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Les directeurs de la villa Médicis au XIXe siècle. Correspondance des deux directorats d'Eugène Guillaume (1891-1904)

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Dossier

Le théâtre du XVIIe au XXIe siècle - Programme de français 1ère

Pour la classe de Première en voie générale, le curriculum de français présente quatre domaines d'exploration. Pour l'année académique 2023-2024, le sujet "Le théâtre du XVIIe siècle au XXIe siècle" a été renouvelé.

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Dossier

Le Prix Eugène Dabit du roman populiste

Récompense créée en 1931 par Antonine Coullet-Tessier, le Prix Eugène Dabit du roman populiste s'est donné pour mission de saluer une œuvre romanesque qui « préfère les gens du peuple comme personnages et les milieux populaires comme décors à condition qu'il s'en dégage une authentique humanité ».

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Guillaume Musso

Guillaume Musso est l’auteur français le plus lu en France, et ce depuis 10 ans (source : GFK). Né en 1974 à Antibes, il a commencé à écrire pendant ses études et n’a plus jamais cessé.

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Dossier

Le prix des Deux Magots : 90 années à “défricher le talent”

Le prix des Deux Magots est une récompense littéraire française prestigieuse. Il est décerné chaque année depuis 1933 au Café des Deux Magots, situé dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés à Paris. Ce prix a été créé dans le but de reconnaître et de célébrer le travail des auteurs contemporains.

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Dossier

Prix du livre de la Ville de Lausanne 2024 : 10 ans déjà

Depuis son inauguration en 2014 par le Service des bibliothèques & archives de Lausanne, responsable de la stratégie littéraire, le Prix du livre de la Ville de Lausanne s'est consacré pendant une décennie à soutenir les auteurs de Suisse romande et leurs fidèles lecteurs. Une odyssée littéraire qui promet de perdurer !

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Dossier

Prix des lecteurs de la ville de Lausanne 2022 : une récompense mondiale

Du 15 janvier au 15 mars 2022, les cinq romans en lice pour le Prix des lecteurs de la Ville de Lausanne 2022 vous sont offerts en lecture libre. Découvrez, lisez, votez !
 

Extraits

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Beaux arts

Les directeurs de la villa Médicis au XIXe siècle. Correspondance des deux directorats d'Eugène Guillaume (1891-1904)

L'arrivée en 1891 d'Eugène Guillaume (1822-1905) au poste de directeur, après l'égoïste Hébert, apparut comme une sorte de soulagement. Il avait été directeur de l'Ecole des beaux-arts de 1862 à 1874 et avait donc eu sous sa houlette presque tous les pensionnaires. On le savait probe, austère et tant l'Académie des beaux-arts à laquelle il appartenait que le ministère espéraient avoir enfin un directeur à la hauteur de sa tâche. Le grand défaut de Guillaume était un goût forcené pour les distinctions et il travailla sans relâche, lorsqu'il fut à Rome, à obtenir un fauteuil à l'Académie française, qu'il obtint en 1898. Son attention pour la villa Médicis fut assez médiocre lors de son premier mandat. Ensuite, ayant obtenu ce qu'il désirait, il tenta vainement de redresser la situation financière catastrophique dans laquelle se trouvait son établissement. Il n'y parvint pas et sombra dans la sénilité en épousant, à l'insu de sa famille richissime, une jeune gourgandine qu'on s'arrangea pour déposséder.

01/2019

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Beaux arts

Les directeurs de la villa Médicis au XIXe siècle. Correspondance de Jules-Eugène Lenepveu (1873-1878)

Jules-Eugène Lenepveu (1819-1898), prix de Rome de 1842, s'était illustré par de grandes compositions allégoriques et par la peinture du plafond de l'Opéra. Il fut nommé en 1873 pour remplacer Ernest Hébert, trop compromis dans le régime du Second Empire. Son directorat fut surtout marqué par le début des dilapidations du secrétaire de la villa Médicis et son incapacité à enrayer cette machine infernale qui greva les directorats postérieurs.

01/2019

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Beaux arts

Les directeurs de la villa Médicis au XIXe siècle. Correspondance de Carolus-Duran (1905-1913)

L'ultime directorat du XIXe siècle, assumé par Carolus-Duran (1837-1917), ne se démarqua des précédents que par un miraculeux redressement des finances de son établissement, sans qu'il y fût pour grand-chose. Comme Hébert, il s'était fait une solide réputation de peintre mondain, mais n'avait pas été couronné par un prix de Rome ; il n'entra à l'Académie des beaux-arts qu'un an avant sa nomination, en 1905, comme directeur de la villa Médicis où il resta jusqu'en 1913. Le personnage, ami de Manet et qui forma dans son atelier un certain nombre d'artistes anglo-saxons, dont Sargent, était très ouvert à la peinture moderne. C'est aussi lui qui obtint qu'enfin les femmes fussent admises au concours de Rome et en reçut deux. Malheureusement, son âge, la santé de sa femme qui le maintint presque constamment hors de Rome et le lent redressement des finances de la Villa lui interdirent de suivre des pensionnaires, d'ailleurs peu brillants.

