Recherche

Rose de Diarbékir. Une passion arménienne

Rédacteurs

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Fureur ! Passion ! Eléphants ! : Salammbô, l'exposition

« C’était à Mégara, faubourg de Carthage, dans les jardins d’Hamilcar ». Il suffit de ces quelques mots pour que l'imaginaire immédiatement se déclenche, convoquant images et mythes, langueur et Histoire, Orient et littérature. Publié en 1862, le roman de Flaubert retrace l’attraction fatale entre Salammbô, prêtresse de Tanit et Mathô, chef des mercenaires révoltés contre l’opulente Carthage. Jusqu'au 19 septembre prochain, et dans le cadre des célébrations du bicentenaire de la naissance de l'écrivain, le Musée des Beaux-arts de Rouen accueille une exposition conviant tous les arts, traces de l'incroyable postérité de cette oeuvre. 

ActuaLitté

Dossier

Milan Kundera par ses livres : la passion française

Milan Kundera est né le 1er avril 1929 à Brno, en Tchécoslovaquie (aujourd'hui République tchèque). Il est l'un des écrivains les plus importants et les plus influents du 20e siècle. Ses écrits, qui abordent des thèmes tels que l'amour, l'existence et l'identité, sont connus pour leur complexité et leur profondeur philosophique.

ActuaLitté

Dossier

Le prix unique des frais de port du livre, une saga législative

40 ans après la loi sur le prix unique du livre, un nouveau texte législatif entend restaurer une certaine forme d'équilibre pour la vente du livre, mais cette fois sur internet. Le développement de différentes plateformes, Amazon en tête, aura en effet popularisé la gratuité — ou presque — des frais de port, au détriment des libraires indépendants. La facturation de frais de port minimaux suffira-t-elle à restaurer l'équilibre ?

ActuaLitté

Dossier

Foire du Livre de Francfort 2021 : une édition hybride

Reléguée sur internet en 2020 par la pandémie de coronavirus, la Foire du Livre de Francfort, un des événements majeurs du secteur de l'édition, espère bien accueillir les professionnels, du 20 au 24 octobre prochain. Une édition hybride est annoncée, avec une partie des événements en ligne.

ActuaLitté

Dossier

Une écologie de la librairie au coeur des RNL 2024

Les Rencontres nationales de la librairie prennent leur quartier à Strasbourg, capitale mondiale du livre, les 16 et 17 juin 2024. Quelque 700 libraires, parmi 1200 participants au total, échangeront autour des sujets qui préoccupent la profession.

ActuaLitté

Dossier

Prix des lecteurs de la ville de Lausanne 2022 : une récompense mondiale

Du 15 janvier au 15 mars 2022, les cinq romans en lice pour le Prix des lecteurs de la Ville de Lausanne 2022 vous sont offerts en lecture libre. Découvrez, lisez, votez !
 

Extraits

ActuaLitté

XIXe siècle

Rose de Diarbékir. Une passion arménienne

Rose de Diarbékir, c'est une histoire de femmes, de courage, de résistance, une page de l'histoire du peuple arménien, doublée d'une lettre d'amour pour la France. Une fresque familiale au souffle oriental, tragique et généreuse à la fois. 1893. Dans la belle cité de Diarbékir (sud-est de l'Empire ottoman) vit la famille Hagopian, selon les traditions séculaires de leur culture. Rose, la cadette, fière et déterminée, aspire à une vie choisie, sans mariage arrangé. Elle a vu partir avec envie ses trois frères pour l'Europe. Elle, a la passion de la langue française et du théâtre. Mais de plus en plus des actes de violence visent les chrétiens, et la communauté arménienne en particulier. Ils sont le fait de pillards kurdes, présents dans cette partie orientale d'un empire gouverné par un sultan qui ferme les yeux sur leurs exactions, quand ses troupes n'y participent pas elles-mêmes... Partie pour Constantinople, Rose voit son destin basculer grâce à sa rencontre avec Sarah Bernhardt, en tournée pour la pièce Ruy Blas. Si proche de son rêve de scène mais si douloureusement loin des siens, la jeune fille ne peut que se révolter des violences, pillages, assassinats qui touchent sa communauté. Aussi entre-t-elle en résistance tandis que sa famille s'exile sur la seule terre d'accueil possible alors : la France, Marseille puis Paris. Entremêlant personnages de fiction et figures historiques, ce roman rend hommage aux personnalités (l'ambassadeur Paul Cambon, Jean Jaurès, Georges Clemenceau...) qui, avant le génocide de 1915, se mobilisèrent en faveur du peuple arménien.

