Recherche

Vertiges

Dossiers

Extraits

ActuaLitté

Beaux arts

Anne et Patrick Poirier. Vertiges vestiges

Anne et Patrick Poirier réunissent leurs idées, leurs sensibilités, et leurs travaux signés en commun deviennent les fruits de ce partage. Voyageurs, arpenteurs, découvreurs de civilisations, de religions et de cultures, refusant les rôles conventionnels de sculpteur et de peintre, ils endossent ceux d'archéologue et d'architecte. Il ne s'agit plus d'une recherche artistique formelle, mais par une approche des sciences humaines, d'un voyage dans la mémoire qu'ils considèrent comme une valeur fondamentale, la base de toute intelligence entre les êtres et entre les sociétés. Dénonçant la fragilité des civilisations, des cultures et des êtres, leur esthétique est souvent celle du fragment, de la ruine, de la catastrophe ; leur oeuvre, une métaphore du temps où passé et futur sont étroitement mêlés. Artistes pluridisciplinaires, ils ne s'interdisent l'usage d'aucune mode d'expression.

07/2009

ActuaLitté

Poésie

Poussières de ciel… et d’ailleurs. Vestiges, vertiges, vétilles…

C'est parce que ce monde est laid, mauvais, absurde et que la vie n'a aucun sens qu'il est impératif d'en trouver un ! Ainsi vont ces textes entre pessimisme, noirceur, absurdité... et optimisme, drôlerie, beauté, rêve, amour... comme autant de poussières venues du ciel ou d'ailleurs. Ainsi va ce recueil à la fois lumineux et diabolique, orné pour partie d'une écriture sans ponctuation telle qu'elle prévalut jusqu'au IVe siècle après Jésus-Christ, à l'image de ce monde obscur, au sens caché et de l'obstination dont il faut faire preuve pour le dévoiler.

07/2021

ActuaLitté

Littérature française

Vertiges

Qu'il s'agisse d'un frigo qui a survécu avec son secret dans un appartement déserté, d'un divan de psychanalyste d'où surgit la voix d'une pati ente d'un autre temps, ou d'une médium aux bras tentaculaires, l'auteure, à travers ces nouvelles, nous entraîne dans un monde onirique. Le familier y devient étrange au détour d'une situation ou d'une rencontre. Hallucinations, prophéties, rêves... A l'occasion d'un événement, il arrive que la réalité prenne la tangente. Cinq histoires courtes qui nous évoquent ces "passages" entre modification de la perception et univers fantasmagoriques.

