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Oeuvres romanesques. Tome 2

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Pass Culture : l'accès aux oeuvres et aux loisirs pour les jeunes

Proposition culturelle centrale du programme culturel du candidat Emmanuel Macron au cours de la campagne de 2017, le Pass Culture se présentait comme l'opportunité, pour les jeunes de 18 ans, de se saisir de leur citoyenneté et de leur liberté pour découvrir la richesse culturelle de leur territoire, ainsi que la diversité de la production culturelle. Ce sont ainsi 500 € qui seront « offerts » à chaque jeune, le jour de ses 18 ans, et qu'il pourra utiliser à travers une application conçue sur mesure pour le Pass Culture.

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De la Provence de Marcel à l'oeuvre de Pagnol

2024 marquera le le 50e anniversaire de la mort de Marcel Pagnol (18 avril 1974) et en 2025, le 130e anniversaire de sa naissance. Des événements sont prévus partout en France pour célébrer ces dates et de son côté, les éditions Bamboo entendent faire vivre la mémoire de l'écrivain, à travers sa collection dédiée, Marcel Pagnol en BD.

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Le centenaire du chef-d’oeuvre de James Joyce, Ulysse

Précédé par une histoire éditoriale tumultueuse et légendaire, Ulysse, le chef-d’œuvre de James Joyce, fête en 2022 le centenaire de sa publication. C'est en France, à Paris, que le récit trouve en effet sa forme définitive, confié aux bons soins de Sylvia Plath.

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Le Salon du livre de Turin 2021, le grand Salto

Le Salon du livre de Turin se tient du 14 au 18 octobre 2021, au Lingotto. Il sera précédé par une initiative inédite : au printemps, en ligne et en présentiel, les festivals Portici di Carta (Turin), Libri Come (Rome) et Lungomare di libri (Bari) seront réunis pour une grande fête !

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Le Prix Eugène Dabit du roman populiste

Récompense créée en 1931 par Antonine Coullet-Tessier, le Prix Eugène Dabit du roman populiste s'est donné pour mission de saluer une œuvre romanesque qui « préfère les gens du peuple comme personnages et les milieux populaires comme décors à condition qu'il s'en dégage une authentique humanité ».

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Livres, actualités : tout sur Marcel Proust

Marcel Proust (1871-1922), réputé pour son style tortueux, reste l'un des écrivains français les plus célèbres du XXe siècle, grâce à une œuvre monumentale, À la recherche du temps perdu, constitué de 7 tomes publiés entre 1913 et 1927. Œuvre mémorielle par excellence, construite à partir des souvenirs de Marcel Proust et de récits glanés çà et là, La Recherche traverse les époques et les lieux.

Extraits

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Pléiades

Oeuvres romanesques. Tome 2

Ce volume contient : Les Vertes collines d'Afrique . Chasses en Afrique : L'Heure triomphale de Francis Macomber - Les Neiges du Kilimandjaro. Dépression en Amérique : Les Tueurs - Cinquante mille dollars - La Mère d'une tante - Course poursuite - Une Lectrice écrit - Une Journée d'attente - Le Vin du Wyoming - Le Joueur, la religieuse et la radio. Pêche et tempêtes dans la mer des Caraïbes : Sur l'eau bleue - La voilà qui bondit ! - Après la tempête - Qui a tué les anciens combattants ?.. En avoir... ou pas - Pour qui sonne le glas - La Cinquième Colonne . La Guerre civile espagnole : Le Vieil homme près du pont - Le Papillon et le tank - En contrebas - Veillée d'armes - Personne ne meurt jamais. La Deuxième Guerre mondiale (reportages) : En route pour la victoire - Londres contre les robots - La Bataille de Paris - Comment nous arrivâmes à Paris - Le «G.I.» et le Général - La Guerre sur la ligne Siegfried.. Deux poèmes à Mary - Deux histoires de ténèbres - Au-delà du fleuve et sous les arbres - Fables - Le Vieil Homme et la mer - Discours de réception du prix Nobel

