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Un Américain, un vrai

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Dossier

Procès : un éditeur géant dans l'industrie américaine du livre

En novembre 2021, l’administration Biden décide d’interférer dans la transaction : le groupe Penguin Random House (propriété de Bertelsmann), s’apprête à sortir 2,175 milliards $ pour racheter Simon & Schuster (propriété de Paramount Global). Une concentration dans l’industrie du livre que combat le ministère de la Justice, dans un procès antitrust, au démarrage chaotique.

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Dossier

Lire en Poche 2022 : Un autre monde

Rendez-vous incontournable de la rentrée littéraire, Lire en Poche, organisé par la ville de Gradignan, accueille près de 27.000 visiteurs et plus de 100 auteurs, dont un tiers d’auteurs jeunesse qui rencontre son public également dans le cadre scolaire. L'édition 2022 se déroule du 7 au 9 octobre.

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Dossier

Hold-up 21: Un voyage littéraire et photographique du désir

Vingt femmes extraordinaires, couvrant des horizons aussi vastes que la réalisation, la poésie, le journalisme et la chorégraphie, se sont rassemblées autour d'une mission : revaloriser l'érotisme dans la littérature tout en intégrant les perspectives féministes actuelles.

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Dossier

Futurs de Liu Cixin : un avenir terrifiant, décliné en quinze aventures

Lauréat du prix Hugo, Liu Cixin est considéré comme l'un des plus grands écrivains de science-fiction contemporaine. Son œuvre, vendue à des millions d’exemplaires dans le monde entier et déjà adaptée à l’écran, est notée en moyenne 4,11/5 sur Babelio par plus de 2000 lecteurs et lectrices. 

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Dossier

Livres et jeux éducatifs : My Bulle Toys, un libraire en Floride

La librairie My Bulle Toys, située près de Miami, propose une sélection de livres et de jeux éducatifs pour enfants en français. Nicolas Pacaud, le propriétaire de la librairie, a choisi d'ouvrir cette boutique en raison de sa passion pour la littérature jeunesse et les jouets pour enfants. 

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Dossier

Auteurs sans éditeurs, éditeurs sans auteurs ? Un podcast en 4 épisodes

Auteurs sans éditeurs ? Éditeurs sans auteurs ? Toute ressemblance avec un article ou un livre déjà paru n’est pas fortuite. D’ailleurs, le papier de Jérôme Lindon n’a pas pris une ride depuis 1998. Arrêtons-nous un instant sur sa conclusion dans les colonnes du monde : « [La] transformation du paysage de l’édition tend inévitablement à priver de toutes chances d’être lues, et par conséquent d’être publiées, les nouveautés d’exception qui ne répondent pas aux critères de valeurs en vigueur au moment où elles voient le jour. Mais qui remarque l’absence d’un auteur inconnu ? »

Extraits

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Littérature étrangère

Un Américain, un vrai

1938. Ira Stigman, le double fictionnel d’Henry Roth, est en plein tourment : il peine à écrire son second roman et vient de rencontrer la nouvelle femme de sa vie, Muriel Parker, une américaine "typique", à l’opposé de ses modestes origines d’immigré juif. Fuyant la colère de son ex-compagne Edith, qui l’entretient depuis des années, Ira part avec un ami communiste à Los Angeles. Puis, fou amoureux, il décide de rejoindre Muriel à New York. Il se lance alors dans une traversée épique des États-Unis, en stop et en train, croisant sur son chemin hobos violents et paysans antisémites. Arrivé à Manhattan, Ira affrontera-t-il enfin sa vie et ses choix, pour devenir un américain, un vrai ? Magnifique roman d’amour autobiographique, ce dernier tome d’A la merci d’un courant violent nous offre aussi deux fascinants portraits : celui d’Ira qui voit l’immigré qu’il était, le "yidele élevé au milieu des taudis de Harlem", se transformer en bourgeois, et celui d’un peuple entier subissant une crise sans précédent. Henry Roth recrée brillamment la vie intellectuelle du New York des années 1930, et dépeint également une autre Amérique, qu’il affectionne tout autant, sombrant dans la Grande Dépression et la désillusion politique.

