Nathalie Chapleau, Marie-Pier Godin

« Nathalie Kosciusko-Morizet lance la consultation publique sur les investissements d'avenir : usages, services et contenus numériques innovants. » Misère, c'est tout un programme que la secrétaire d'État à la prospective et au développement de l'économie numérique vient de nous mettre en ligne.

En effet, à compter de maintenant, l'enveloppe de 2,5 milliards € va pouvoir être jetée à tout un chacun, lequel chacun doit encore présenter ses observations avant le 7 juillet, date à laquelle la consultation prendra fin.

Pour conduire cette opération avec elle, René Ricol, commissaire général aux investissements, qui lance donc cet « appel à la mobilisation de tous les acteurs économiques. Leur contribution est essentielle pour que les investissements d’avenir dans le numérique correspondent à la réalité du marché, aux besoins des entreprises, et à la demande réelle des citoyens ».

Et tout le monde est invité à donner son avis, tant que celui-ci s'articule autour de l'un des 9 axes suivants :

En outre, la suite des évènements se fera en deux temps, est-il précisé. D'abord, rechercher les consensus des acteurs « sur les modalités d’intervention de l’État ». Le cas échéant, les appels à projet seront publiés « dans la foulée ».

Ensuite, on prendra gentiment tout l'été pour creuser un peu mieux les propositions avancées et synthétiser l'ensemble.

« Les investissements d’avenir ont pour objet de renforcer et de stimuler le potentiel de croissance de la France par une politique volontariste d’investissement de long terme concentrée sur quelques axes stratégiques », commente la secrétaire d'État.

On pourra consulter l'intégralité de de la consultation à cette adresse.

Cette seconde grande partie pour le numérique du Grand Emprunt s'articule particulièrement autour du web, des logiciels libres et des pure players du net « avec un fort tropisme PME », ajoute-t-elle. Dans tous les cas, l'intervention de l'État se fera à la hauteur de 75 % pour des prises de participations et prêts. De l'autre côté, 25 % restant seront des subventions et des avances qu'il faudra rembourser.

« Ces investissements dans la numérisation signifient que l'État entend que des actifs soient créés », conclut NKM.

Lara, une paisible retraitée à priori sans histoires, disparaît brusquement sans laisser de traces. Max, son fidèle homme à tout faire, et Samia, sa jeune nièce enceinte jusqu’au cou, décident d’en avertir la police. Hélas, ni la commissaire Véronique Paul, ni le lieutenant Gaëtan Monnet ne semblent vouloir leur accorder le moindre crédit.

Mais la lecture des journaux intimes de la disparue fait ressurgir chez la jeune commissaire des souvenirs douloureux qu’elle pensait pourtant bien enfouis et qui la perturbent presqu’autant que le charme bourru de cet étrange Max dont le passé est aussi porteur d’un lourd secret…

Quant à son fougueux lieutenant, sa rencontre avec la jeune Samia et sa bouleversante histoire de mariage forcé ne le laisse pas indifférent mais va à l’encontre de ce qu’il croyait être ses profondes convictions xénophobes…

La confrontation inattendue de ces quatre écorchés vifs leur permettra-t-elle de retrouver enfin la paix mais aussi et surtout de retrouver la mystérieuse Lara ?

« Des personnages attachants aux destins bouleversants, une écriture fluide et des dialogues réalistes, tous les ingrédients qui font de ce roman un de ces livres que vous ne lâcherez plus jusqu’à la dernière page ! »

Née en 1966, et après une vie professionnelle intense interrompue par une maladie invalidante chronique grave, Nathalie GABORIAU décide de se consacrer à sa passion qu’est l’écriture. De retour dans sa ville natale de Nantes, elle continue à faire bénéficier les entreprises de son expérience humaniste en s’attachant à mettre en avant empathie et bienveillance. Et c’est avec le même talent qu’elle aime à dépeindre la psychologie de ses personnages forts et torturés qu’une rencontre inattendue poussera à une remise en question salvatrice. Après la publication de plusieurs nouvelles et recueil de poèmes dans  sa  jeunesse, puis de son premier roman en 2010, elle publie aujourd’hui « les épines du cœur », un récit qu’elle dédie à sa meilleure amie décédée tragiquement à l’âge de 40 ans et qui lui a inspirée le personnage principal.

