est-ce plutôt le repentir impossible, la honte masquée ? Le romancier pose peut-être avant tout cette question essentielle : que cache le visage que nous donnons à voir ?

BONNES FEUILLES - La Promesse raconte le destin de quatre adultes et d'un enfant pendant la Seconde Guerre mondiale et ses lendemains, tous liés par un secret qui, encore aujourd'hui, stupéfie.

BONNES FEUILLES - Une édition revue et actualisée de ce classique de l’anthropologie du corps consacré aux visages. À travers les visages des siècles dans la peinture et les écrits philosophiques, David Le Breton mène l’histoire du visage, ce lieu central de notre communication, de l’invention du visage avec le miroir et la photographie à sa signification sociale.

BONNES FEUILLES - Un motel, posé au milieu de nulle part mais proche de Monument Valley. Un homme y fait étape, lors d’un voyage dans l’Ouest des Etats-Unis durant lequel il essaie de faire un deuil que l’on devine difficile.

RentreeLitteraire23 - Etienne est correcteur dans l’édition. Avec sa femme Vive, délicieusement fantasque, ils forment depuis dix ans un couple solide et amoureux. Parisiens éclairés qui vont de vernissage en concert classique, ils sont l’un pour l’autre ce que chacun cherchait depuis longtemps. 

BONNES FEUILLES - « Il paraît qu’un être humain met à peine plus de huit secondes à tomber amoureux, et tandis que tu regardais et que tu écoutais cette fille aux yeux brillants (...), tu sentis à son égard cette sympathie singulière, ce désir invincible de proximité que revêt l’amour lorsqu’il apparaît. » 

BONNES FEUILLES - C’est une triste journée d’hiver. De son bureau, le commissaire Soneri observe la pluie qui s’abat sur Parme quand l’annonce d’un nouveau drame vient le tirer de ce spectacle déprimant. Un mystérieux jeune homme s’est pendu dans un vieil hôtel abandonné. 

HIVER2024 - Avec ce récit, second volet à Deep me, Marc-Antoine Mathieu donne à Adam, dernier artefact humain fonctionnel, la plus primordiale des missions et nous livre un condensé des questionnements propres à l'humanité post IA. 

BONNES FEUILLES — Montréal, 1900. Grâce à la recommandation de sa cousine, Florence Provencher décroche un emploi auprès de la prestigieuse famille Calder... 

BONNES FEUILLES - La maladie c'est comme un deuil. On passe par plusieurs étapes avant le stade de l'acceptation. Enfin, seulement si on survit jusqu'à-là...

Pour la rentrée littéraire, les éditions Monts Métallifères publient le nouveau roman de Malcolm Bradbury : L’homme à Histoire (traduit par Guillaume Mélère). « L'homme à Histoire s’est imposé comme l’un des livres essentiels des années 1970. [...] Un classique moderne. » (David Lodge - postfacier)

RentreeLitteraire23 - Après une période d’éloignement forcé, un père séparé accueille chez lui pour la première fois son jeune fils, avec qui les relations ont été bouleversées par une irruption de violence : un coup est maladroitement parti, la confiance est rompue. 

BONNES FEUILLES - Kosovo, 1995 : Quand Arsim rencontre Miloš à l’université de Pristina, tout semble les opposer : l’un est albanais, l’autre serbe, et leurs deux ethnies s’enfoncent dans un conflit meurtrier. Pourtant, face à une société où l’homosexualité est un crime, ils s’aiment.

BONNES FEUILLES - Veuve, riche héritière, meurtrie par la vie, Madame n'a qu'une passion: la chasse. Il lui vient un désir fou, celui de chasser le seul gibier qu'elle n'a jamais traqué : l'homme. L'histoire incroyable d'une partie de chasse un peu particulière. Un premier roman extrêmement fort, brillant et saisissant.

