L'éthique du préférable partageable. Lecture du principisme

BONNES FEUILLES - Quand nous n’aimons pas le reflet de ce que nous sommes... Un petit chef-d’œuvre sur les émois et la détresse intérieure, que n’aurait pas renié son grand ami Stefan Zweig. 

BONNES FEUILLES – Hector est auteur de BD ; Jeanne est scripte. Ils sont amoureux. Quand Jeanne lui parle de ses désirs d’aventures avec une autre femme, Hector est perdu. Il ne veut ni la quitter ni être en « couple libre ». Sasha, meilleur ami et coauteur à qui Hector se confie, ne voit pas le problème. Pour lui, cette liberté est d’autant plus fascinante que, célibataire, il est incapable d’en faire quoi que ce soit. Pour les deux amis, la liberté que revendique Jeanne appartient à la fiction. 

Thibault Morel est CPE au collège Voltaire à Besançon. Habitant à la Planoise, cité sensible où se trouve un four tenu par des trafiquants albanais ; il se fait martyriser à chaque fois qu’il rentre chez lui. 

BONNES FEUILLES - Felis Silvestris nous plonge, le temps d’un hiver, dans une histoire intime et sensible, explorant notre imaginaire et nos inquiétudes face à des choix de vie qui nous effraient autant qu’ils nous fascinent. 

RentréeLittéraire23 - Pete et Maddie Riley mènent une vie paisible avec leur garçon de deux ans. Cependant, un jour, un étranger se présente à leur porte avec une révélation bouleversante : leurs fils ont été échangés à la naissance. 

RentréeLittéraire23 - « J’avais une machine à écrire dans mon cabinet. Je travaillais à toute allure. Si un patient venait à la porte au milieu d’une phrase, j’écartais d’un coup la machine et j’étais médecin. » 

BONNES FEUILLES – La vie, dans sa simplicité, convient parfaitement aux pigeons qui préfèrent éviter toute réflexion sur leur destin ou la façon de le maîtriser. En renonçant à toute responsabilité, ils se soumettent volontiers à une autorité dominante. 

BONNES FEUILLES – Voici que s’avance une nouvelle fresque, signée Gail Reitano (traduction Marie de Prémonville). Un ouvrage, premier roman, présenté comme aussi romanesque que littéraire. Et qui puise chez des auteurs aussi grandioses que Sinclair Lewis et Elena Ferrante.

BONNES FEUILLES - On les appelait cane sciolti, chiens sans collier, parce qu'ils ne voulaient appartenir à aucune organisation politique dans cette Italie des années soixante-dix, quand toute une jeunesse rêvait de renverser la table pour changer le monde. 

RentreeLitteraire23 - Après une période d’éloignement forcé, un père séparé accueille chez lui pour la première fois son jeune fils, avec qui les relations ont été bouleversées par une irruption de violence : un coup est maladroitement parti, la confiance est rompue. 

RentréeLittéraire23 - Un jour, il a perçu quelque chose d'extraordinaire. Il a vu à travers ses oreilles une grande congrégation d'esprits. Leurs voix empruntaient les intonations des animaux, et curieusement, plusieurs mots de différentes langues humaines parsemaient leurs paroles. 

BONNES FEUILLES - La vie d’Alice Lambert est en vrac. Après avoir quitté son mari, sa maison et tous ses repères, elle se voit obligée de s’installer à Paris chez son père, avec qui elle est en conflit depuis toujours. 

HIVER2024 - Alice, une jeune assistante parlementaire, endure depuis trop longtemps un travail peu rémunéré, ajouté à des conditions peu souhaitables. Alors qu'elle aspirait à devenir une haute gradée militaire, elle se voit réduite au rôle d'un simple soldat obéissant...

BONNES FEUILLES – C’est la ballade de Jo Haquim que nous chante Julien Gangnet avec Mon business model, premier attentat à la bienséance littéraire. Venez découvrir les mots d’un nouvel auteur dont on reparlera, dans un roman noir sombre et saisissant…

RentreeLitteraire23 - Rédactrice en chef d’un célèbre magazine musical, Sunny S. Shelton tient un scoop : la reformation des mythiques Opal & Nev, séparés en 1970 après la mort de leur batteur lors d’une émeute raciale. Elle retrace leur histoire dans une incroyable enquête. 

BONNES FEUILLES — Une jeune fille sourde et aveugle vit seule dans une ferme isolée après le décès de ses parents. Elle ne communique avec les autres qu'en écrivant des lettres dans leur main ou en recevant des lettres dans la sienne. 

