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Maréchal de france ferdinand Foch, Martin Motte, Ferdinand Foch

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Dossier

Les livres de Louis-Ferdinand Céline : transgression et controverse

Louis-Ferdinand Céline, de son vrai nom Louis-Ferdinand Destouches, est l'un des écrivains français les plus influents et controversés du XXe siècle. Né le 27 mai 1894 à Courbevoie, en France, et décédé le 1er juillet 1961 à Meudon, son œuvre est à la fois célébrée pour son style novateur et critiquée pour ses positions politiques et ses pamphlets antisémites.

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Dossier

La Bibliothèque nationale de France (BnF)

La Bibliothèque nationale de France, abrégée en BnF, est un établissement patrimonial français des plus importants : c'est par exemple cette institution qui assume le dépôt légal des livres, et qui conserve un exemplaire de tous les ouvrages publiés en France. À l'origine bibliothèque du roi au moment de sa création, au XIVe siècle, elle est naturellement devenue la bibliothèque de l'ensemble du peuple français.

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Dossier

Ouvrir les bibliothèques de France : Erik Orsenna au rapport

Mandaté par Françoise Nyssen, ministre de la Culture, faisant suite aux promesses de campagne d’Emmanuel Macron, Érik Orsenna est devenu rapporteur. Aux côtés de Noël Corbin, il s’est embarqué dans un tour de France des bibliothèques, pour évaluer la situation, et proposer des solutions pour valoriser les lieux.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Franck Bouysse

Né en 1965 à Brive-la-Gaillarde, Franck Bouysse publie son premier roman en 2008, L’Entomologiste, aux éditions Lucien Souny. Entre 2008 et 2012, il signe une trilogie, la Trilogie H., aux éditions Les Ardents Éditeurs, avec des illustrations de Pierre Demarty.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Franck Thilliez

Franck Thilliez est l'un des auteurs français de thrillers les plus connus et appréciés du public. Depuis plus de 15 ans, il enchaîne les succès critiques et commerciaux, avec des romans aussi captivants qu'angoissants. Son style narratif unique, mélange de suspense, de psychologie et de surnaturel, a conquis des milliers de lecteurs à travers le monde.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres d'Agnès Martin-Lugand

Agnès Martin-Lugand s’est imposée sur la scène littéraire française par sa plume délicate et la finesse psychologique de ses récits. Elle a construit en neuf romans unanimement salués par le public et la critique une œuvre singulière qui n’a pas son pareil pour questionner l’existence et l’âme humaine.

Extraits

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Histoire militaire

De la guerre

Peu de stratèges apparaissent aussi clivants que Foch : Liddell Hart, Marc Bloch et Raymond Aron ont vu en lui un dangereux illuminé dont les idées néo-napoléoniennes ont eu d'effroyables conséquences en 1914-1918 ; à l'inverse, les armées françaises le considèrent toujours comme une référence centrale. Seul un retour aux textes incriminés permet de trancher le débat. Encore fallait-il rendre ces derniers accessibles au lectorat d'aujourd'hui : c'est ce que fait le présent volume, qui regroupe les deux principaux livres de Foch - Des principes de la guerre (1903) et De la conduite de la guerre (1904) - dans une édition allégée de certains développements trop techniques, accompagnée d'un appareil critique éclairant et illustrée de nombreuses cartes. En lisant ces pages, on verra combien la pensée de Foch dépasse le contexte de sa rédaction. Nourrie par une vaste culture générale, elle s'attache en effet à dégager les principes pérennes de la stratégie. Le vainqueur de 1918 demeure en outre un professeur d'énergie à nul autre pareil, dont se sont notamment inspirés de Gaulle, Churchill, Eisenhower et Patton. Au moment où la guerre d'Ukraine marque le retour aux combats de haute intensité, sa redécouverte s'impose.

08/2023

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Histoire de France

Le secret du maréchal Foch

Violette d'Orléans choisit d'évoquer ici la Grande Guerre, en s'attachant à dépeindre le parcours atypique d'un haut gradé catholique au cur d'une IIIème République anticléricale. A la lumière de ce qui s'est passé de la première à la deuxième bataille de la Marne, tout s'explique mieux grâce à la position de ce militaire, touché par la grâce et qui n'a pas eu peur de consacrer ses armées au Sacré-Cur de Jésus afin d'obtenir la victoire totale. Par contre, comment le Président Raymond Poincaré a-t-il pu laisser partir tant d'hommes, envoyés à la boucherie des plus meurtrières par pur choix idéologique ? Au regard de faits restés trop longtemps dissimulés à dessein politique, la romancière tente de décrypter les rouages d'un système acharné à détacher la France de sa racine chrétienne.

