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Richard Erdoes, Tahca Ushte

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Dossier

De Michel Glardon à Jean Richard : histoire des Éditions d'en bas

En raison de la crise sanitaire du Covid-19 et à la suite de la fermeture des librairies, sans oublier l’annulation des salons du livre, les Éditions d’en bas ont choisi la riposte. La maison, qui célèbre ses 45 ans, a souhaité partager son histoire, à travers des podcasts et des vidéos de leurs auteurs. Mais également faire découvrir des livres plus anciens à travers toutes ces années de publications.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Stephen King

Né le 21 septembre 1947 à Portland, aux États-Unis, Stephen King a bâti une carrière d'écrivain hors normes : des dizaines de livres publiés et des millions d'exemplaires vendus dans le monde entier en font l'un des auteurs les plus lus et les mieux payés. Publiant tantôt sous le nom de Richard Bachman et sous celui de Stephen King au début de sa carrière, son nom est désormais largement connu à l'international comme celui du « Maître de l'horreur ».

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Dossier

Dédicaces, programme, auteurs, éditeurs : le FIBD d'Angoulême 2019

Le FIBD d'Angoulême, ou Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême, tiendra sa 46e édition en 2019, du 24 au 27 janvier 2019, partout dans la ville de la région Nouvelle-Aquitaine. 

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Dossier

Le Commissaire Maigret, figure historique de la littérature policière

Le retour du Commissaire Maigret, cette fois sous les traits de Gérard Depardieu, relance l’intérêt pour le personnage de Georges Simenon. À travers 75 romans policiers et 28 nouvelles, l’enquêteur a officié entre 1931 et 1972. Amateurs de vins — sauf le champagne — et fumeur de pipe, il aura connu bien des visages sur petit et grand écran. 

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Dossier

Editions du Portrait : 10 années à renverser la table

Livre après livre, la maison publie le récit incarné d’un combat contre le sexisme, le racisme. Ces livres, traversés par une pulsion de vie, transmettent l’histoire d’un individu et de son cheminement vers l’émancipation pour sortir des cases qui lui ont été assignées. La maison publie de la fiction et non fiction, mêlant écriture poétique et documentaire.

 

Extraits

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Ethnologie

DE MEMOIRE INDIENNE. La vie d'un Sioux, voyant et guérisseur

" J'étais seul au sommet de la colline, j'étais assis dans la fosse de voyance, un trou creuse dans le sol, les genoux entre les mains... " C'est ainsi que le Sioux Tahca Ushte commence l'histoire de sa vie mouvementée. Son itinéraire, sa quête du savoir, dans ce " Tristes Tropiques " sioux, passent par les montagnes sacrées où la parole du Grand Esprit Wakan Tanka est inscrite dans le roc, telles les tables de la loi. Le voyant-guérisseur décèle les aberrations de la société occidentale et raille la médiocrité des temps nouveaux, symbolisés par le dollar, cette " peau de grenouille verte ". Initiés au plus profond du sacré, aux rites, à la voyance, au nombre d'or, à la médecine, les Indiens, affirme Tahca Ushte, de la naissance à la mort, sont pris dans les plis des symboles comme dans une couverture. Tahca Ushte n'écrit pas seulement un livre sur le passé. Il nous confie ici des Mémoires d'avenir, un livre de vie et de sagesse puisé aux sources résurgentes de la tradition amérindienne.

10/1999

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Ethnologie et anthropologie

De mémoire indienne. En quête d'une vision

En 1972, Richard Erdoes publie les entretiens qu'il a enregistrés avec Tahca Ushte (John Fire Lame Deer), sous le titre Seeker of visions. Le livre retrace la vie de Tahca Ushte, ses motivations à devenir enseignant et guérisseur, sa perception des différentes médecines lakota, de l'importance des traditions cérémonielles, et son opinion du monde occidental et de ses dérives... "[... ] Selon notre façon de penser, ce qui symbolise l'Indien, c'est le cercle. La nature veut la rondeur. Les corps des êtres humains et des animaux n'ont pas d'angles. Pour nous, le cercle représente le peuple uni, parents et amis assemblés en paix autour du feu, tandis que la pipe passe de main en main. Le campement, dans lequel chaque tipi avait sa place, était aussi un cercle. Le tipi était un cercle dans lequel les gens s'asseyaient en rond, et toutes les familles du camp formaient ainsi des cercles à l'intérieur d'un cercle plus large, lui-même faisant partie du grand cercle formé par les sept feux de camp de la nation sioux. La nation n'était qu'une fraction de l'Univers, qui est de nature circulaire et composé de la Terre qui est ronde, du Soleil qui est rond, des étoiles qui sont rondes aussi. La Lune, l'horizon, l'arc-en-ciel, des cercles dans des cercles dans des cercles, sans commencement ni fin... " Tahca Ushte (John Fire Lame Deer).