01/2019

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Correspondance

Correspondance (1891-1944). Des salons et des lettres

Surnommé "le confesseur des duchesses" et "l'aumônier des lettres" , l'abbé Mugnier vaut mieux que la réputation mondaine qu'il a laissée. Sa correspondance avec ses amis "des salons et des lettres" , Aurore Sand, Elisabeth Greffulhe, Jeanne et Simone Arman de Caillavet, Anna de Noailles, Robert de Montesquiou, Jean Cocteau, Marcel Proust, Paul Valéry ou encore Louise de Vilmorin, donne à voir une personnalité plus complexe. Connu pour avoir ramené Huysmans à la foi, l'abbé se montre sévère sur l'Eglise, qui lui semble manquer de tolérance et de charité. Il est réclamé par le Tout-Paris pour bénir les unions, trouver un bon époux, résoudre un problème conjugal... Car l'abbé aime le monde, et ne s'en cache pas. Mais c'est aussi sa passion pour la littérature qui se dévoile dans sa correspondance, en particulier pour Chateaubriand et George Sand. Il encourage ses amis à écrire, jamais avare de compliments, parfois jusqu'à la flagornerie. Il sait repérer les talents, encourager la jeune génération, sans toujours la comprendre, se montrer curieux et ouvert d'esprit, parfois un peu trop... Observateur de son époque, c'est aussi un homme de son temps ; sa correspondance ressuscite tout un monde, celui des salons de la Belle Epoque et de l'entre-deux-guerres.

04/2023

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Pléiades

Théâtre. Tome 1

Le tome I contient : Introduction – Chronologie – Note sur la présente édition L’endormie – Fragment d’un drame – Tête d’or (première version 1889/1890) – La Ville (première version 1892) – La Jeune fille Violaine (première version 1892) – Tête d’or (deuxième version 1894) – Agamemnon d’Eschyle – L’Échange (première version 1893-94) – Le Repos du septième jour – La Ville (deuxième version 1898) – La Jeune fille Violaine (deuxième version 1899-1900) – Partage de midi (première version 1905) – L’Otage – L’Annonce faire à Marie – Protée – Les Choéphores d’Eschyle Autour du théâtre de Paul Claudel, textes et documents Notices, notes et variantes

05/2011

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Histoire de France

Eugène Courmeaux (1817-1902). Un républicain démocrate au XIXe siècle

Hervé Paul, né à Reims en 1952, effectue la plus grande partie de sa carrière professionnelle dans l’industrie pharmaceutique. Il a exercé deux mandats de conseiller municipal dans une commune de l’agglomération rémoise. Passionné d’Histoire et de sa ville de Reims, il est l’auteur d’une première biographie, Le comte de Chevigné (1793-1876). Auteur des Contes Rémois, paru en 2008 chez le même éditeur. Figure du paysage républicain rémois, Eugène Courmaux parcourt le XIXe siècle et ses soubresauts en combattant de la Liberté. A ce titre, il mérite de sortir de l’oubli. Né à Reims en 1817, amoureux des livres et des Belles Lettres, il est nommé à 26 ans adjoint, puis 3 ans plus tard, Conservateur en titre de la Bibliothèque municipale de Reims. Républicain, il s’engage dans la révolution de 1848. Il combat la dérive monarchique de la jeune république présidée par Louis Napoléon Bonaparte. Journaliste engagé d’opposition, il est révoqué de sa fonction de bibliothécaire, poursuivi, emprisonné et acquitté. De nouveau, poursuivi, il est condamné et s’enfuit en Belgique en 1851 pour éviter la prison. Il retrouve de nombreux républicains en exil, dont Victor Hugo. Représentant d’une marque de champagne à l’étranger pour gagner sa vie sous l’Empire, il parcourt l’Europe. Ses péripéties l’amènent à être le témoin de la guerre de Crimée en 1855. A la chute du Second Empire, ce défenseur de la république écrit de nombreux articles dans les journaux. Il est élu conseiller municipal, conseiller général puis député en 1881. Opposé aux opportunistes, il fait partie d’un petit groupe de gauche dont le leader est georges Clémenceau. Battu en 1885, il se consacre à l’écriture et au journalisme politique. Il décède en 1902, âgé de 85 ans.

03/2013

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