05/2020

ActuaLitté

Littérature française

Vertiges

Au seuil d'une séparation qu'il sait de plus en plus inévitable, Augustin observe la femme qu'il aime et avec laquelle il pensait avoir définitivement reconstruit sa vie. Meurtri, déchiré, il est néanmoins tendu par ce désir plus fort que lui de comprendre, et ne peut détacher son esprit des images qu'il convoque pour tenter d'analyser les raisons d'une telle délitescence. Au visage d'Esther se substitue bientôt celui de Cécile, la première femme avec laquelle il a vécu, premier amour fracassé lui aussi, au terme de longues années de vie commune. Tandis qu'il s'interroge sur la répétition de ces échecs amoureux, les souvenirs d'enfance remontent à la surface, toujours obsédants. Rejeté par sa mère dès son plus jeune âge, il se demande de quelle façon répondre à l'attente et au désir des femmes qu'il rencontre ; comment parvenir à fonder une famille quand la sienne, enfant, n'a cessé de se disloquer ; comment surmonter le vertige que provoque chez lui l'évocation du sentiment amoureux. Car le sujet est vaste et chaque question en appelle une autre, en forme de méditation profonde et douloureuse. Comment un être croisé par hasard peut-il provoquer chez soi une telle sidération ? Par quel miracle une attirance aussi violente s'avère-t-elle réciproque ? Comment ne pas être ébloui par le plaisir que se donnent deux corps qui s'offrent et qui s'accordent ? Comment réussir à maintenir pendant de longues années cette effervescence magnifique face aux contingences du quotidien ? Que sait-on de cet être dont on croit partager le plus secret de son existence ? Comment affronter ce gouffre qui s'ouvre sous vos pieds quand la confiance mutuelle paraît se fissurer ? À toutes ces questions dévastatrices, Lionel Duroy oppose son implacable obsession de trouver les mots pour le dire. Ecrire pour survivre. Ecrire pour vivre. "Tout ce qui ne tue pas rend plus fort", disait Niesztche, Lionel Duroy préfère penser que tout ce qui ne tue pas permet de vivre plus intensément. Depuis des années, livre après livre, Lionel Duroy tente de démêler l'imbroglio d'informations, de sensations, d'émotions qui construisent l'histoire d'une vie. Parfois très crûment, il creuse le sillon de la psychanalyse, l'applique à l'histoire d'un homme qui se bat contre lui-même et contre l'empreinte indélébile laissée par une enfance dénuée d'amour maternel. S'il est facile de retrouver les thèmes chers à l'auteur, tous les personnages ont ici changé de nom, de prénom, de décor et d'univers. Lionel Duroy renoue ainsi à la fois avec la veine autobiographique - par l'ampleur du projet qu'il poursuit -, mais aussi et surtout avec la veine purement romanesque alliée à ce style parfaitement maîtrisé qui est le sien.

08/2013

ActuaLitté

Littérature française

Vertiges

« Elle sortit donc de voiture et sursauta à un grondement de tonnerre, elle attrapa sa poche de croissants et se dirigea vers la maison. Elle sonna... et tout se précipita... Elle eut à peine le temps de percevoir une voix féminine provenant de l'intérieur que la porte s'ouvrit... Et, là, elle vit l'objet de ses rêves, effectivement dévêtu, mais avec un regard glacial ! Il n'eut pas un mot, referma aussitôt la porte avec une violence inouïe. À cet instant même, une pluie torrentielle s'abattit sur elle. » De rêves en désillusions, de passions en trahisons, d'attentes en regrets, les nouvelles composées par B. Naos voient tomber sur elles un voile de désenchantement. Des textes où l'écrivain, à l'écoute des cœurs torturés de ses personnages, semble comme sonder les doutes, les tremblements intérieurs, la culpabilité et l'inconstance de toute l'âme humaine, moins pour la juger que pour en saisir l'inhérente faiblesse... En cela, il y a comme une profonde compassion à l'origine de ces récits qui disent la fragilité de notre condition.

01/2015

ActuaLitté

Théâtre

Vertiges

Vertiges ne propose aucune fable, aucune narration autre que celle de l'apparition-disparition. Voici ce qu'en écrit Patrick Kermann en décembre 1999 : "Ce qui m'intéresse dans ce projet ? Trouver des formes minimales et fortes et des langues différentes qui reflètent avec humour ou dérision notre monde en pleine déréliction, varier le jeu des langues cassées, brisées, réduites, jouer sur la peur de l'autre ou la jubilation du dire. Soit des formes légères et graves pour dire la catastrophe de notre monde". Vertiges pose une question, toujours particulièrement vive, et qui irrigue l'écriture de Patrick Kermann : où se tenir quand le monde, la langue sont devenus inhabitables ? Outre le texte d'origine, inédit, de Patrick Kermann, ce livre comprend l'adaptation scénique écrite par Christine Dormoy, en étroite collaboration avec lui, en vue de la création sous forme d'opéra. Dans cette création, le quatuor lyrique incarne la voix de la cité moderne, c'est-à-dire le monolinguisme consensuel qui en même temps ne parvient pas à parler d'une seule voix. Les autres personnages, clowns-acteurs-chanteurs-instrumentistes, ressassent la détresse et la peur d'être au monde : ce sont des monomaniaques surgis au bord de l'abîme.

11/2017

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté