Valérie Leduc, Pascale Pavy

Creusant le sillon du développement personnel et de la santé, les éditions Leduc annoncent la création d'une nouvelle marque, Leduc Graphic. Comme son nom l'indique, cette dernière accueillera des romans graphiques et des bandes dessinées.

Valérie Robert

Liza Faja arrive aux Éditions Leduc.s pour renforcer l’équipe éditoriale dirigée par Karine Bailly de Robien, et accompagner le développement de la production. Au poste d’éditrice, elle sera en charge du bien-être, développement personnel et santé. Les Éditions Leduc regroupent 5 marques éditoriales : Leduc, Charleston, Tut-Tut, Alisio et Zethel.

Après une dizaine d’années au sein du groupe Prisma, Caroline Ollagnier Rondeau rejoint la filiale d’Albin Michel. Elle est nommée responsable éditoriale santé, bien-être, nature, écologie et parentalité.

Le site de Leduc.s éditions, maison créée en 2003 et spécialisée dans les ouvrages d'épanouissement personnel fait peau neuve : désormais les clients pourront acheter des publications imprimées et numériques dans un espace éditorial dynamique.

Les éditions Leduc.s créées en 2003 publient des ouvrages autour de la santé, de la vie de famille ou encore de l’humour. Elles sont également très actives dans d’autres secteurs comme l’alimentation, la vie en couple, ou encore la grossesse – et par conséquent, les enfants. La maison vient d’annoncer l’arrivée d’Eddisson Books Limited, une maison britannique.

Créées en 2003, les Éditions Leduc.s ont connu un fort développement ces dernières années et représentent un CA d’environ 10 M€, publiant en 2018 plus de 300 nouveautés. Elles sont devenues un acteur de référence sur les segments du bien-être, de la santé et du développement personnel. 

Le 7 février, on annonçait que Caroline Ollagnier Rondeau, après une dizaine d’années au sein du groupe Prisma, rejoignait la filiale d’Albin Michel en tant que responsable éditoriale Santé/bien-être, Parentalité et Nature/écologie. Sa nomination s'accompagne de celles de Corentin Pezin au service communication et marketing, et de Aloïse Useo en qualité de cheffe de projet marketing.

il y a celle qui grommelle et râle tout son saoul, celle qui vide de plus en plus vite ses bouteilles de porto, celle qui adore mener la vie dure à son fils et à sa belle-fille.

Dédicaces - Mercredi 24 septembre 2014 à 18h00 - A la librairie

En décoration de la galette du DVD joint à l'album, un gros gâteau blanc, bien crémeux, bien chimique, comme on en faisait dans les années 70

Toute nouvelle collection ou label relève d’un pari : celui d’apporter des voix et des textes qui illustreront un parti pris. Avec Nami, les éditions Leduc s’ouvrent pleinement à la fiction, se présentant comme « une maison de la littérature de l’intime ». Un voyage audacieux, qui s’inaugure avec un titre fort : La bibliothèque des rêves secrets, de Michiko Aoyama (trad. Alice Hureau).

Aurélie Filippetti et Valérie Trierweiler sont sorties du premier plan du jeu politique. Pas tout à fait pour les mêmes raisons, certes. Mais la première, ancienne ministre de la Culture, a décidé de soutenir la seconde, rapporte Closer.

Le temps des balcons raconte autant les angoisses de Sandrine, jeune femme célibataire que les rêves de Quentin, ce petit garçon mal aimé ou encore la mélancolie de Jean Julien, cet homme esseulé au travers d’un chassé-croisé dans une résidence pendant le confinement de 2020. Chacun de ces personnages se débat avec les sept péchés dits « capitaux ». Seul le chat, énigmatique et incontournable, semble détenir les clés de cet enfer. 

La comédienne Valérie Lang, fille de l'ancien ministre de la Culture, vient de s'éteindre, emportée par une tumeur au cerveau fulgurante. Baignée dès son enfance dans l'univers du théâtre, elle choisit de coller aux planches plutôt que de s'adonner au cinéma.

Valérie Pécresse, satisfaite de sa politique

Universités : le PCF accuse Valérie Pécresse

NOTE DE LA REDACTION  /5

Valérie Giscard d'Estraing : ridicule. Simplement.

en cette nouvelle époque, délivrer quelques conseils aux jeunes littérateurs en manque de maison d'édition, mais non de textes à publier ne serait pas superflu

Les éditions Leduc viennent de communiquer un détail, non exhaustif, de leurs engagements écoresponsables, « mis en pratique depuis des années maintenant ». Et d’ajouter : « Comme toujours, ce sont tous nos services et chacun de nos salariés qui portent individuellement et collectivement ces engagements. » Le texte est proposé dans son intégralité.

C’est ainsi que l’on peut décrire les prémisses du livre de Pascale Quiviger. Une histoire troublante, qui fait parfois perdre le sens de la réalité.

Pascale Roze : Une écrivaine attachée aux détails

Avec près de 750.000 exemplaires vendus et sa sortie en livre de poche en mai dernier, Merci pour ce moment de Valérie Trierweiler — qui raconte sa relation avec François Hollande — devait avoir son adaptation cinématographique. L’ex-compagne du président de la République a cependant annoncé sur Twitter, ce mardi 13 octobre, que le projet est désormais annulé. 

Fin janvier, Valérie Trierweiler avait glissé, au détour d'une interview, qu'elle n'excluait pas d'écrire un livre racontant sa relation avec le chef de l'État, François Hollande. L'idée n'était pas tombée dans l'oreille de sourds, puisque les enchères ont manifestement grimpé très rapidement dans l'industrie du livre. Le témoignage est particulièrement attendu, au point que l'on évoque des sommes à 6 chiffres…

Valérie Morales Attias est écrivaine. Elle partage sa vie entre Casa et Paris. Coups de soleil, son quatrième livre est sélectionné pour le prix Sofitel Tour Blanche. Elle dédicace son livre au Salon du Livre de Paris le samedi 25 mars sur le stand Oiseau Indigo

Existe-t-il une poésie féminine en France ? Une question qui peut paraître anodine, surtout par les temps qui courent où les vers et les métaphores ne sont guère d’actualité ou de raison. Une poésie souvent reléguée à l’état de petits cénacles, au hasard de quelques médiathèques aventureuses soucieuses de perdurer un art en voie de disparition. Encore que ! Méfions-nous de l’eau qui dort aux abords des sous-bois. 

Il n'aura pas fallu attendre bien longtemps pour qu'Audrey Pulvar monte au créneau et rende à César ce qui lui revenait légitimement. C'est que la ministre de la Culture, intervenue pour commenter la situation de Valérie Trierweiler, avait fait pleurer dans les chaumières. Pauvre première dame de France sans le sou, qui n'a pas le droit d'exercer son métier de journaliste, et dont la déontologie est remise en cause. Pauvre d'elle...