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Le declin du monde

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Dossier

Lettres du Monde : promouvoir les littératures et les cultures du monde

A l'approche de son vingtième anniversaire, Lettres du Monde poursuit sa mission de rayonnement culturel en Nouvelle-Aquitaine en invitant des auteurs et autrices du monde entier à rencontrer des lecteurs, lectrices et futurs passionnés de littérature.

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Dossier

Terres de Paroles 2024 : “Dans le bain du monde”

« Rien de tel qu’un enfant pour vous mettre dans le bain du monde », écrivait Christian Bobin, dans son recueil Tout le monde est occupé (éd. Mercure de France, 1999). Pour cette nouvelle édition itinérante en Seine-Maritime, le festival Terres de Paroles renoue avec littérature, théâtre, cinéma ou encore musique. 

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Dossier

Politeïa, festival des idées, décline la liberté

Du 16 au 19 mars 2023, Thionville vibrera au rythme de la première édition du festival des idées Politéïa dont la thématique sera la Liberté.

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Dossier

Littératures de l'Imaginaire : questionner le monde de demain

Depuis le début de son aventure éditoriale en 2010, Scrineo a publié des romans imaginaires, portés par des auteurs et autrices exclusivement francophones – du steampunk à la dark fantasy, en passant par le fantastique et la SF. Les premiers titres ont permis de lancer une nouvelle génération comme Patrick McSpare et Olivier Peru, avec la série Les Hauts Conteurs (Lauréat du Prix des Incos 2012), Joslan F. Keller et Aurélie Laloum avec la série Via temporis et Marie Pavlenko et sa trilogie Le livre de Saskia

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Dossier

Pénurie de papier : crise et tensions dans le monde du livre

En 2020, toutes les industries s'arrêtaient, à mesure que la Covid s'installait dans le paysage mondial. La reprise progressive des activités économiques en 2020, élargie en 2021, a relancé la machine — non sans hoquets et autres dysfonctionnements. Pour l'édition a débuté une crise du papier, parfois désignée comme une pénurie...

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Dossier

Le Prix Nobel de littérature, récompense ultime du monde des lettres

Le Prix Nobel de littérature récompense chaque année un auteur ou une autrice, depuis 1901. Comme l'a écrit dans son testament le chimiste Alfred Nobel, si un lauréat est choisi, c'est qu'il « a fait la preuve d'un puissant idéal », c'est-à-dire que son œuvre a su rendre de grands services à l'humanité.

Extraits

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Littérature française

Le declin du monde

Indéniablement, le monde change à une vitesse fulgurante, de quoi nous interroger sur son avenir, disons plutôt le nôtre et comment pouvons-nous lui résister, sinon d'accepter ce côté fataliste selon une locution du philosophe Denis Diderot : " Nous croyons conduire notre destin, mais c'est toujours lui qui nous mène. " Nous vivons dans une époque où les bouleversements écologiques, économiques et sociaux sont de plus en plus fréquents et intenses. Comment faire face à ces défis qui dépassent notre capacité d'action et de compréhensions ? Comment rester optimiste et engagé dans un monde qui semble aller de travers, notamment en évoquant les guerres entourées d'un chaos inimaginable, aux retombées humaines désastreuses pour ces peuples. ? Ce sont les questions que je me pose en partageant mes réflexions et mes pistes, sinon mes espoirs pour vivre dans un monde en crise qui n'est malheureusement pas le mien.

12/2023

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Littérature française

A l'abri du déclin du monde

Un jour de feu, comme si la ville avait toujours été à nous. Un seul jour de feu, pour un reste de vie tiède. Longtemps après, on vit sans nous, chacun pour soi. Mais on se retrouve par hasard, une nuit entière, on retrouve nos forces, et un fantôme. Notre temps à nous. A l'abri du déclin du monde.

