Les éléments structurants du théâtre nô chez Akira Kurosawa. L'exemple de Tsubaki Sanjuro

Une grande rétrospective Akira Kurosawa est lancée depuis le 25 janvier 2017 : l'occasion de redécouvrir ses films, mais aussi ses inspirations et ses obsessions. En 1962, le réalisateur japonais adapte pour la première fois un roman de Shūgorō Yamamoto, Jours de Paix.

La rétrospective consacrée à Akira Kurosawa ressort Le Château de l’araignée, une autre adaptation de William Shakespeare, à travers sa pièce Macbeth. Kurosawa s’était déjà inspiré du Hamlet de Shakespeare, avec Les Salauds dorment en paix. 

Shūgorō Yamamoto est l'un des pseudonymes les plus célèbres de Satomu Shimizu, romancier japonais. Auteur de livres pour enfants et de romans policiers, il préfère de loin les œuvres historiques qu'il présente sous la forme de romans populaires. En 1965, avec Barberousse, Akira Kurosawa adapte son roman Akahige shinryotan.

Le théâtre du Marais nous avait invités à la grande Première d’un petit spectacle donné par François Jenny　: «　ça, par exemple　!　»　

Rashōmon, film culte d'Akira Kurosawa sorti en 1950, est de retour au cinéma à l'occasion d'une restauration 4K inédite. L'occasion de redécouvrir ce chef-d’œuvre inspiré de deux contes d'Akutagawa Ryunosuke, Dans le fourré et Rashōmon.

Cette semaine ressort en salles une flopée de classiques du japonais Akira Kurosawa, maître réalisateur des Sept Samouraïs. Mais ce n'est pas tout : Entre le ciel et l'enfer permet ainsi de découvrir un Kurosawa qui s'essaie au thriller avec un certain succès, en adaptant le roman Rançon sur un thème mineur d'Ed McBain, signé sous le nom d'Evan Hunter.

Akira Kurosawa est surtout connu pour ses films historiques, Les Sept Samouraïs en tête, mais le réalisateur japonais s'est aussi illustré dans une veine plus réaliste. Chien enragé décrit ainsi les bas-fonds de Tokyo à l'occasion d'une enquête inspirée par le maître Georges Simenon lui-même...

Comme c'est le cas pour Entre le ciel et l'enfer, Les Salauds dorment en paix d’Akira Kurosawa ressort en salles dans le cadre d'une rétrospective. Un de ses films noirs les plus engagés contre la corruption qui minait le milieu des affaires dans le Japon de la fin des années 50. C'est l'occasion de revoir plusieurs oeuvres du réalisateur des Sept Samouraïs et de le voir revisiter le genre du thriller à sa façon. 

Les épisodes des Simpson sont toujours précédés de cette petite séquence d’introduction, devenue avec le temps un véritable spectacle en soi. Des hommages multiples y sont rendus. Mais cette fois, Bartkira relève du mash-up parodique, inspiré par une idée de Ryan Humphrey, et qui croise le monde de Katsuhiro Ōtomo. Bienvenue à Neo-Springfield. 

La semaine dernière, dans un entretien publié dans Les Échos, la ministre Marylise Lebranchu, de la Décentralisation et la Fonction publique, a lâché une phrase qui a fait bondir les professionnels de l'information et de la documentation. « Les médiathèques sont-elles un équipement toujours d’actualité au XXIe siècle ? », a-t-elle interrogé alors qu'elle évoquait les dotations accordées aux collectivités. Les intéressés lui ont répondu dans un communiqué.

En 1952, avec Vivre, Akira Kurosawa réalise un film en partie inspiré du roman La mort d'Ivan Ilitch de Léon Tolstoï. Le film est de retour dans les salles en version restaurée le 25 janvier 2017, avec au casting Takashi Shimura, Shin'ichi Himori et Haruo Tanaka.

Entre 1982 et 1990, Katsuhiro Otomo tient en haleine les lecteurs de la revue Young Magazine (Kodansha) avec sa série Akira. En 1988, le créateur lui-même décide de se tourner vers le cinéma en réalisant lui-même l'adaptation en anime de son oeuvre.

Exemple d'ebooks ePub chez Google : un texte saccagé

Sur un chemin de montagne escarpé, une longue file de casques jaunes avance entre les arbres, au milieu d'une magnifique forêt.

Les élèves de Terminale scientifique n’auront plus d’excuse. Le tableau périodique des éléments, aka Tableau de Mendeleïev, va désormais rimer avec poésie. Ce grand classement, depuis 1869, rassemble les éléments chimiques – métaux ou non, gaz, halogènes, et autres lanthanides et transuraniens. 

Mis en scène par Ruddy Sylaire, Une saison chez Césaire est un hommage à ce grand écrivain martiniquais mais aussi et avant tout un appel à la liberté, au nom des droits de l’homme. Ainsi, les articles de la déclaration universelle sont lus en parallèle avec des extraits de l’œuvre de Césaire (Discours sur le colonialisme, Les chiens se taisaient, La tragédie du roi Christophe et Une saison au Congo) dans cette pièce musicale et sonore, où les mots frappent aussi fort que les mains sur la peau du tamtam.

La maison d'édition Kurokawa a improvisé sur le Salon du livre, une opération de soutien aux victimes des catastrophes qui se sont abattues sur le Japon.