HIVER2024 - Est-ce que l'idée vous traverse souvent, de vous en aller simplement, de partir en autostop et de loger chez l'habitant ? Vianney de Boisredon expérimenté ce périple, de l'Europe à l'Asie (et il en est sorti vivant).

HIVER2024 - Après plusieurs écrits gravitant autour de son ancien métier de chirurgien, Arrigo Lessana achève son quatrième roman, dans lequel il est question d’une quête, d'un voyage, ou peut-être d'une recherche : celle d'un grand souvenir.

AVANT-PARUTION – Le marin né de la gitane de Gibraltar et d’un marin de Cornouailles garderait-il son irrésistible charme, avec un tablier de cuisine. Voilà le genre d’accessoire que l’on n’imagine pas à bord d’un navire piloté par le capitaine Corto Maltese. Pourtant, Corto aime manger, boire aussi, à l’occasion (de grands Bordeaux, mais pas que). Et si l’on se souvient difficilement d’avoir vu le marin cuisiner, les recettes ne manquent pourtant pas.

BONNES FEUILLES - Les Éditions Seghers exhument les trésors de leur catalogue, et parmi eux le recueil majeur de René Guy Cadou : Hélène ou le Règne végétal. Avec cette réédition, qui complète celle de Poésie la vie entière, on retrouve l'un des plus beaux chants d'amour de la poésie française dans une édition courante.

BONNES FEUILLES – Vincent, que tous nomment Luis en hommage à Armstrong, excelle dans une forme rare d’art musical : il joue de la trompette sans l’instrument. Mais le virtuose se confronte rapidement aux jugements liés à son obésité. S’ensuit une balade introspective.

BONNES FEUILLES – « Ne regarde pas mes larmes, elles ne veulent pas dire grand-chose, écris, mon Jean, surtout n'arrête pas, j'aime que tu écrives... Je m'offrirai certaines de tes phrases, même si elles ne sont pas pour moi. Je suis jalouse de cette guerre qui te garde pour elle, qui te fait marcher seul je ne sais où... sans moi... sans ta femme... » Dans son prochain roman, Une certaine raison de vivre, à paraître à la rentrée littéraire, Philippe Torreton offre aux lecteurs des arbres, des tranchées, de la poésie, les tourments d’un homme et l’espoir du monde.

BONNES FEUILLES - « Sans qu’elle ait pu s’y préparer, elle traverse à toute vitesse une surface liquide. Elle se débat dans un fluide baveux et chaud qui lui rappelle le ventre de sa mère. Elle n’a bientôt plus d’oxygène et peine à remonter à la surface quand ses yeux croisent un regard. Son père ! » 

RentreeLitteraire23 - Stanislas Kosinski est un ancien militaire. Au Mali où il a servi, il a vu mourir la femme qu'il aimait. Retiré de l'armée, il a acheté un chalet et soixante hectares de maquis et de ravins, un lieu où personne ne viendrait troubler son besoin de silence.

BONNES FEUILLES — À l’occasion de cette nouvelle rentrée littéraire, les éditions Gallimard offrent aux lecteurs le prochain roman de Gilles Paris. Amour, sexe et amitié : un roman sur les ados, pour les ados, aux personnages justes qui reflètent les préoccupations des jeunes d’aujourd’hui.

BONNES FEUILLES - « Je peins parce que vivre m’émeut, et que je ne peux pas garder cette émotion en moi. » Jean Hélion, Journal d’un peintre. Carnets 1929-1984, Saint-Paul-de-Vence, Maeght Éditeur, 1992. 

AVANT-PARUTION — Dans un monde sans hommes, une communauté de femmes lutte pour sa survie et celle de l'humanité, sur les ruines du patriarcat, de la civilisation et de la pop culture du XXIe siècle. L'autrice et illustratrice Aminder Dhaliwal signe Woman World, publié par les éditions La Ville Brûle ce 21 février, dans une traduction de Clémentine Beauvais.