08/2012

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Littérature étrangère

Le déclin de la lune

Le déclin de la Lune "Tout est mémoire." Après avoir retracé le destin de trois générations d'une famille ouvrière américaine, Joseph Coulson achève son roman sur ce constat désabusé. Rien n'a jamais été facile pour les Tollman : quand le père, réparateur de radios, se retrouve à la rue, victime de la grande dépression des années 1930, ils sont contraints de quitter Cleveland et d'aller vivre sous une tente en pleine campagne. Stephen, le fils cadet, évoque cette période misérable mais bucolique avec un certain bonheur, malgré la cécité naissante de la mère, la cruauté des gamins de l'école et une nature plutôt hostile dont les arbres morts sont les inquiétants vigiles. Sans doute la vitalité et l'obstination de Phil, le frère aîné, font-elles à cette époque écran à la malchance. Quand Katherine, narratrice de la deuxième partie du livre, rencontre Phil, il est devenu un ténébreux jeune homme qui chavire le cœur de la belle pianiste avant de la quitter pour s'engager dans l'armée de l'air. Nous sommes en 1939. La fatalité familiale et les épreuves de la guerre finiront par avoir raison de Phil : en 1968, c'est un père alcoolique et violent que décrit son fils James, adolescent dans l'Amérique des hippies, des Black Panthers et de la guerre du ViêtNam. Un déclin qui trouve son aboutissement dans la dernière partie du livre, lors d'une saisissante crise d'autodestruction. Bien qu'il soit le seul à ne jamais y livrer son point de vue, Philip Tollman est au cœur de ce roman polyphonique à l'écriture remarquablement modulée. Son destin brisé est emblématique de celui de sa famille en même temps qu'il nous parle d'une certaine Amérique, celle des laissés pour compte.

10/2005

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Science-fiction

Déclin

La Terre est confrontée à une terrible menace. C'est dans ce monde que les Changeurs, créatures extraterrestres, sont venues en masse semer le chaos. Ces monstres ont une particularité bien à eux ; ils peuvent prendre l'apparence de n'importe qui. D'où leurs surnoms. Et l'histoire commence avec un jeune garçon nommé Anthony qui va tenter par tous les moyens de retrouver les siens et de survivre à la plus grande invasion que notre planète ait jamais connue. Mais toute la difficulté est là : comment savoir si derrière les êtres qui lui sont le plus chers, ne se cache pas en réalité un Changeur ?

04/2015

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Actualité politique internatio

Déclin

Si l'héritage des Lumières et de ses vertus - la raison, la logique, la science, les faits avérés - a fait son temps, comment et pourquoi cela s'est-il produit ? La mort de David Bowie en janvier 2016 a été le mauvais début d'une année qui n'a fait qu'empirer : la guerre en Syrie, le virus Zika, les attaques terroristes à Bruxelles et à Nice, le vote sur le Brexit et l'élection de Donald Trump. Les revues de fin d'année ont déclaré 2016 " la pire année de tous les temps ". Après quatre années encore plus troublantes, la question de notre apocalypse s'était transformée en un cliché éculé des médias sociaux. Mais lorsque la COVID-19 a frappé, le journaliste et professeur de politique publique Andrew Potter a commencé à se demander : et si " la fin de l'histoire " n'était pas un grand événement apocalyptique, mais plutôt une longue série de plus petits cataclysmes ? Dans Déclin, Andrew Potter examine les problèmes actuels et l'avenir probable de la civilisation occidentale (divulgâcheur : celui-ci n'est pas génial) : stagnation économique et ralentissement de l'innovation scientifique ; baisse des taux de natalité et dégradation de l'environnement ; effets dévastateurs de la nostalgie culturelle et ravages causés par les médias sociaux sur le discours public ; échecs patents des gouvernements occidentaux dans leurs réponses à la pandémie de COVID-19. Si l'héritage des Lumières et de ses vertus - la raison, la logique, la science, les faits - a fait son temps, comment et pourquoi cela s'est-il produit ? Et vers quoi nous dirigeons-nous ?

03/2023

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Littérature étrangère

La maison du déclin

Nous promenant de Notre-Dame de Paris au carnaval de Venise en passant par les lisières du Sahara, Strasbourg, la Provence, l'oeuvre de Hugo, la Rue des Crocodiles de Bruno Schulz ou le gigantesque ennui dans les sociétés communistes, l'auteur nous fait réfléchir sur la disparition du sacré dans l'architecture contemporaine sans que pour autant l'humain y trouve satisfaction. Philosophe et poète, Dražen Katunari? part de ce constat : le progrès n'est plus un arrachement à la tradition, il est notre tradition même. Il ne résulte plus d'une décision, il vit sa vie, automatique et autonome. Il n'est plus maîtrisé, il est compulsif. Il n'est plus prométhéen, il est irrépressible. Nous sommes soumis à la loi du changement comme nos ancêtres pouvaient l'être à la loi immuable. En tout domaine ou presque, l'obsolescence a eu raison de la permanence. Il n'y a donc pas de mérite particulier à faire bouger les choses, car elles se passent très bien de nous pour cela. Ca déménage avant même que nous songions à lever le petit doigt. Et si – de la pentapole du M'Zab à la maison de Wittgenstein – l'architecture occupe une place centrale dans ce livre somptueusement écrit, c'est parce qu'il importe désormais non d'accompagner le mouvement mais de faire un pas de côté et de réapprendre à habiter le monde. Alain Finkielkraut

05/2017

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