09/2023

ActuaLitté

Littérature française

Anahide, une mémoire arménienne

Voici le récit d'une vieille dame arménienne qui raconte sa vie depuis le génocide, en 1915, auquel elle échappe alors qu'elle n'est qu'une adolescente. Son exil, avec son jeune frère et une tante, seuls rescapés de la famille, la conduira en France. De Marseille, où elle débarque, elle se retrouvera à Saint-Chamond, dans la Loire, puis à Vienne où elle finira ses jours. Elle accorde une place importante au " Kemp ", le ghetto des années 20 qui disparaîtra au début des années 60. Ses souvenirs du " Kemp " sont ambivalents puisqu'ils mêlent des difficultés matérielles et morales évidentes à une solidarité intra-communautaire très forte. Anahide dit aussi son attachement à la France, en revenant souvent à son goût pour le pain français qu'elle déguste savoureusement en le décrivant avec des mots choisis. C'est sa façon de dire son amour de la France qu'elle vénère malgré la vie souvent difficile qui aura été la sienne. Les dialogues qu'elle aura eus avec son petit-fils offrent donc une mémoire qui veut ici établir un lien entre ceux des Arméniens qui ont vécu le génocide et ceux des générations qui apparaissent aujourd'hui.

12/2010

ActuaLitté

Littérature francophone

Amargi. Une solitude arménienne

Les solitudes sont multiples ! L'Arménie ressent toujours la sienne, en 2022, en comptant ses morts. L'invasion azerbaïdjanaise s'est terminée en novembre 2020, mais 217 jeunes hommes sont encore " portés disparus ". Les instructeurs turcs, les djihadistes de daesh, et les drones israéliens n'ont fait qu'amplifier le mutisme des chancelleries occidentales. Seul le silence chuchote et enserre l'Arménie délaissée. Enfermée dans les montagnes du Caucase, elle est seule, presque abandonnée. 5000 km plus à l'ouest, Soledad s'ennuie : née naguère sur les hauts plateaux espagnols, elle ne connaît ni les gens ni le monde. Elle ne se mêle ni aux habitants du village, ni au troupeau humain en général : ses conversations hors domicile se comptent sur les doigts d'une moufle. La compagnie de son oncle et de la gouvernante de la maison constitue son lien social, et lui suffit largement. Mais étant tout autant curieuse que rugueuse, elle n'est pas moins misanthrope qu'humaniste : elle parcourt donc la planète et ses soubresauts par la lecture, s'intéresse à toutes les cultures, ressent intérieurement chaque drame qui frappe la terre. Son aïeul, lui, a visité les recoins du globe, et en a tiré des aventures lues et reconnues partout. Soledad est certainement la nièce anonyme la plus célèbre, mais la moins célébrée. Après une discussion avec son tonton, elle part à la découverte du monde, chargée d'une mission précise : trouver les plus beaux abricotiers qui soient. A deux doigts du but, l'Azerbaïdjan et son armée lui tombent sur le nez.

06/2022

ActuaLitté

Littérature française

Arménienne

D'Istanbul à Paris, de 1910 à aujourd'hui, une femme traverse les épreuves de la Grande Catastrophe et de l'exil. Prénom : Victoria. Signe distinctif : le profil de médaille d'une héroïne bravant les fantômes d'un pays où "des lambeaux de tissus ondulent par grands plis dans un désert lointain, une prison à ciel ouvert". Avec l'énergie d'une écriture qui rassemble les fragments d'une vie, les aimantent pour ainsi dire, Martin Melkonian libère de l'anonymat une figure attachante. Quelqu'un d'inoubliable. Il serre au plus près les rares archives qu'il a en sa possession, crève les poches de silence et comble les lacunes. Un mausolée est dressé. Celui du territoire perdu, de l'origine enfouie, de l'Arménie intérieure. Victoria qui passe. Victoria des traces. Victoria qui reste. Victoria des coeurs.