10/2013

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Littérature étrangère

Un américain en enfer. Un conte populaire

Jeune Noir américain du début du XXe siècle, Abe n'aura connu qu'une courte vie de misère, d'injustice et de prison lorsqu'il meurt à 27 ans. Expédié en enfer par Jésus Christ en personne, il constate avec stupéfaction que ses congénères y sont privilégiés sur les Blancs, pour mieux les faire souffrir. Abe profite de cet éternel séjour : il s'instruit et tente de comprendre pourquoi le "rêve américain" est resté inachevé. Sympathisant avec un Blanc, Dave, ancien éclaireur de la conquête de l'Ouest scalpé par les Indiens, lui aussi convaincu de la grandeur de leur nation, Abe persuade le Diable (un manager moderne, amateur de jazz et de partouzes) de les renvoyer tous deux dans l'Amérique de 1938. Séparés, mais promettant de se retrouver, les deux amis vont alors suivre des chemins différents, semés d'embûches. Pendant ce temps, alors qu'éclate la Seconde Guerre mondiale, avec son gros lot de clients, le Diable se frotte les mains... Satire sociale féroce sous la forme d'une farce burlesque, d'un réalisme cru et virulent, Un Américain en enfer s'attaque avec un humour frontal et décapant, au-delà de la seule ségrégation raciale, à l'essence même du "rêve américain" . L'AUTEUR Cinéaste, acteur, compositeur et écrivain, Melvin Van Peebles est né en 1932 à Chicago. Arrivé à Paris au début des années 1960, il rencontre Chester Himes, puis François Cavanna et collabore à la revue Hara-Kiri, où il publie entre autres Le Chinois du XIVe, illustré par Topor. De retour aux Etats-Unis, il continue d'écrire, d'enregistrer des disques et réalise plusieurs longs métrages, dont Sweet Sweetback's Baadasssss Song (1971), le film précurseur du cinéma de "Blaxploitation" . Paru aux Etats-Unis en 1976 (et prépublié dans le magazine Playboy d'Hugh Hefner), Un Américain en enfer, roman majeur de son auteur, laisse éclater toute sa verve et sa lucidité caustique. Agé de 87 ans, Melvin Van Peebles vit aujourd'hui à New York. "Melvin, son cinéma, c'est le négro américain dessalé cigare au coin du bec j'emmerde les gros cons de blancs je méprise les négros qui ne sont que des négros. Tout Harlem dans un verre, Melvin". (Cavanna, Bête et méchant)

