Les nouveaux cobayes. Comment les entreprises génèrent précarité et mal-être au travail

Avec la révolution numérique en cours, les besoins des entreprises évoluent de plus en plus rapidement. Il devient difficile de savoir ce qui fera la différence dans un CV au cours des prochaines années. Si certains prédisent la fin de nombreux corps de métier à l’appui d’une robotisation galopante, d’autres font des hypothèses sur les attentes et les besoins de la société de demain.

Radio France vient de présenter les résultats d'une grande enquête menée au niveau national, et principalement basée sur ses auditeurs, avec pour thématique « Quel travail voulons-nous ? » Durant toute cette journée du 23 janvier, les radios consacraient ainsi un espace particulier au traitement des informations en découlant. 

Au Conseil de Prud'hommes de Paris, il y a « Jean-Michel Jarre vs Anne Parillaud » et l'homonymie paraît  peu probable, mais la voix patronale nous a conseillé - à juste titre - un litige entre les éditions Berger-Levrault, spécialisées dans le droit et le matériel informatique, et un de leurs lecteurs-correcteurs, qui s'estime lésé quant à ses droits de travailleur et de futur retraité, soutenu par le Syndicat des correcteurs.

Avec le numérique se produit une accélération des bouleversements du fonctionnement même du marché du travail. Si cette dynamique est déjà ancienne, elle va continuer de gagner en importance durant les années à venir, à tel point que de nombreux secteurs professionnels risquent de devenir obsolètes.

Business games : comment les entreprises racolent l'étudiant

Le Prix du Roman d'Entreprise et du Travail revient pour sa 11ème édition, et sacrera le 7 septembre 2020 au Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE), l'auteur contemporain portant un véritable regard et adoptant un réel parti pris sur le monde professionnel, d'aujourd'hui ou de demain. Qui, parmi les trois finalistes sélectionnés lors d'une première vague de lecture début 2020, sera le lauréat ?

Rencontres / Débats - Vendredi 8 février 2013 à 20h00 - A la librairie

Que les enfants servent d'otages innocents à des vendeurs de produits plus ou moins bienveillants, voilà qui n'est pas vraiment original. Mais on peut tout de même se gratter la tempe de perplexité en découvrant les moyens et l'ingéniosité déployés par des sociétés pour intégrer à leur univers les dernières innovations technologies - tablettes et autres écrans en ligne de mire...

Le retour du confinement remet en perspective les difficultés que connaissent les auteurs. La Société des Gens de Lettres présente ce 2 novembre un ensemble de 10 mesures « vitales pour les auteurs ». Des approches destinées à préserver « les auteurs de l’écrit d’une précarité et d’une paupérisation insoutenables ».

En France et dans d'autres pays, les librairies ont pu conserver leurs portes ouvertes, même pendant les récents confinements. Et observer une hausse des ventes ponctuelles, évidemment bienvenue. Pour autant, les conséquences de la pandémie, à court ou long terme, ne sont pas réjouissantes.

Comme chaque semaine, en partenariat avec France 3, ActuaLitté répond présent au rendez-vous de l'émission Un livre 2.0, la webemmission lancée par Un livre, un jour, le magazine animé par Olivier Barrot.

En janvier 2018, à l’occasion de la 9e édition du Prix du Roman d’Entreprise et du Travail, trois livres ont été sélectionnés pour accéder à la finale. Le prix sera décerné le 29 mars 2018 par un jury de 17 personnalités issues du monde de l’entreprise, des sciences humaines et de la littérature.

Le Prix du Roman d'Entreprise et du Travail revient pour la 11e édition, et sacrera le 30 mars 2020 au Conseil Économique, Social et Environnemental, l'auteur contemporain portant un véritable regard et adoptant un réel parti pris sur le monde professionnel, d'aujourd'hui ou de demain. Trois romans sont finalistes pour la récompense... 

Pour sa 10e édition, le Prix du Roman d'Entreprise et du Travail sera décerné, le 14 mars 2019, à l'auteur contemporain portant un véritable regard et parti-pris sur le monde professionnel d'aujourd'hui et de demain. Les trois finalistes de ce prix ont été sélectionnés lors d'une première vague de lecture en janvier 2019. 

