2017 sonne comme l'année de la consécration pour Alice Zeniter : son roman L'Art de perdre, publié par les éditions Flammarion, reçoit une variété de prix littéraires, dont le Prix Goncourt des lycéens 2017, le prix littéraire du Monde de la même année, le Prix des libraires de Nancy ou encore le Prix Landerneau.
Créé en 2002 par la chaine de magasins spécialisés dans la culture Fnac, le Prix du roman Fnac fait partie des premiers prix de la rentrée littéraire. Pendant l’été, 400 adhérents et autant de libraires Fnac s’immergent dans les centaines de romans de la rentrée littéraire, qu’ils apprécient en toute indépendance, contribuant ainsi à une première sélection de 30 ouvrages.
Créé en 2016 par Le Livre sur la Place et Groupama, le Prix Stanislas du premier roman récompense le talent d’un auteur d’un premier roman publié à la rentrée de septembre. Dix ouvrages de la rentrée littéraire sont sélectionnés au cours de l'été, le nom du lauréat est connu à la fin de celui-ci, avant que la récompense ne soit remise au cours du Livre sur la Place.
Récompense créée en 1931 par Antonine Coullet-Tessier, le Prix Eugène Dabit du roman populiste s'est donné pour mission de saluer une œuvre romanesque qui « préfère les gens du peuple comme personnages et les milieux populaires comme décors à condition qu'il s'en dégage une authentique humanité ».
Le Prix littéraire de la Porte Dorée récompense un roman ou un récit écrit en français traitant du thème de l’exil. Depuis 2022, il s'accompagne d'un Prix BD. Les deux récompenses bénéficient d'une dotation de 4000 €.
La sélection du prix Goncourt 2023 a été annoncée, marquant une nouvelle étape dans le calendrier littéraire français. Ce prix, créé en 1903 par le testament d'Edmond de Goncourt, demeure l'une des récompenses littéraires les plus convoitées en France.
BD tout public
12/1999
Romans graphiques
05/2022
BD tout public
10/2010
Littérature française
02/2013
Divers
Depuis des siècles, l’image est mise à contribution pour représenter et commémorer les désastres collectifs. L’art séquentiel s’y dédie surtout à partir des années 1980. Aujourd’hui, au bout d’une évolution qui s’est faite parallèlement au développement des genres de l’enquête et du reportage, une multitude de bandes dessinées, de comics et de mangas mettent au centre du récit les catastrophes naturelles et historiques, les conflits armés et les génocides.
Ce volume est consacré à l’illustration et à l’analyse de ce phénomène : de la destruction de Pompéi par l’éruption du Vésuve à la double catastrophe du tremblement de terre du Kyushu et de l’accident de Fukushima, sont analysés les enjeux de ce tournant de l’art graphique. Les catastrophes imaginaires ont aussi droit de cité, pour leur capacité à déplacer et à interroger notre relation aux catastrophes, par l’allégorie, la réflexivité, la fantaisie et même, non sans risques, le comique.
Les désastres collectifs : représentation et commémoration L'objet de ce livre est la représentation des catastrophes dans l'art séquentiel (bandes dessinées, mangas, romans graphiques) et son objectif d'analyser l'évolution récente de cet art, ainsi que les moyens qu'il met en oeuvre pour transmettre la mémoire des cataclysmes de grande ampleur. Le lectorat ciblé est celui de tous les amateurs de bandes dessinées. Le développement à l'Université de cursus dédiés au neuvième art constitue aussi un public d'étudiants et de professeurs susceptibles d'être intéressés par cet ouvrage. Il s'agit du premier ouvrage consacré à ce sujet. La place importante que prend la bande dessinée documentaire sur le marché du livre favorise sans aucun doute la diffusion de cet ouvrage.
12/2022
Littérature francophone
12/2021