01/1985

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Oeuvres romanesques Tome 2

On croit savoir que Freddy Sauser devint poète à New York dans la nuit du 6 avril 1912, qu'il se changea en Blaise Cendrars à cette occasion, puis qu'il renonça au poème, au profit d'une autre écriture, de la main gauche cette fois, dans la nuit du 1er septembre 1917, à Méréville (Seine-et-Oise). Rare précision des dates... A nuancer toutefois. Deux recueils paraissent encore en 1924, et il se peut que la ligne de partage entre poèmes et "fictions" (ce mot, à nuancer lui-même) ne soit pas si nette. Au reste, entre 1917 et 1924, Cendrars renonce au poème, pas à la poésie. L'une des vertus de cette édition, dont les deux titres semblent entériner le mythe de la rupture forgé par l'écrivain, est de mettre en évidence la cohérence souterraine qui fait de lui, dans ses romans aussi bien que dans ses recueils, le poète de la modernité. Modernité, et non avant-garde. Il ne s'agit pas de célébrer le futur. C'est le Profond aujourd'hui qui retient Cendrars, et il est bon que la chronologie place en tête des "Oeuvres romanesques", comme une enseigne, l'inclassable texte de 1917 ainsi intitulé. "La modernité a tout remis en question". Elle crée des besoins "de précision, de vitesse, d'énergie" qui détraquent les sens et le coeur de l'homme. Le romanesque doit mettre au point "le nouveau régime de la personnalité humaine". Telle est l'ambition de Cendrars. Elle ne s'accommode d'aucune "recette". "Consultez mes oeuvres. Il n'y a pas de principe ; il n'y a que des réalisations". L'Or et Moravagine sont "deux pôles aussi différents l'un de l'autre par l'écriture et la conception que s'ils étaient l'ouvrage de deux écrivains sans tendresse réciproque", dira l'ami t'Serstevens. Cendrars ne tient pas à enfoncer le clou. "Quand on aime il faut partir", se renouveler, élargir les cases, se jouer des formes. Les Sonnets sont dénaturés, les Poèmes élastiques, Rhum est un reportage romancé, et les Histoires dites vraies entretiennent un rapport complexe avec la fiction. "Plus un papier est vrai, plus il doit paraître imaginaire". Et vice versa : la fugue du Transsibérien était imaginaire, mais plus vraie que vraie. C'est dire qu'il entre une part de convention dans les intitulés donnés aux volumes que la Pléiade consacre à Blaise Cendrars. Poétiques, romanesques, autobiographiques : la plupart des ouvrages relèvent, dans des proportions variables, des trois catégories. Les territoires respectifs de la fiction et de la réalité se recouvrent. Et à lire le romancier, on voit à quel point les préoccupations du poète demeurent actives, et comment elles atténuent ou effacent les frontières entre les genres. "Les inventions d'inconnu réclament des formes nouvelles", disait Rimbaud.