02/2020

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Littérature française

Un écrivain, un vrai

Gary Montaigu, écrivain américain d’origine française, est à l’apogée de sa carrière : les lecteurs s’arrachent ses livres et son dernier opus vient de recevoir l’International Book Prize. Sa femme Ruth peut se féliciter de s’être consacrée à sa gloire, en compagne omniprésente, attentive et exigeante, étouffante. Elle le pousse à accepter la proposition d’un producteur : participer à une téléréalité qui prétend montrer l’écrivain au travail. L’émission s’appelle “Un écrivain, un vrai” et s’est fixé pour objectif de filmer la création en direct : une équipe s’installe au domicile de Gary et suit son travail au jour le jour ; les téléspectateurs sont invités à intervenir sur l’histoire du roman en cours, sans prendre la peine de lire puisque chaque chapitre est immédiatement transposé en épisode de feuilleton télé. La littérature participative vit son heure de gloire, le télélecteur est né, son pouvoir absolu s’exerce de façon binaire : J’aime/J’aime pas. Il y a longtemps que Gary n’est plus épanoui dans la vie qu’il s’est construite, qu’il s’échappe régulièrement pour prendre l’air, pour tromper sa femme, qu’il s’interroge sur son art et sur sa fidélité aux idéaux de sa jeunesse. En acceptant de se prêter au jeu de la téléréalité, il voudrait rendre la lecture populaire, faire entrer l’amour du livre et de la fiction dans tous les foyers. Une démarche généreuse et sincère… Mais que peut la littérature face à la médiocrité consensuelle de la télévision ? La création n’est-elle pas soluble dans le divertissement ? Au fil d’une construction qui alterne deux époques, la tension narrative monte, le suspense croît, et à la fin de l’histoire les grands gagnants ne seront pas ceux que l’on pouvait espérer. Avec humour et clairvoyance, Pia Petersen interroge le rôle de l’artiste dans nos sociétés contemporaines interactives. Elle dénonce le règne du simplisme démagogique qui tend à remplacer toute espèce de réflexion par la sanction J’aime/J’aime pas. Elle plaide pour la complexité de la pensée, la liberté de créer sans le souci de séduire. Sa phrase entêtante, ironique, singulière, déroule implacablement cette efficace dénonciation du story-telling au détriment de l’engagement réel sur un chemin de création, sans concessions.

01/2013

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Autres éditeurs (A à E)

Un ours, un vrai

Aujourd'hui, la famille Ours part en promenade dans la forêt. Papa Ours lance des défis à Petit Ours : faire la course, nager, grimper aux arbres... mais Petit Ours préférerait chasser les papillons. " C'est pour les ourses mouillées, les limaçons ! " Papa Ours veut que son fils devienne comme lui : un ours qui pourrait courir 100 km à cloche pied avec une ruche sur le dos ou attraper un crocodile pour en faire un paillasson... Petit Ours admire son papa qui n'est jamais fatigué, n'a peur de rien et ne pleure jamais ! Mais à jouer les gros bras, Papa Ours s'attire des ennuis. Heureusement, Petit Ours est là ! Une déconstruction des stéréotypes qui ont la peau dure, avec humour et ironie La suite de Boucle d'ours, avec un Papa Ours encore pétri de clichés !

03/2024

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Poches Littérature internation

Un homme, un vrai

Si l'Amérique était un homme, elle aurait pour nom Charlie Croker. Parti de rien, ce colosse blanc aux allures de taureau a bâti, de ses mains, un immense empire immobilier. La ville d'Atlanta a assisté, béate, à son envol ; elle se réjouit aujourd'hui à l'idée de sa chute... Son dernier projet est un désastre et ses créanciers ont flairé l'odeur du sang. Acculé, Croker se voit proposer un marché qui décidera de son honneur ou de son salut. Sa voix est de celles qui comptent : à quelques semaines des élections municipales, son soutien public à Fareek Fanon, footballeur noir accusé d'avoir violé une jeune fille blanche, serait le bienvenu... Politiciens obsédés par le vote noir, nababs racistes, avocats marrons, banquiers rapaces et oubliés de la croissance l'encerclent. Un dilemme américain : rester un homme et tout perdre ou rejoindre la meute ?

02/2009

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Poches Littérature internation

Un rêve américain

Lorsque Norman Mailer fit paraître Un rêve américain (en 1965), il n'avait pas publié de roman depuis dix ans. Il se contentait de tenir son rôle d'enfant terrible de la littérature américaine, à travers diverses publications et prises de position à la télévision. Aussi ce roman fut-il salué non seulement comme un événement, mais encore comme une œuvre d'une virtuosité étourdissante. Norman Mailer y raconte l'histoire d'un meurtre falsifié en suicide. Stephen Rojack, personnage égaré, solitaire, en vient à tuer sa femme. L'analyse des raisons profondes de ce geste permet à Mailer de définir, à sa façon, les obsessions de l'Amérique : cancer, alcool, sexualité, racisme.

10/2007

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