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AVANT-PARUTION – Dans la nuit du 14 août 1943, un bombardier Halifax-B special parachute un agent secret au-dessus de la France occupée. 

RentréeLittéraire23 -Sur une île méditerranéenne, Efisia et Rosalia, sa petite-fille, prennent soin des coquillages qu’on appelle les grandes nacres et de leur précieux filament, le byssus. Un roman ensorcelant sur un secret protégé par des femmes et l’urgence de la préservation des mers. 

BONNES FEUILLES - "'Il a disparu sans pourquoi ni comment. Il a disparu gracieusement, même pas pour un fifrelin !... Juste non, ce n'est pas possible, ajouta-t-il après réflexion. C'est invraisemblable qu'un nez disparaisse, n'importe comment c'est invraisemblable. 

AVANT-PARUTION —La maison d'édition Martin de Halleux annonce l'ouverture d'une nouvelle collection au sein de son catalogue, nommée « 25 images » et consacrée aux récits graphiques courts et sans paroles. Pour l'inaugurer, La Forêt de Thomas Ott et Marguerite de Joe Pinelli, tous deux en librairie le 10 novembre prochain.

BONNES FEUILLES - Comment la rose est arrivée en France. Le grand roman de sa conquête. « Je m'appelle Morjiane el Sadawi, je suis née à Homs au nord de Damas. Je vis maintenant dans ce pays que l'on appelle la France et qui est froid, à Mortery, sur les terres du seigneur Gatien et du seigneur Thibaut. 

BONNES FEUILLES – C’est la ballade de Jo Haquim que nous chante Julien Gangnet avec Mon business model, premier attentat à la bienséance littéraire. Venez découvrir les mots d’un nouvel auteur dont on reparlera, dans un roman noir sombre et saisissant…

AVANT-PARUTION — Duncan est un petit garçon rêveur. Il ne perd jamais une occasion de s’échapper en songes. Le jour où sa classe organise une sortie pour grimper en haut de la tour Eiffel, il se dit qu’il va pouvoir faire le voyage en bus à côté de Lucy, la fille qu’il préfère au monde. Mais rien ne se passe comme prévu.

BONNES FEUILLES - « Les portraits de Bacon vous poursuivent quand vous avez cessé de les regarder ; ils vous poursuivent jusqu’à vous hanter. Son œuvre peut être lue comme une autobiographie dont les autoportraits sont les éclats d’un miroir brisé, ceux d’une vie en morceaux. Et, dans chacun 
de ces fragments, on peut lire la quintessence de son art. »

BONNES FEUILLES - San Francisco, 1967, voit la jeune inspectrice Kim Tyler et son collègue plus expérimenté, le lieutenant Ulysses Ford, plonger dans l'enquête du meurtre d'une étudiante trouvée près du Golden Gate, marquée d'un symbole satanique sur le ventre. 

AVANT-PARUTION – Son père fabriquait des fleurs artificielles. Le fils sera logiquement apprenti électricien, négociant en perles, employé à la Bourse et chauffeur de taxi. Albert Simonin, c’est la gouaille incarnée, dont la trilogie est devenue un incontournable dans le paysage du polar et du roman noir. Fabuleux : elle revient.

BONNES FEUILLES - En déconstruisant tout ce que l'on croit être le bouddhisme zen, grossièrement transformé par le développement personnel, Tōzan nous livre un récit de vie cru et sensible et partage un véritable carnet de méditation.

AVANT-PARUTION – Dans Les cornichons, le loup et le poisson rouge, c’est l’inclusion qui est placée au cœur du 7e tome des fruits Kiki. La collection Yes They Can de Paja Editions s’enrichit d’un nouveau titre, où l’on apprend de l’autre et avec l’autre sans préjugés. Un message drôle et fort pour tous les petits et les grands ! 

Pour la rentrée littéraire, les éditions Hors d’atteinte publient le troisième volet de la trilogie de Mehdi Charef : La Cité de mon père, sur son enfance et son adolescence. Ce nouveau tome prend place dans le HML, tant rêvé et espéré, après avoir connu la vie dans un bidonville et une cité de transit.

BONNES FEUILLES - « Qu’elles soient imprimées, photographiques, cinématographiques, télévisuelles ou numériques, les technologies de l’esprit risquent toujours de devenir des technologies persuasives : en tant que conditions matérielles de la pensée, elles peuvent aussi se transformer en instruments de domination et de manipulation. 

BONNES FEUILLES – Depuis près de vingt ans, Bérengère Cournut écrit des romans qui explorent l’absence, la disparition. Après De pierre et d’os, et son étonnant succès (200 000 lecteurs à ce jour), elle réussit une nouvelle fois l’invraisemblable : mêler le chant à la prose pour dire en souriant la douleur, associer le quotidien aux rêves pour réinventer avec force un chemin de vie.

AVANT-PARUTION – « Le respect de la vie privée et la protection de nos données personnelles sont les conditions préalables à notre participation à la discussion publique, au développement de notre personne et à notre émancipation. »

AVANT-PARUTION – Quelque part, finement placé, entre Ken Loach et Charles Bukowski, on retrouve Alan Sillitoe. La langue, certes, les sujets aussi. L’écrivain britannique, décédé en avril 2010, reviendra sous les couleurs de la collection Lampe-tempête de L’échappée, pour la rentrée littéraire. Assez cool, pour un jeune en colère…

BONNES FEUILLES - « On a perdu ça. L’idée de la tribu. Un lien commun entre nous. Sans rien se devoir. Juste la sensation d’appartenir les uns aux autres. Pour ne pas lâcher prise. Jamais. »

BONNES FEUILLES – Dès l’ouverture de ce monologue, le protagoniste avoue livrer une bataille impitoyable contre la mémoire. Il a développé des techniques infaillibles afin d’éviter que ne resurgissent ses souvenirs. Il n’accepte que deux dates comme balises de son parcours : sa naissance en 1961, et ce 21 mars 2013. La veille, un appel téléphonique a fait basculer son existence : la seule femme qu’il ait aimée, et qui l’a quitté voici bien longtemps, vient de mourir. 

AVANT-PARUTION – « Une guerre se prépare ». Cette citation, inscrite entre guillemets et en italiques, constitue un vers dans le Rimbaud de sang publié par Jean-Luc Favre. Ce recueil est bien plus à mes yeux qu’« un réquisitoire ironique, avec en arrière fond le déclin post contemporain de la forme poétique comme genre littéraire à part entière », comme le présente la quatrième de couverture. Resté longtemps inédit, ce Rimbaud de sang dédié à Sylvestre Clancier est présenté aussi comme « un long poème en prose ».