Opération Phénix : rencontre entre des entreprises et des étudiants en lettres

Le Syndicat des écrivains de langue française a adressé cette semaine une lettre à destination de l'eurodéputée Julia Reda, membre du parti Pirate et à qui la Commission européenne a confié la rédaction d'un rapport sur le droit d'auteur, actuellement. Ses conclusions ont largement dépassé les tribunes politiciennes, et les organisations d'auteurs, éditeurs, ayants droit et titulaires, quasi unanimement, ont dénoncé une tentative de mise à mort de la création, par l'abrogation du droit d'auteur.

Le Prix du roman d’entreprise et du travail 2019 a été remis à Sarah Barukh le jeudi 4 avril au ministère du Travail par la ministre, Muriel Pénicaud, pour saluer son livre Le cas zéro, publié par les éditions Albin Michel. Trois romans avaient été sélectionnés par le jury du prix, pour la dernière ligne droite.

Afin d'améliorer les échanges entre le monde de l'entreprise et l'école, Vincent Peillon vient de lancer un Conseil national éducation économie (CNEE), rapporte Vousnousils. Cette instance devra œuvrer à la mise en place d'un véritable dialogue entre deux mondes qui se côtoient encore bien trop peu aujourd'hui. Et pourtant, les points de convergence sont nombreux.

Aux Etats-Unis, les universités et les entreprises se retrouvent intrinsèquement liés, les premières apportent compétences et recherches quand les secondes financent de nombreux programmes.

Cette édition 2018 du Festival international de la bande dessinée d'Angoulême n'était pas exempte d'une contestation portée par auteurs et autrices. Tous ont encore une fois alerté sur leur précarité et les conditions difficiles d'exercice de leur métier. Christelle Pécout, autrice et vice-présidente du Syndicat des auteurs de bande dessinée, évoque avec nous l'actualité sociale des auteurs, de la rémunération des dédicaces à la représentation des femmes au Festival d'Angoulême.

Mort de Salinger, le romancier du mal-être des adolescents

ALBUM JEUNESSE – Ah, les joies de la vie en entreprise, quand vous ne vous sentez pas beaucoup plus qu’un rouage dans l’immense machinerie… Pas glorieux ni enviable. Moins encore, quand vous êtes méprisé, au prétexte que vous n’êtes pas humain. Cela donne-t-il le droit à une hiérarchie de vous écraser ? Certainement pas. Problème : elle ne va pas se gêner…

Directeur de sa maison d’édition eponyme, Bruno Doucey se définit volontiers comme un «poète éditeur de poètes». Il participera le 3 février prochain à l’ouverture du Forum des métiers du livre à la Maison des Métallos, par sa présence au débat «Faire des livres ? A quoi bon!».

Au Pakistan, des écrivains contre Al-Qaida et les Talibans

Que ce soit au sujet des livres en format imprimé comme des ebooks, l'industrie de l'édition est toujours en quête de la manière idéale de faire découvrir ses nouveaux titres par le grand public. Et c'est pour répondre à cette question que NextMarket Insights, cabinet d'étude de marché axé sur les technologies de consommation émergentes et les modèles d'affaires, a publié les résultats d'une nouvelle étude sur les moyens de découvertes des nouveaux livres par les lecteurs.

Les bienfaits en tous genres de la lecture sont connus depuis quelque temps : relaxation, ouverture d'esprit ou encore entretien de la mémoire sont quelques-unes des actions bénéfiques que les livres peuvent exercer sur le corps. Une chercheuse de l'université d'Oxford s'est intéressée aux effets de la lecture sur les désordres psychiques, notamment les troubles des conduites alimentaires. Les résultats sont surprenants.

IFAG offre un diplôme aux étudiants en mal d'entreprise

Quand on demande aux auteurs de dire et dessiner le sentiment de leur quotidien, le mal-être social apparaît plus fort que jamais. Depuis le lancement de la campagne Extinction culturelle, initiée par de nombreuses organisations professionnelles d’auteurs, les auteurs expriment leur quotidien, leurs angoisses, mais aussi un certain désespoir. 

Pour la semaine de l'Industrie (7-13 avril), la ministre de la Culture et de la Communication Aurélie Filippetti a annoncé la mise en place de