03/2012

ActuaLitté

Romans historiques

Le Vanetsi. Une enfance arménienne

Réédition en un seul volume de la célèbre saga de Victor Gardon parue entre 1959 et 1970, Le Vanetsi nous emmène sur les pas de Vahram, jeune garçon arménien qui vit à Van au début du XXe siècle avec sa famille et surtout sa grand-mère, personnage irrésistible, chef de famille qui soigne, conseille, écoute. Dans cette chronique villageoise, vibrante, chatoyante, Vahram chante l'apprentissage de la vie par un enchaînement de tableaux, de tranches d'existence, sa découverte de l'amour, de la mort, de l'injustice et de la cruauté. L'Arménie, alors sous domination turque, va connaître une succession de bouleversements et de troubles terribles. Après l'accession au pouvoir du parti des Jeunes-Turcs qui détrône le sultan et l'espoir qu'elle suscite chez les Arméniens, la guerre de 1914 éclate. Les massacres commencent et c'est l'arrachement à la maison ancestrale et le début de l'exode pour toute la famille de Vahram. De Van à Igdir et d'lgdir à Tiflis, elle va errer dans un pays en ruine, semé de charniers, éventré par les pillages, la torture et les incendies. Au début de la révolution russe, en 1917, la famille, devant l'avancée turque et sans espoir de retour dans sa ville natale, décide de quitter la Géorgie et prend une nouvelle fois la route. Elle n'est donc pas ordinaire, l'enfance de Vahram, lui qui nous raconte ce qu'il voit, ce qu'il vit, sans donner aux drames des couleurs outrées et sans se départir du ton de l'enfance qui mêle peur, émoi et merveilleux. C'est cette poésie qui fait la force de ce texte, lui donne une dimension de véritable leçon d'humanité, un appel à la conscience des hommes.

06/2008

ActuaLitté

Littérature française

Maison mère. Une famille arménienne

A travers le récit littéraire et poétique d'une famille française d'origine arménienne affleurent les questions d'immigration, d'intégration, de transmission, mais aussi d'enfermement et de déterminisme social, ainsi que le choc culturel entre Orient et Occident, les rapports hommes-femmes, la place des femmes dans une structure clanique, mais aussi les chrétiens d'Orient. Ce récit sonne comme un retour à la matrice, aux origines, arméniennes ici, à l'enfance. Un retour à la " maison " au sens le plus symbolique du terme, au coeur d'une labyrinthique et étouffante demeure familiale dans laquelle la narratrice se voit contrainte d'emménager après un héritage. Un conglomérat d'espaces, de chambres, de corridors... dans lequel elle déambule, comme en apnée, au sein de visions qui la renvoient indéfiniment à son passé, essentiellement les années 80. Les pièces de la maison deviennent peu à peu comme les pièces d'un puzzle dont chaque morceau représente une part de son identité morcelée. Qui sont les Arméniens, ce peuple encore relativement méconnu dont les racines remontent six siècles avant Jésus-Christ ? A travers des prénoms, des lieux, des chants et des danses, des coutumes ancestrales, des légendes du Caucase ou d'Anatolie peuplées de héros bibliques, de dieux et de déesses ou de simples troubadours nous apparaît tout un monde. Quant au génocide de ce peuple perpétré dans l'Empire Ottoman en 1915, il est abordé d'un point de vue psychologique, comme le point de départ d'un chaos interne, déteignant sur toute une lignée à travers les âges. Une intrigue, sous la forme d'une chasse au trésor aussi : il s'agit de retrouver une photographie et de renouer avec le passé pour mieux se projeter dans l'avenir.

02/2022

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté