Le chiffre de l'alchimiste

Isaac Newton n’est pas uniquement ce sympathique personnage dont le dessinateur Gotlib vanta la capacité d’analyse, la fulgurance de l’esprit et le goût pour les pommes. Ce fut également un scientifique du XVIIe siècle, qui appréciait l’alchimie et la redécouverte d’un de ses anciens manuscrits vient amplement confirmer ce penchant. C’est que Newton partant à la recherche de la transmutation des métaux, ça vaut bien une compote. 

L’acharnement de Laurence Fishburne, après seize années de travail, n’aura finalement rien donné. Le roman de l’écrivain portugais Paulo Coelho, fut acheté par la Warner en 1994 – pour 250.000 $. Entre temps, Fishburne avait repris les droits, et le studio TWC a fini par entrer dans la danse. Mais le livre semblait ne jamais prendre vie sur grand écran… Jusqu’à ce que se profile Will Smith. Et soudainement, L’alchimiste va voir le jour.

Pour célébrer la présence récurrente de son livre L'Alchimiste dans le classement des meilleures ventes du New York Times, dans lequel il est apparu 303 fois à ce jour, soit l'équivalent de 7 années, l'écrivain Paulo Coelho a voulu marquer le coup. L'auteur, défenseur du partage de la culture, a donc offert gratuitement son roman aux lecteurs du journal brésilien Metro.​

Pendant que le Festival de Cannes voyait défiler strass et pailettes, des projets cinématographiques se concrétisaient. Parmi eux, la star hollywoodienne, Will Smith, adoré pour ses différents rôles et pour sa coolitude, a annoncé que sa femme et lui co-produiront l’adaptation cinématographique de l’oeuvre L’Alchimiste de Paulo Coelho.

En cette mi-année, le Centre national du livre fait le point sur cette année tumultueuse. Annoncée par le ministre de la Culture Franck Riester en décembre 2019, l’Année  la bande dessinée a été officiellement lancée le jeudi 30 janvier 2020 par le Président de la République lors de la 47e édition du Festival international de la bande dessinée d’Angoulême. Cependant, tout le monde sait que 2020 est légèrement sortie de ses cases...

Les effets de la politique de concentration. À la fin du mois de juillet, HarperCollins finalisait l'acquisition de la maison Harlequin. Ce rachat, combiné avec les fortes ventes continues de la série Divergente, aurait donné lieu à une augmentation de 24 % des ventes pour le premier trimestre de l'année fiscale 2015, qui s'achevait le 30 septembre. Le chiffre d'affaires global a progressé d'une année sur l'autre, passant de 328 à 406 millions $.

Pour les neuf premiers mois de l'année 2012, le chiffre d'affaires de l'édition italienne a connu une baisse de 8,7 %, d'après une étude Nielsen rapportée par Publishing Perspectives. La comparaison des chiffres de 2010 à ceux de 2011 montrait déjà une baisse de 4,6 %, signe d'une industrie en apparente mauvaise santé dans le pays.

L'association des éditeurs américains (Association of American Publishers, AAP) a publié les résultats 2022 de ses membres. Elle signale une baisse générale de 6,4 %. Seuls les paperbacks et les livres audio dématérialisés vont à l'encontre de cette tendance.

Si le chiffre d'affaires de la partie édition du groupe Lagardère tient le choc en 2020 (- 0,4 % par rapport à 2019), le reste des activités fait plonger les résultats du groupe dans son ensemble, à 4,439 milliards €, soit une baisse de 38 % en données comparables par rapport à l'année précédente.

Pierre philosophale, Graal, quête du Grand Œuvre… autant de mots chargés de mystères et de secrets. Durant toute sa vie, Raphaël Pachiaudi accumula les ouvrages traitant de ces sujets, fréquentant d’autres qui, comme lui, cherchaient une (ou plusieurs) vérité. « Explorateur de l’invisible », il s’abreuva « à la source des traditions et courants magiques des anciens », indique Serge Reynes, expert en art précolombien. Et la bibliothèque tant convoitée sera prochainement dispersée.

L'association des éditeurs américains (Association of American Publishers, AAP) publie un bilan financier des six premiers mois de l'année de l'industrie américaine du livre. Et les statistiques sont plutôt bonnes : le chiffre d'affaires atteint les 6 milliards $, en hausse de 6,9 % par rapport aux six premiers mois de l'année 2018.