11/2017

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Oeuvres romanesques. Tome 2

"C'est à Paris que j'ai écrit mes premiers romans, découvert l'Amérique latine et commencé à me sentir latino-américain ; j'y ai vu la publication de mes premiers livres ; j'y ai appris, grâce à Flaubert, la méthode de travail qui me convenait et su quel genre d'écrivain je souhaitais être. La France m'a enseigné que l'universalisme, trait distinctif de la culture française depuis le Moyen Age, loin d'être exclusif de l'enracinement d'un écrivain dans la problématique sociale et historique de son propre monde, dans sa langue et sa tradition, s'en fortifiait, au contraire, et s'y chargeait de réalité. "Fraîchement arrivé à Paris, en août 1959, j'ai acheté Madame Bovary à la librairie La Joie de Lire, de François Maspero, rue Saint-Séverin, et ce roman, que j'ai lu en état de transe, a révolutionné ma vision de la littérature. J'y ai découvert que le "réalisme" n'était pas incompatible avec la rigueur esthétique la plus stricte ni avec l'ambition narrative. . ". Extrait de l'Avant-propos de l'auteur, inédit. Débrider l'imaginaire et rivaliser avec la réalité, "d'égal à égal" : tel est le programme du romancier Vargas Llosa. Il reflète un appétit qui pourrait passer pour démesuré. Julio Cortázar comparait l'énergie de son ami Mario à celle de ce rhinocéros du zoo de Buenos Aires qui renversa les barrières de son enclos quand l'envie lui prit d'aller se baigner dans l'étang voisin. L'anecdote fait d'ailleurs écho à la manière dont Vargas Llosa lui-même évoque l'exorbitant pouvoir de l'écrivain, capable de saccager le monde, de le décortiquer, voire de le détruire, pour lui opposer une image littéraire née de la parole et de l'imagination. Cette radicalité, que partagent les modèles de Vargas Llosa - Flaubert, Faulkner -, est à la source d'un univers imaginaire qui nous entraîne (Cortázar avait raison) avec la force irrésistible des grands mammifères. Il y a du démiurge chez l'auteur de Conversation à La Catedral. Et de l'architecte : ses livres sont des édifices minutieusement équilibrés, chacun a sa forme propre, ses audaces, son rythme, ses voix. Vargas Llosa gouverne en sous-main un monde polyphonique, violent, généreux, extraordinairement séduisant, auquel le public est fidèle depuis un demi-siècle. Voici, en deux volumes, huit romans publiés entre 1963 et 2006, choisis par l'auteur et proposés dans des traductions révisées. Ils sont accompagnés d'un appareil critique qui a bénéficié du dépôt par Mario Vargas Llosa de ses archives littéraires à l'université de Princeton, où sont désormais conservés les manuscrits de ses livres, les carnets dans lesquels il consigne ses projets, mais aussi de la correspondance, des notes personnelles, des coupures de presse, d'autres documents encore qui autorisent, pour la première fois, une plongée dans l'atelier de l'écrivain.

03/2016

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Oeuvres romanesques complètes. Tome 2

"L'Ouvre romanesque de Barbey d'Aurevilly paraît dans la Bibliothèque de la Pléiade. Consécration méritée d'un écrivain que ses contemporains ont méconnu et que la postérité n'a pas toujours mieux traité. Toute une légende l'entoure : critique brutal, romancier régionaliste, dandy extravagant et un peu ridicule... Masques et défenses, auxquels on s'est mépris. Quelques-uns seulement devinaient le tragique intérieur, tragique d'une solitude infrangible, qui est l'un des thèmes les plus constants de l'oeuvre, en même temps que sa justification profonde. Nul autre mode de publication ne pouvait mieux convenir à cette oeuvre restreinte dans ses dimensions, et que toute lecture partielle affaiblit ou défigure. Variés, les décors et les fictions ne cachent point au lecteur le retour des thèmes, la permanence d'une atmosphère, qui en font l'unité et l'intérêt. On connaît à ce propos la page célèbre de Proust. Sans doute est-ce celui-ci d'ailleurs qui a le mieux vu cette oeuvre romanesque, y découvrant certains de ses propres mouvements : le goût du secret, l'obsession du passé, l'anxiété... Thèmes tout proches de nous ! ce qui explique cette curiosité qui depuis quelques années revient à Barbey d'Aurevilly. Auprès des grands romanciers du XIX ? siècle, il fallait lui faire une place ; il est un de ceux, dit Proust encore, qui ont à nous révéler la "qualité inconnue d'un monde unique"". Jacques Petit.

09/2003

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Oeuvres romanesques complètes. Tome 2