La veille de Noël, la jeune regarde la vitrine d'un magasin de poupées avec envie. Elle est accompagnée de son jeune frère Manuel qui tout à coup va disparaitre. Guidé par ses appels à l'aide, l'enfant va se lancer dans une poursuite effrénée qui va l'emmener dans un monde étrange dont elle ne soupçonnait pas l'existence. Bonhomme de neige parlant, bonbons magiques, chats en armures, poupées animées, soldats de plomb et castors chantants vont rythmés ses péripéties magiques avec un seul mot d'ordre : ramener Manuel à la maison pour Noël.

Cyril Deydier a écrit un conte de Noël où la fantaisie et l'imagination prennent rapidement le pouvoir. En donnant vie à des créatures toutes plus étranges et magiques les unes que les autres, il ravit le lecteur et le plonge dans un monde de douceur et de joie.
Les caractères des personnages sont particulièrement bien décrits ainsi que leur aspect visuel. Ainsi, sans les voir, on réussit sans peine à les imaginer et à les observer se débattre dans des aventures parfois rocambolesques.

Marie-Betty, fidèle à la tradition des fables de fin d'année, amuse, divertit, surprend, touche et ménage un suspense bienvenu quant au dénouement des aventures des deux enfants.
L'humour est également au rendez-vous et l'on ne saurait lire ce roman sans tourner la dernière page un sourire aux lèvres et une furieuse envie de chocolat chaud, d'odeur d'aiguilles de sapin et de douceurs sucrées.

Leïla Pelfresne

Dédicaces - Samedi 29 novembre 2014 à 16h30 - A la librairie

Dodin-Bouffant, le plus fin des gourmets, doit trouver une nouvelle cuisinière. Cette quête, qui lui semble tout bonnement impossible, pourrait bien prendre la forme d’une délicieuse histoire d’amour.

Dodin-Bouffant est un passionné de cuisine. Fin gourmet, arbitre reconnu des saveurs, il voue à l’art culinaire un véritable culte qu’il pratique avec la complicité? de sa talentueuse cuisinière, Eugénie Chatagne. La disparition inopinée de cette dernière advient comme une catastrophe qui ébranle jusqu’au sens même de sa vie. La recherche d’une remplaçante l’entraîne dans une trépidante saga dont les péripéties dévoilent combien la cuisine est une oeuvre de choix qui veut beaucoup d’amour...

Les pertes pour ce second trimestre (qui s'est terminé au 31 juillet ) sont de 51,6 millions de dollars. Elles étaient, pour la même période, de 45,1 millions de dollars en 2009. La dette générale de l'entreprise a augmenté de 2,7%, alors que les ventes en magasin se sont écroulées, passant de 17,9% en 2009 à 6,8% cette année. Toute l'entreprise est envahie par la morosité...ou presque.
Un petit recoin, les ventes sur internet, résistent encore et toujours à la crise envahissante. Une augmentation de 56% par rapport à l'année dernière, ce qui n' empêche pourtant pas le bateau de couler. Mais entretien l'espoir de trouver un canot de sauvetage.

Il faut dire que Borders écope de toutes ses forces. Son lecteur numérique Alturatek a été soldé à 99$, ce qui en fait le moins cher du marché. Le Kobo s'est aussi retrouvé soldé à 129$. Et être dans la panade n'empêche pas les projets d'avenir. Borders s'apprête ainsi à lancer sur le marché deux tablettes, les Velocity Cruz tablets. Les deux fonctionneront sous Android 2.2, supporteront l'utilisation de la couleur et seront équipées du Wi-Fi. Enfin, Borders tente de fidéliser sa clientèle dans le domaine du numérique avec les Borders Rewards, des programmes de fidélité pour les acheteurs d'ebooks.

Borders tenterait-il le tout pour le tout sur le numérique? Ce ne serait pas les seuls. Mais non, la firme tente de se redresser dans tous les domaines. En effet, par un contrat avec Buid-A-Bear, la firme s'ouvre à tous les publics en créant des espaces enfants dans ses magasins.

Borders a donc de l'imagination, mais ceci sera-t-il suffisant? Le président du groupe, Mike Edwards, se dit tranquille quand à la manière dont Borders approche de a période des fêtes, et avoue que la disponibilité de stock «  n'a jamais été aussi bonne ». Quand il reste l'espoir...