Sous mes paupières. Extérieurs vies

Déclaration de Pierre Dharréville

« C’est une histoire algéroise, une histoire d’amour. [...] Une histoire d’amour. Entre lui et moi, entre Alger et moi » nous conte Sarah, la narratrice. Par Gilles Plu.

Précédemment Chef de marché livre chez Cultura, Éric Lafraise a été nommé Directeur des relations extérieures pour le groupe. Jean-Luc Treutanaere, consultant pour Cultura, demeure l’interlocuteur de l’enseigne jusqu’à la transmission définitive des dossiers. 

Mme Gwenaëlle Solignac est nommée chef du département des relations extérieures du Centre national du livre. Elle a pris ses fonctions ce 1er octobre.

Jennifer Thiault est nommée cheffe du département des relations extérieures de l’établissement, en remplacement de Gwenaëlle Solignac. 

Plus d'une année de crise sanitaire et de mesures pour lutter contre la transmission du Covid-19 n'aura pas suffi à éclairer certaines zones d'ombre. Certains libraires de l'Hexagone s'interrogent ainsi sur les possibilités de participer à des marchés en extérieur. Si le décret publié semble l'interdire, la situation varie selon les villes et régions...

Pour les amateurs d'animes, consultables en toute légalité et facilement, le site Crunchyroll est une perle. Mieux qu'un baba au rhum pour un poivront. Qui désormais dispose de sa propre application sur Android, gratuite, et permettant de se goinfrer de séries jusqu'à plus soif.

RECIT LITTERAIRE - Les carnets de notes qui l’accompagnent depuis des années se transforment en cailloux de Petit Poucet : Olivier Rolin revisite le monde qu’il a exploré naguère, son monde à la cartographie singulière, avec un Soudan plus grand que l’Inde, New York insignifiant en regard de Kaboul. Et la Russie, partout.

Les éditeurs ploient sous les dépenses et serrent la vis

En 1828 vint au monde un certain Jules Verne, qui a fourni à la littérature française son lot de romans d’aventures. Moins de 200 ans plus tard, les trajets de la Terre à la Lune sont assez courants, mais l’on n’a toujours pas trouvé le Kraken que rencontre le Nautilus. Peut-être qu’au studio 104 de la Maison de la Radio, on a trouvé quelques pistes : un concert fiction autour de 20.000 lieues sous les mers nous embarque...

Danielle, m'a dit: "Est-ce que tu connais Jean Meckert?" Non, bien sûr, je ne connaissais pas. Elle m'a regardé avec une certaine consternation, la même sans doute que doit prendre mon visage lorsque quelqu'un me dit ignorer le nom de Guérin. Puis elle a dit: "Lis-le, tu ne regretteras pas". De fait, je ne regrette pas, et c'est un nouvel ensablé qui revoit le jour. De retour à Paris, j'achète "Nous sommes tous des assassins" et regarde internet.

C'est peut-être une maison bleue accrochée à la colline, où l'on vient à pied, et que sans frapper, on y entre, puisque ceux qui vivent là ont jeté la clef. Peut-être. Mais c'est avant tout l'oeuvre du designer Fábio Galeazzo, qui s'est amusé à transformer complètement une maison abandonnée de São Paulo, en un espace... moderne.

Mettons de suite les informations dans leur contexte. Le sondage n'a pris en compte que 2000 personnes et seulement des employés de bureau. On voit mal en effet un plombier envoyer des mails toute la sainte journée.

Le programme littéraire de France Culture pour la semaine du 30 octobre au 5 novembre. De la BD avec Benoît Peeters, de la poésie avec Raul Ruiz, Panayotis Pascot dans le Book Club et bien d'autres choses encore...

Mort en avril 2012, Nicola Pugliese, écrivain et journaliste, ne laisse derrière lui que deux romans dont Malacqua, sous-titrée « quatre jours de Pluie dans la ville de Naples dans l’attente que se produise un événement extraordinaire » . D’abord publié en 1977, le roman tombe, comme son auteur, rapidement dans l’anonymat. Il faudra attendre 2013, un an après la mort de l’écrivain, pour que les éditions Tullio Pironti fassent réapparaître Malacqua dans les librairies italiennes. Fantastique, morne et kafkaïenne, l’oeuvre de cet auteur nous plonge dans la ville de Naples, frappée alors par le déluge et la précarité.