Ce mercredi, l'Association of American Publishers a publié son rapport mensuel Statshot, avec des chiffres qui semblent indiquer que l'année 2014 fut plutôt faste en termes de chiffre d'affaires pour l'industrie de l'édition américaine. Sur les 11 premiers mois de l'année, les revenus commerciaux des maisons membres de l'association sont en hausse de 3,7 %, avec un léger recul du format cartonné sur le marché, mais une solide croissance du livre numérique.

L'industrie a vécu des temps difficiles : malgré les déclarations enthousiastes des premiers temps de la crise, on constate que les 18 derniers mois n'auront pas été des plus favorables.

Alors que les Américains possèdent 2,8 millions de lecteurs de livres numériques, les études américaines précisent les tendances d’un marché en pleine explosion.

Publiée sur le site du MOTif, une infographie réalisée par Primento, voici une présentation de l'ensemble du paysage éditorial numérique, selon les données présentées par l'institut d'analyse GfK, en février 2013. 

Les chiffres de l'édition québécoise pour 2006

Les chiffres de l'édition : tout est quantifiable.

Sûr que l'accord d'exclusivité a du bon. Le partenaire numérique de Marvel affiche quelques jolis chiffres pour cette année 2012. Tombés sur the Wired.com, les chiffres du PDG David Sternberger évoquent 25 millions de numéros vendus depuis la plateforme. Un chiffre relativement haut qui témoigne du catalogue très large du distributeur numérique. Seul fournisseur depuis les éditeurs jusqu'aux détaillants, Diamond Comic cumule 31 millions d'exemplaires vendus. Soit à peine 20 % de plus que son tout jeune pendant numérique.

Moins de livres vendus en 2014, le résultat est clair : avec 2,652 milliards € de chiffre d’affaires, l’industrie du livre accuse un recul de 1,3 % en valeur et 1,2 % en volume, en regard de 2013. Pour la quatrième année, donc, les ventes sont en berne, mais 2015 s’annonce bien plus prometteuse.

#Booktracking – Les vœux du Syndicat national de l'édition (SNE), du Bureau international de l'édition française et du Cercle de la Librairie se sont déroulés « en distanciel », ce jeudi 7 janvier. À cette occasion, Vincent Montagne, président du SNE, a dressé un premier bilan économique de 2020, confirmant la perspective d'une année pas si catastrophique, avec des chiffres en recul de 2 % dans l'édition.

C’est là tout le paradoxe d’un rapport d’activité : l’année 2019 s’est conclue avec une progression de 5 % des ventes, avec 435 millions d’ouvrages vendus. Et tous les segments avaient de belles couleurs – avant que la crise Covid ne sape le moral de toute l’industrie. 

Les éditeurs qui ont fait le plus de chiffre en 2007

L'intégration de 40 anciennes boutiques Borders a permis une progression de 10,5  % du chiffre d'affaires de la chaîne de librairies Books a million pour le premier trimestre de l'année, à 113,1 millions de dollars.

Outre les annonces ministérielles laissées par Fleur Pellerin, les Rencontres Nationales de la Librairie ont été marquées par l'Observatoire de la librairie, un outil développé par le Syndicat de la Librairie Française et déjà présenté au Salon du Livre de Paris. Le succès auprès des professionnels est au rendez-vous, avec un objectif fixé à 2016 déjà atteint en quelques mois.

Le groupe Lagardère a partagé ce mardi 7 mai ses résultats pour le premier trimestre de l'année 2019 : si le chiffre d'affaires global est en hausse de 8,9 %, c'est grâce aux performances des filiales dédiées au voyage et au sport. L'édition, elle, fait état d'une croissance plus modérée, de 0,9 %, en données comparables.

Le Syndicat national de l'édition (SNE), organisation patronale du secteur, annonce dans un rapport que le chiffre d'affaires des éditeurs est passé de 3 milliards € en 2021 à 2,9 milliards en 2022 (-5,4 %). Toutefois, le bilan de l'année écoulée reste bien supérieur à celui de 2019, année de référence pré-pandémie.

Même si dans chaque rédaction, on ne cesse de se creuser les méninges pour chercher de nouvelles idées afin d'attirer davantage de lecteurs, les grands quotidiens nationaux continuent de voir leurs ventes orientées à la baisse. C'est ce qui ressort des derniers chiffres de l'OJD, publiés samedi 2 août, rapporte La Croix.