AVANT-PARUTION – Voici que la magie noire côtoie la sorcellerie, le soufre envahit les cimetières, les citrouilles se font carnivores, les animaux fantômes veillent sur les enfants et les crânes ne sont pas de simples reliques... La mort est une farce aussi grinçante que joyeuse ! 

BONNES FEUILLES - “Je ne sais pas plus que vous ce que vous allez lire car ce n'est point un roman ni un drame avec un plan fixe, ou une seule idée préméditée, avec des jalons pour faire serpenter la pensée dans des allées tirées au cordeau.”

« J’aime mon corps, je le protège. Il est à moi, personne n’a le droit d’y toucher si je ne veux pas », affirme une petite fille. Il n'est jamais trop tôt pour apprendre aux enfants que leur corps leur appartient. Un livre coup de coeur. 

BONNES FEUILLES - « Et tout homme pourtant tue la chose qu’il aime, / Que tous entendent bien cela, / Il en est qui le font d’un simple regard aigre, / D’autres d’un mot de flatterie, / Le lâche, pour le faire, utilise un baiser, / Et le courageux une épée ! »

BONNES FEUILLES - À quarante ans, Ilyas ne cherche pas la femme de sa vie. Il cherche la femme qui lui plaît, pour un soir. Il aime sortir, il aime danser, il aime les femmes, et par-dessus tout sa mère qu'il voudrait « sauver ». En une nuit, son destin va basculer.

BONNES FEUILLES - « Un étranger habité par Paris », c'est par ces mots que se décrivait E. E. Cummings, qui pose ses valises dans la capitale pour la première fois le 9 mai 1917. Il y reviendra à de nombreuses reprises et sera toujours emerveillé par cette « ville fondée sur la vie »

AVANT-PARUTION – « Ma voix va s’efforcer d’être celle des quarante ou cinquante millions de victimes dont la voix, en Europe centrale, est étouffée, étranglée. [...] Vous savez tous comment la tragédie a commencé. Ce fut quand surgit en Allemagne le national-socialisme, dont la devise fut dès le premier jour : étouffer. »

BONNES FEUILLES - Dans une lettre à son petit-fils, un ancien soldat raconte sa guerre et aborde la question indicible : que vaut la vie d’un homme quand notre propre survie est en jeu ? Évoquant Philip Kerr, un texte riche, souvent dérangeant, sur un passé qui n’en finit pas de résonner. 

HIVER2024 - Tout juste un siècle avant, voici une grande remontée dans le temps par le souvenir d'un passant, dans une époque où la littérature bat son plein, lorsqu'un certain Erza Pound, un Hemingway, un James Joyce et d'autres sillonnent, incognito, les fêtes et les bas-fonds de la ville-lumière ...

BONNES FEUILLES — « Ayons un regard rétrospectif pour revitaliser les espérances et les rêves qui ont nourri les meilleurs des cerveaux qui ont immigré, ou qui sont nés sur ce morceau de terre. Même si la volonté ne suffit pas à transformer une légende en une réalité, des volontés peuvent, peut-être encore empêcher des tragédies. »

BONNES FEUILLES - « Sans qu’elle ait pu s’y préparer, elle traverse à toute vitesse une surface liquide. Elle se débat dans un fluide baveux et chaud qui lui rappelle le ventre de sa mère. Elle n’a bientôt plus d’oxygène et peine à remonter à la surface quand ses yeux croisent un regard. Son père ! » 

Avec une touche d'humour, Tiphaine Rivière revisite le classique de Pierre Bourdieu, La Distinction, une œuvre majeure en sociologie. Elle offre une interprétation moderne et accessible à tous, permettant d'analyser les liens entre les goûts et les classes sociales. Elle nous invite à réfléchir à nos propres influences et à chercher à s'en affranchir.

Rentreelitteraire2024 — « J’ai vendu mon âme pour savoir si j’avais une âme. » Carlos Díaz Dufoo, né en 1888 à Mexico, est un écrivain mexicain reconnu pour son œuvre unique et concise. Issu d'une famille intellectuelle, son père portait également le nom de Carlos Díaz Dufoo et était un écrivain, dramaturge, journaliste et économiste éminent. 

AVANT-PARUTION – Un homme soumet ses deux filles à toutes les brimades et les humiliations. Les tenir en laisse, les forcer à marcher à quatre pattes, les empêcher d’uriner, les frapper avec des objets, leur promettre de les violer, un jour... sans que la mère s’interpose jamais. Viol suspendu, inceste latent. « Nous étions, ma sœur et moi, les victimes parfaites pour le père. Nous avions toutes deux un vagin. »