À compter du 16 mars, trois premiers titres pour une petite collection sortiront chez J'ai lu, destinés à donner tous les droits. Celui d'être belle, celui de rendre son homme fou de plaisir ou encore de maigrir pour de bon.

Fin avril, le supermarché Delhaize de la ville d'Ixelles (Belgique) procédait à quelques ravalements de façade, et installait une série de panneaux devant sa vitrine, pour empêcher des sans-abris de s'y installer. Le libraire Emmanuel Requette avait alors abandonné son commerce, Ptyx, pour s'engager — et d'autres citoyens avec lui — à démonter lesdits panneaux. Ce qui donne une idée du personnage, qui a cofondé une maison d'édition, Vies parallèles.

HIVER2024 - Ce livre plonge dans l'univers de l'hypnose régressive, une forme d'hypnothérapie particulièrement prisée en Inde, emmenant le lecteur dans les expériences mentales de patients qui explorent leurs « vies antérieures ». À travers ces histoires, l'ouvrage propose une vision alternative aux théories transhumanistes occidentales et une étude captivante sur les méthodes de l'imagination.

Sous le titre « La bataille des vins » et le sous-titre « Dit des vins de France », ce long poème de 204 vers est composé en 1224 par Henri d'Andeli pour juger des vins français de l'époque. Il est aujourd'hui considéré comme le premier guide des vins au monde.

L'animateur Henning M. Lederer s'est attaqué aux couvertures de livres, et à toutes les aventures qu'elles peuvent vivre lorsqu'elles ne sont pas repliées par un quidam en pleine lecture. « Covers », tout simplement, présente un travail d'animation soigné, qui s'appuie essentiellement sur les formes abstraites et parfois psychédéliques de livres anglophones. 

 Jérémy Wagstaff est consultant sur les nouvelles technologies (Wall Street Journal, BBC). Il y a peu, il écrivait que l’ebook avait émergé, que le monde changeait, et qu’il était temps d’en finir avec notre penchant pour le vieux livre racorni.

BONNES FEUILLES - C'est un roman de l’amour absolu, celui qui vous élève et vous broie. Dans une langue brute, survoltée et rageuse, Julien Birban se frotte aux peines incompressibles dont les fissures collent à la peau.

Le 11 mai, une humanité renouait avec son plateau de fromages de pays, après de longues semaines d’assignation à résidence collective. Fin du confinement, et comme les yeux accoutumés à l’obscurité, il a fallu cligner des paupières pour se réhabituer au monde extérieur. Fort heureusement, lui n’avait pas trop changé.

Clément Rosset vous emmène sous La Nuit de mai

L’Assemblée nationale a adopté le projet de loi sur « l’action extérieure de la France » sans remettre en cause la question décriée des frais de sauvetage.

C'était à Chambéry, l'autre jour. Une des organisatrices du festival, Danielle, m'a dit: "Est-ce que tu connais Jean Meckert?" Non, bien sûr, je ne connaissais pas. Elle m'a regardé avec une certaine consternation, la même sans doute que doit prendre mon visage lorsque quelqu'un me dit ignorer le nom de Guérin. Puis elle a dit: "Lis-le, tu ne regretteras pas". De fait, je ne regrette pas, et c'est un nouvel ensablé qui revoit le jour. De retour à Paris, j'achète "Nous sommes tous des assassins" et regarde internet.

Voilà quelques jours, un père de famille décidait de conduire ses enfants dans un espace Cultura. Seule consigne : « Prenez tous les livres que vous pouvez porter. » Pour lui, cette séance de shopping rendait hommage à son propre père, décédé avant d’avoir connu ses petits-enfants. Car, bien plus jeune, il lui avait offert le même cadeau : emporter tous les livres possible.

Le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême, tout en annulant l'exposition consacrée à l'auteur Bastien Vivès, défendait ce dernier. Et soulignait que ses œuvres n'avaient jamais fait l'objet d'une plainte pour « diffusion d'images pédopornographiques ». L'association Innocence en Danger a porté plainte contre Vivès et deux de ses éditeurs, Glénat et Les Requins Marteaux, ce lundi 19 décembre.