Le plan de soutien à la librairie indépendante a été lancé ce mercredi 8 janvier, officiellement, et ce sont 11 millions € au total qui ont été confiés à l'ADELC et à l'IFCIC, chargés de les attribuer aux établissements intéressés. Mais, lors des Rencontres nationales de la librairie, cet été à Bordeaux, le SNE avait également annoncé des contributions volontaires exceptionnelles, à hauteur de 7 millions €... 

La France constitue le deuxième plus gros marché du manga au monde, devant la Thaïlande et les États-Unis, et juste derrière le Japon. Le genre qui fonctionne le mieux en France est le Shonen, qui regroupe tous les mangas de bagarre classique, comme FullMetal Alchimist ou Naruto, au détriment du Shojo, les mangas adressés aux jeunes filles. Le genre émergeant reste le Seinen aux graphismes voulus plus “adultes”. Avec une soixantaine de titre à son catalogue, et quasiment autant d’auteurs, la maison d’édition Kurokawa se positionne comme le quatrième éditeur de mangas en France. Rencontre avec le directeur de collection, Grégoire Hellot. 

Le projet ressemble à un serpent de mer : tous ceux qui s'attaquent à Néo-Tokyo semblent dépérir, et même Hollywood, avec ses moyens tentaculaires, ne semblent pas arriver à débuter son propre film. Quelque part dans les méandres des studios, quelque chose coince dans le développement. Heureusement, les fans ne manquent pas, y compris les plus inconditionnels. Et c'est ici qu'intervient The Akira Project.

La rétrospective Kurosawa permet cette semaine de découvrir ou redécouvrir les classiques du cinéaste japonais : en adaptant Les Bas-fonds, Kurosawa s'attaque à un classique du théâtre, mis en scène pour la première fois par Constantin Stanislavski en 1902.

Kurokawa, qui signifie en japonais Fleuve Noir, appartient au groupe de maisons d’Univers poche. Spécialisé dans le manga, cet éditeur a récemment connu un délicat déboire, démontrant comme toujours la fragilité des outils sociaux — et le manque de maîtrise pour leurs utilisateurs sur ces solutions de communication.

D'un côté, on assiste à une baisse continuelle et régulière - et logique - du prix des lecteurs de livres numériques, quid du prix des ouvrages eux-mêmes, outre-Atlantique ? Une légère hausse peut-on constater. 

Pressions sur l'édition : l'exemple du livre de Laurent de Villiers

Dans le paisible village Pingouin, le docteur Slump, professeur et inventeur de génie, crée un robot dernier cri ayant l’apparence d’une petite lle. Il l’appelle Arale et décide de dissimuler ses origines... Avec un sacré caractère, une force herculéenne, beaucoup de bonne humeur et de la spontanéité, elle va chambouler toutes les habitudes des habitants de Pingouin en provoquant catastrophe sur catastrophe.

Des prix, pour tous, et presque tout. Les jurys des grandes récompenses d’automne ont décidé de reporter leurs annonces, pour soutenir la librairie. Derrière cette décision, une stratégie économique est à l’oeuvre. L’universitaire français, Olivier Bessard-Banquy, spécialiste des lettres et de l'édition contemporaine décrypte avec nous cette position.

Au printemps 2019, les nounours des gobelins avaient fait leur grand retour, sur les bonnes vieilles terrasses de café, dans le métro, ou encore dans les vitrines de certains commerces. Cette année aussi, et malgré le confinement, ces doudous grandeur nature ont décidé de sortir de leur tanière hivernale. L’occasion de rappeler à tous les bons gestes à adopter pendant cette période.

Le site Bloody Disgusting vient de lâcher une petite bombe. En effet, il semblerait selon deux de leurs sources que le film live d'Akira ne verra pas le jour. Pour l'instant, rien d'officiel. Ni la Warner, ni Appian Way (la société de production de Léonardo di Caprio) n'ont confirmé cette rumeur.

Le premier volet de ce diptyque (qui devait couvrir en deux films six volumes du manga) devait sortir sur les écrans cet été. Et il pouvait paraître étonnant de ne pas en entendre plus parler. Il semblerait que Ruairi Robinson ait décidé qu'Akira ne devait pas être son premier long métrage live (film avec de vrais acteurs par opposition à film d'animation). Il aurait quitté le projet.

Toujours est-il que la Warner avait quand même dû se battre pour conserver les droits d'adaptation de l'oeuvre de Katsuhiro Ōtomo en signant un chèque qui dit-on atteignait les sept chiffres. Avec un tel investissement, il y a fort à parier que la maison de production, ne va pas laisser tomber Akira. Cependant, il ne s'agit là que de spéculation.

Outre son rôle de producteur, Léonardo di Caprio devait tenir un rôle dans Akira. Et c'est peut-être le seul point positif, si effectivement ce projet de film ne voit pas le jour, on pourra se dire que l'on a évité une apparition du bellâtre blond dans ce beau classique qu'est Akira.

Du temps de la funestissime loi DADVSI, le fait de publier une méthode expliquant comment contourner un verrou numérique, apposé sur une oeuvre, quelle qu'elle soit, pouvait être passible de 300.000 € d'amende maximum. Et trois ans de prison. Tout de même.