11/2017

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Sciences historiques

En écoutant le Maréchal Foch

Charles Bugnet, officier d'ordonnance de Foch (1851-1929) après l'armistice, offre dans ce livre, inédit depuis sa première publication chez Grasset en 1929, un portrait capital du généralissime des armées alliées pendant la Grande Guerre. Non pas une statue cavalière, mais un portrait vivant. On y trouve tous les éléments biographiques indispensables de la carrière du maréchal dits par lui. L'authenticité se joint à la verdeur. Foch apparaît, plein de vigueur et d'esprit. On le suit sur le champ de bataille de la Marne ("A la Marne ? Oui, ça allait fort, nous n'avons pas trop mal tenu"). On s'amuse avec lui de son absence de vanité ("J'ai plus de vingt grands cordons. Me voyez-vous avec cela ?"). On se répète ses maximes ("On ne réussit que par ce qu'on vaut"). Surtout, on admire "ce pouvoir de produire", intellectuel et pratique, qui frappe à chaque page par sa netteté et son courage. Comme l'écrit dans sa préface inédite celui qui a été l'un des plus grands ministres de la Défense de la Ve République, Jean-Yves Le Drian, aujourd'hui ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, "écouter Foch tel que Bugnet nous le donne à lire, c'est découvrir une admiration sincère, une affection presque filiale que l'officier d'ordonnance éprouve pour le maréchal de France. Ce qu'il admire le plus peut-être, ce qu'il nous révèle à coup sûr, c'est la concentration de toutes les facultés, morales autant qu'intellectuelles, chez cet homme qui assuma les responsabilités historiques les plus écrasantes. Car y a-t-il décisions plus graves que celles dont les conséquences, la victoire ou la défaite, engagent le salut même de la patrie ?".

10/2017

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Histoire de France

Foch

Il y a cent ans, les bugles sonnaient le cessez-le-feu et la fin de la Grande Guerre. Les Alliés étaient vainqueurs et un homme, en France, incarnait la victoire : le maréchal Foch (1851-1929). Puisant comme toujours aux meilleures sources, l'auteur a entrepris de reprendre l'une après l'autre les étapes de la carrière du maréchal en tentant de démêler le mythe de la réalité. Ce long et passionnant travail de tri lui a permis de dégager un portrait balancé, loin des poncifs et de l'hagiographie. Les enseignements de Foch à l'Ecole de guerre — qui apparaissent avoir programmé la défaite de 1914 plus que prévu la victoire de 1918 —, sa conduite de la bataille, son limogeage et son retour en grâce, sa nomination au commandement suprême en 1918 sont ici examinés, de même que la vie de celui que le général de Gaulle qualifiait de "chef immortel", un chef hautain, borné, confus autant que fédérateur, clairvoyant et inspirant, qui à lui seul a porté quatre ans durant l'espoir inextinguible de la victoire. Jean-Christophe Notin se penche également, de manière inédite et approfondie, sur l'influence qu'il a exercée pendant mais aussi après la conférence de la Paix où son obstination menaça de couper la France du reste de ses alliés. Unanimement saluée par la critique et plébiscitée par le public, cette biographie d'exception, qui a reçu le prix Louis-Marin, a été revue et augmentée d'une introduction inédite.

10/2018

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Histoire de France

Mémoires. Tome 1, La Bataille de la Marne

"L'Allemagne de 1914, lancée dans la Weltpolitik, n'eût jamais déclaré la guerre si elle avait posément compris son intérêt. Elle pouvait, sans faire appel aux armes, poursuivre dans le monde son développement économique. Qui eût osé se mettre en travers ? Formidable déjà, et soutenu d'ailleurs par une active propagande comme aussi par une puissance militaire reconnue sur terre et sur mer, qui garantissait à ses voyageurs de commerce comme à ses ingénieurs en quête de concessions à l'étranger un accueil des plus avantageux et par là une capacité de pénétration et d'acquisition incomparable, le développement allemand dans une marche constante distançait grandement celui des autres nations. Sans faire de guerre nouvelle, l'Allemagne conquérait progressivement le monde. Mais le gouvernement de Berlin, grisé par sa puissance et emporté par un parti pangermaniste aveugle, pleinement confiant d'ailleurs en son armée supérieure à toute autre, ne craignait pas de recourir aux armes et d'ouvrir une ère de lourdes hécatombes et de redoutables aventures pour hâter cette domination du monde qui lui était réservée, à son sens."

02/2012

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Histoire de France

Mémoires. Tome 2, La Bataille des Flandres, Les armées du Nord Octobre 1914-novembre 1916

Après les événements, on a baptisé cette seconde partie de la guerre qui a suivi la bataille de la Marne : la Course à la mer. Le mot était d'un joli effet, il donnerait à lui seul une idée fausse de la manoeuvre qui était entreprise, il ne répond en rien à la pensée qui dirigeait les opérations militaires. C'est à l'ennemi que nous avons couru ; nous avons tenté de le déborder et d'envelopper son aile droite, ou, quand il prenait de l'avance, nous avons paré à son développement, car lui aussi cherchait par plus de vitesse à réussir une manoeuvre analogue de débordement. De là résultait une course à l'aile, à l'aile nord des armées opposées. Il nous fallait en même temps l'arrêter et l'immobiliser sur le reste du front qui s'allongeait de plus en plus. C'est cette manoeuvre symétrique qui a fait rapidement remonter cette aile, à une allure des plus accélérées, à travers l'Île-de-France, la Picardie, l'Artois, la Flandre, jusqu'à la mer du Nord. Le mer en fut ainsi le terme sans jamais en avoir été le but.

07/2012

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