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Victor Pelevine

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Littérature russe

Iphuck 10

Une oeuvre traduite dans plusieurs pays, Le roman au nom évocateur IPhuck 15, réputé comme le meilleur de Pelevine est comme souvent impossible à classer dans un genre précis. Truffé de références à la vie moderne et notamment à ses gadgets technologiques qui nous inféodent, Iphuck est une réflexion sur le rapport de l'humanité à sa propre intelligence et à celles qu'elle conçoit - l'intelligence artificielle - qui risque de prendre le contrôle de la vie des humains, jusqu'à leurs inspirations et désirs charnels. Porfiri, aut eur de romans policiers, enquête sur des crimes dans différents domaines. Mais Porfiri n'est pas un humain, il est une intelligence artificielle, supérieure donc à l'homme, qui peut prendre l'apparence qu'il souhaite. Mara est une historienne d'art, riche et ambitieuse. Elle est extrêmement mince, aime les biscuits au beurre de crabe, et bien sûr elle a un iPhuck 15. Elle a besoin d'un assistant pour analyser le marché, elle loue Porfiri pour se servir de lui et acheter les meilleures oeuvres d'art digitales (nos actuels NFT) qui ont pris le dessus sur l'art classique. iPhuck 104est le gadget "d'amour" le plus cher du marché et en même temps le plus célèbre des 244 romans policiers algorithmiques de Porfiri, de la fin du siècle, un roman encyclopédique sur l'avenir de l'amour, de l'art, et de la vie en général.

08/2022

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Littérature étrangère

Minotaure.com. Le Heaume d'horreur

Neuf personnages participent à un chat sur Internet : Ariane et Thésée, ainsi que sept jeunes gens qui, selon le mythe grec, doivent être sacrifiés au Minotaure comme chaque année. Invisibles et anonymes, ils découvrent qu'ils sont tous prisonniers d'un labyrinthe ressemblant à un jeu vidéo dont ils sont à la fois les joueurs et les pions. Il s'agit pour eux de rester vivants à tout prix et de sortir du labyrinthe pour recouvrer leur liberté. Il devient peu à peu clair que chacun a sa propre image non seulement du labyrinthe qui lui apparaît à travers ses rêves et ses pérégrinations, mais aussi du mystérieux Minotaure et du heaume qui recouvre sa tête et programme le sort des joueurs. A l'issue de ce parcours initiatique, les personnages découvriront-ils la véritable nature et l'identité du monstre, et parviendront-ils à s'échapper et à retrouver le monde réel ?

10/2005

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Littérature étrangère

Homo zapiens

Homo zapiens. Babylen Tatarski, dit Vova, fait partie de cette génération de Russes que l'effondrement de l'URSS a laissés déboussolés et qui " préfèrent Pepsi de la même façon que leurs parents soutenaient Brejnev. " Un hasard va faire entrer cet homme sans qualités particulières dans le monde des nouveaux maîtres, celui de la publicité, puis de la télévision, de l'argent, des mafias et du commerce du vide. Nous assisterons, aussi ébahis que lui, à son ascension fulgurante. Comme toujours dans les romans de Pelevine, le lecteur est plongé dans un univers halluciné, fantasmagorique, où le réalisme sordide côtoie la loufoquerie la plus débridée : le seul, sans doute, à pouvoir rendre compte de cette nef des fous qu'est devenue la Russie. Mais ne s'agit-il vraiment que de la Russie ? Homo zapiens a obtenu le prix Richard-Schönfeld (Allemagne, 2001) et le prix Osterfestspiele Salzburg (jury Nonino, 2001).

05/2001

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Littérature étrangère

La mitrailleuse d'argile

Un quiproquo de l'Histoire fait que Piotr Poustota, poète pétersbourgeois du début du siècle, poursuivi par la sinistre Tcheka, se retrouve commissaire politique d'une division de cavalerie rouge en pleine guerre civile. Son chef, le fameux Tchapaïev, apparaît sous des traits fort éloignés de ceux, édifiants, que lui ont prêtés littérature et cinéma soviétiques : sous son commandement on passe le plus clair de son temps, entre deux combats, à discuter de l'irréalité du monde en descendant de la vodka ou en sniffant de la cocaïne. Il arrive que, pour mieux comprendre que la vie est un songe, on fasse un tour aux Enfers sous la houlette d'un baron fusillé. Il est vrai que Tchapaïev, détenteur d'une arme absolue et philosophique, la " mitrailleuse d'argile ", n'est pas seulement Tchapaïev... Là où les choses se compliquent encore, c'est que Piotr Poustota est simultanément pensionnaire d'un hôpital psychiatrique aux abords de Moscou, de nos jours. En compagnie de " nouveaux Russes " rêvant d'Amérique, du Japon ou de différentes formes de racket, il est soumis à un traitement de choc pour " dédoublement d'une fausse personnalité ". Qui est donc finalement Poustota, dont le nom signifie " le vide " ? Un bolchevik d'occasion qui fait des cauchemars ? Un interné qui délire ? Un réincarné dans l'autre ? Et qu'est-ce que la Russie, celle de la révolution comme celle des truands ? Une vaste maison de fous ? Lorsqu'on sera parvenu en Mongolie intérieure, c'est-à-dire le lieu où s'élève le " trône de nulle part ", ces questions paraîtront bien oiseuses.

09/1997

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Littérature étrangère

Un monde de cristal

Un monde de cristal. Les six nouvelles de Viktor Pelevine ici recueillies nous mènent à travers une Russie hallucinée où passé et présent, rêve et réalité, vie et mort se mêlent comme dans La Mitrailleuse d'argile, son précédent livre, que la critique avait jugé " pétaradant de sophismes hilarants et de paradoxes jubilatoires " (G. Anquetil, Le Nouvel Observateur), " cocasse et grave " (J.-L. Perrier, Le Monde), " d'une virtuosité de construction époustouflante " (J.-B. Harang, Libération).

05/1999

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Littérature étrangère

La vie des insectes

Dans une station balnéaire de Crimée, des estivants tentent comme ils peuvent de tuer le temps. On se saoule, on fume du hasch, on va au ciné, on a des flirts un peu poussés et des conversations philosophiques embrumées, on rêve de l'Amérique et de l'avenir radieux capitaliste. Rien que de très normal en somme, si ce n'est que ces traîne-savates sont à la fois des hommes et des femmes comme tout le monde, et des insectes : bousiers roulant leur boule de fumier, moustiques suçant le sang, phalènes attirées par la lumière, cafards fouissant la terre, jolies petites mouches vertes un peu putains. Mais après tout, n'y a-t-il pas en chacun de nous un insecte qui remue ? C'est en tout cas ce que semble suggérer cette fable aux accents gogoliens qui, au-delà d'une critique acerbe de la société post-soviétique, est aussi un conte philosophique à portée universelle. Traduit du russe par Galia Ackerman et Pierre Lorrain

05/1995

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