02/2024

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Littérature française

Nos corps érodés

Une île au bord de l'océan. Ses plages rongées par l'érosion, ses blockhaus, vestiges enlisés du mur de l'Atlantique, et une vague plus haute que les autres qui menace de bientôt tout emporter. Une géologue revenue sur les terres de son enfance tente de faire comprendre aux occupants qu'il faut abandonner le rivage, trop dangereux, reculer habitations et commerces avant qu'il ne soit trop tard. Mais sur l'île, qui ne vit que grâce au tourisme, son projet ne plait pas. Trop d'enjeux économiques, trop de haines venues du passé, que cristallise la présence toujours étouffante des blockhaus le long des plages. La violence et la vague ne vont pas tarder à déferler ensemble sur la petite communauté.

03/2020

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Indépendants

Richard : Richard et Dieu

Après avoir aidé un conducteur à ne pas emboutir la voiture derrière lui, Richard accepte aimablement de l'aider à porter un carton. Tout se passe au mieux, jusqu'à ce que l'homme commence à prétendre être Dieu en personne... Le cinquième épisode que Lewis Trondheim consacre à Richard, le fidèle compagnon de Lapinot, pour une Patte de mouche exceptionnelle de 32 pages sans augmentation de prix.

11/2021

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Indépendants

Richard : Richard et les quasars

Richard relit la bande dessinée d'un de ses amis. Une mission qu'il prend très au sérieux... trop peut-être ? Le portrait grinçant de Richard en troll jusqu'au-boutiste.

04/2021

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Littérature étrangère

Richard Yates

Ce roman, même s'il s'intitule Richard Yates, n'a aucun rapport avec l'auteur éponyme. Ce n'est en aucun cas une biographie, le titre fait plutôt appel (même s'il est fait référence à quelques reprises à l'écrivain Richard Yates) à la sensation d'approximation, de « réalité abstraite » qu'on vit lorsqu'on s'aperçoit de la différence entre un contenant et son contenu, ou lorsqu'on compare des éléments aussi paradoxalement éloignés l'un de l'autre que l'Art et la Vie : une situation étrange et pourtant familière, nous laissant dans un doux état de confusion. Deux jeunes gens que l'auteur affuble de noms d'acteurs américains, Haley Joel Osment, 21 ans, habitant New York, et Dakota Fanning, 16 ans, habitant dans le New Jersey, font connaissance sur internet et s'éprennent l'un de l'autre. Après une première rencontre réelle au domicile de l'adolescente, ils enchaînent les allers-retours entre New York et le New Jersey. Le couple mange végan, vole dans les magasins et disserte sur la vie et l'ennui, se sent seul, échoue souvent à se comprendre. Lorsqu'ils ne sont pas ensemble, ils discutent en chat, alimentent leur spleen et une relation entre bonheur fulgurant et déprime suicidaire. Lorsque Joel quitte son appartement de New York pour s'installer dans New Jersey, les personnages se dévoilent, laissant apparaître leurs blessures, leurs pulsions, leurs failles. Et Joel découvre alors les mensonges et manipulations de Dakota. Des jeunes ligotés par leurs liens virtuels, des adultes désarticulés par le réel, un récit entre l'hypnose et l'anesthésie. L'écriture minimale de Tao Lin et son humour à froid nous plongent dans la dépression générationnelle de ceux que l'on nomme les hipsters. Et, au détour d'une conversation en ligne apparemment anodine, les démons surgissent, avec toujours en fond sonore une solitude que l'on embrasse et dont on rit, comme pour l'apprivoiser.« Souvent hilarante, l'écriture de Tao Lin évoque les débuts de Douglas Coupland ou Bret Easton Ellis, mais avec quelque chose de particulier, presque beckettien. (...) Il y a chez lui une attitude, une ambiance, un abandon comiquement désespéré de l'ego littéraire. » The Guardian

01/2012

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