Il y a une façon d'évoquer Jane Austen qui pourrait la faire passer pour ce qu'elle n'est pas : une donneuse de leçons. Fille d'un pasteur de province, elle se veut l'écrivain de la raison face aux débordements sentimentaux des auteurs de son temps (Samuel Richardson, Fanny Burney), et cherche à prémunir le lecteur contre les errements du cour glissant sur la pente de l'égoïsme. A ses portraits tout en nuances, elle ne donne pas pour fond les paysages tourmentés des romans gothiques d'une Ann Radcliffe, mais ceux, apparemment plus paisibles, d'une campagne anglaise dont elle révèle l'arrière-scène : ce monde où les jeunes filles doivent apprendre à diriger leurs sentiments pour atteindre au bonheur rêvé. Pourtant, ses romans ne sont pas des contes de fées déguisés où l'héroïne finit par épouser le parfait gentleman. Les changements psychologiques subtils et progressifs vécus par les protagonistes contribuent sans doute au plaisir de la lecture, mais ils passent après la joie que procure l'ironie dont Austen fait preuve à l'égard de ses créatures. Douée d'un génie comique certain, celle "qui écrit en cachette derrière une porte grinçante" est, pour Virginia Woolf, l'"un des auteurs les plus constamment satiriques" de son époque. En prenant pour cibles les comportements égoïstes et les petites lâchetés de ses semblables, elle pointe ce que la nature humaine peut avoir de mesquin, de pathétique, de loufoque et d'affligeant. Les héroïnes elles-mêmes n'échappent pas aux critiques de leur créatrice. Fanny Price est timorée, Anne Elliot influençable, et Emma Woodhouse, qui n'est ni l'une ni l'autre, n'inspirerait pas la sympathie, si Jane Austen n'avait l'art de rendre attachants jusqu'aux défauts qu'elle moque. Ce tour de force, une sensibilité rare et l'audace discrète de son style sont les secrets de son extraordinaire popularité.

10/2013

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Oeuvres romanesques complètes. Tome 2

Cela commence bien pour Vian, l'écrivain. Queneau aime Vercoquin et le plancton. Gallimard accepte ce premier roman puis un deuxième, L'Écume des jours. Sartre reçoit l'auteur aux Temps modernes, où paraîtront ses Chroniques du Menteur. J'irai cracher sur vos tombes fait scandale - un vrai scandale, du premier coup, celui que tant d'artistes attendent en vain toute leur vie. Et pourtant, cela ne prend pas. Les seuls romans de Vian qui connaissent le succès de son vivant sont ceux qu'il signe Sullivan. Les autres ne trouvent pas leur public. Le dernier, L'Arrache-cour, sept ans à peine après Vercoquin, est un ultime échec. Vian en conclut que sa destinée ne sera pas littéraire. Il renonce au roman. Sa célébrité est alors à son comble, pour d'autres raisons. « Oh ! je fais dans pas mal de choses, n'adjudant ; ingénieur, auteur, traducteur, musicien, journaliste, interprète, jazzologue, et maintenant directeur artistique d'une maison de disques. - Ouais. je vois » répond l'adjudant, « bon à tout, bon à rien ». Le personnage de Vian - trompinette, tourniquette et cor à gidouille - prend beaucoup de place, il est vrai, jusqu'à masquer en partie son ouvre. Résultat : au lendemain de sa mort prématurée, la plupart de ses livres « littéraires » sont introuvables. Le succès viendra plus tard, au rythme des rééditions posthumes, et il sera accompagné d'une certaine reconnaissance. Mais prend-on vraiment l'écrivain au sérieux ? L'imaginaire de Vian déconcertait ses contemporains. On a parfois l'impression, aujourd'hui, que son humour embarrasse les nôtres. C'est ainsi ; Vian trouvait le sérieux risible et voyait dans le rire une chose sérieuse. Dans son arbre généalogique littéraire figurent les noms de Rabelais, Swift, Carroll, Jarry, Queneau. Cette édition réunit les romans, les nouvelles et les scénarios de Boris Vian, ainsi qu'un choix de textes brefs qui, bien que non fictionnels (encore que certaines chroniques soient fort « romancées »), éclairent son univers imaginaire. Précisément, à quoi ressemble-t-il, cet univers ? À un monde parallèle au nôtre et communiquant avec lui, doté de son langage propre, irréductible aux catégories convenues (fantastique, science-fiction), aussi contrasté que le désert à rayures de L'Automne à Pékin, mais concerté, cohérent, à la fois poétique et réel : « l'histoire est entièrement vraie, puisque je l'ai imaginée d'un bout à l'autre. Sa réalisation matérielle proprement dite consiste essentiellement en une projection de la réalité en atmosphère biaise et chauffée, sur un plan de référence irrégulièrement ondulé et présentant de la distorsion ». Langage d'ingénieur, mais il cache une définition du récit poétique, au service de thèmes graves - la difficulté d'être, l'usure de toute chose, l'angoisse de la mort - qui chez Vian sont transfigurés par la magie du rêve.

10/2010

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