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La Barbarie à visage humain

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Dossier

Robots, extraterrestres, IA, humains... qui aura le dernier mot ?

Ah, l'ère technologique ! Une époque où nos téléphones sont plus intelligents que nos animaux de compagnie, où nos montres peuvent nous dire combien de pas nous avons faits (comme si cela comptait vraiment après cette pizza quatre fromages) et où nos réfrigérateurs peuvent nous rappeler d'acheter du lait. Mais attendez, ce n'est pas tout ! 

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Dossier

Voir, vivre, cohabiter : humains, avant tout chose

Dans un monde en constante évolution, où la technologie prend de plus en plus de place, il est essentiel de se rappeler de l'importance de l'humanité. Voir, vivre et cohabiter sont trois verbes qui définissent notre existence. Mais comment ces actions sont-elles influencées par les livres, outils intemporels de la connaissance?

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Dossier

Représenter, exprimer et comprendre le monde

Qu’il s’agisse de fictions par lesquelles le réel se revisite, d’approches analytiques explorant les détails et aspects de notre société humaine ou encore d’instantanés saisissant la lumière – et faisant jour ! – sur notre monde, nous demeurons pris dans notre environnement. Humains, trop humains, certainement, avec pour prisme premier notre regard sur cette Terre et ce que nous en avons fait, ce que nous en faisons… et ce que nous en ferons. 

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Dossier

Prix littéraire Frontières-Léonora Miano 2022 : dignité humaine, acceptation de l’autre

Décaler le regard pour mieux voir. Transporter une question actuelle dans d’autres temps et contrées – imaginaires, mythologiques ou simplement renommés –, afin de la poser d’une manière plus libre, plus féconde, telle est la méthode de Léonora Miano. Elle a ainsi accepté de prêter son nom à un prix « créé avec une volonté d’universalité, pour ne pas être prisonnier d’auteurs franco-français et faire connaître de nouveaux auteurs ».

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Dossier

À la découverte de la littérature tchèque

Si l’on résume hâtivement – et maladroitement – la littérature tchèque à Milan Kundera, c’est bien souvent par une méprise culturelle. Michal Fleischmann, ambassadeur de la République tchèque en France, abordait cette question différemment : « La littérature tchèque est une pensée. Une pensée, une voie de la littérature européenne venue de la profondeur d’un peuple au centre de l’Europe. » Voici un large dossier, destiné à parcourir, avec un spectre élargi, les oeuvres et les êtres.

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Dossier

La SCELF face à la lecture publique : la redevance qui indigne

La lecture à haute voix de livres, en totalité ou sous forme d‘extraits, est considérée comme une “représentation”, et tombe de facto sous le coup du “droit de représentation”. Jusque-là, ce droit était géré par une société d‘auteurs, la SACD, mais depuis le 1er janvier 2016, et sans que grand monde en ait été informé, la gestion du droit de lecture est passée dans l'escarcelle de la SCELF, une société d'éditeurs.

Extraits

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Philosophie

La Barbarie à visage humain

Manifeste philosophique, écrit dans une langue belle et limpide, ce livre entend poser les bases d'un pessimisme historique de type nouveau. Convoquant auprès de lui les leçons de l'histoire récente, les enseignements du plus lointain passé, des références littéraires autant que métaphysiques, il peut se lire comme une véritable "archéologie du temps présent", acharnée à démontrer cette thèse résolument noire : la vie est une cause perdue et l'homme un Dieu manqué, le bonheur est une idée vieille et la société bonne un rêve meurtrier, le Maître a toujours raison parce qu'il est l'autre nom du monde. Renvoyant dos à dos toutes les versions modernes de l'optimisme, les confrontant à la pesante réalité de "la barbarie à visage humain", il irritera les gais savants qui continuent de croire dans les fables éternelles qui gouvernent le troupeau humain ; il répond pied à pied aux mensonges progressistes qui, à force d'enchanter le monde, le mènent peut-être à la catastrophe ; il n'épargne bien sûr pas le socialisme, cette tradition politique qui s'est tant de fois égarée, qu'elle n'est peut-être plus bonne aujourd'hui qu'à fournir au Nouveau Prince ses nouvelles armes politiques.

05/1977

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Poésie

Barbarie Barbaries

Eglal Errera, dans ce poème d'une grande pudeur et d'une grande sensibilité, évoque à travers les thèmes de la marche et de l'exil, des souffrances qui en sont inséparables, les figures de ses parents. Ce texte érige une stèle, comme un cadeau de l'enfant que l'auteure a été, dans le retour des sensations et des images du passé.

03/2021

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Philosophie

Le Réalisme à visage humain

Hilary Putnam défend la thèse suivante : les critères de réalité évoluent, il n’y a pas de relation unique entre le mot et la chose désignée, le concept dépend de notre environnement physique et social, des choses n’ont de propriétés communes que dans une description singulière du monde. Ainsi, l’atome a-t-il jamais représenté la même réalité pour Démocrite et pour Niels Bohr ? Il faut, pour suivre Hilary Putnam, renoncer au présupposé que le réel est « sous » ou « derrière » les apparences, que l’Un est dans le Multiple, que tout phénomène a une nature ultime. Il n’est de vérité, c’est-à-dire d’identité des significations, qu’interprétative, de réalité que contextuelle. On retrouve ce combat dans cet ouvrage qui s’attache à définir les buts et les enjeux de la philosophie. Convaincu que la nature et le statut des « valeurs » s’enracinent dans la métaphysique, il consacre à celle-ci la première partie de l’ouvrage. Plus précisément, c’est au Réalisme qu’il s’attaque, à cette doctrine-clé de notre image scientifique du monde qui pose l’Être comme indépendant de la connaissance qu’on en prend. Contestant les dichotomies qui en découlent (entre concept et objet, fait et convention, etc.), affirmant la nécessité de lier vérité et justification, Putnam développe alors les incidences éthiques et esthétiques de ces positons théoriques.

09/2011

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Economie

Un capitalisme à visage humain. Le modèle vénitien

Venise n’a pas toujours été une ville morte, une ville musée saturée de touristes telle que nous la connaissons aujourd’hui. Durant cinq siècles, la Sérénissime fut une cité grouillante, commerçante, souvent belliqueuse, à la tête d’un empire qui domina une grande partie du monde occidental et oriental, avant de céder la place à la Grande-Bretagne.Comment un républicain aussi convaincu que Jean-Claude Barreau peut-il choisir l'oligarchie vénitienne comme modèle pour notre société ? Parce qu’elle inventa un capitalisme intelligent, respectueux de son peuple, fondé sur le sens de l’État de ses élites. Parce qu'avoir de l'argent impliquait plus de devoirs que de droits. Bien avant les protestants de Max Weber et leur célèbre éthique, les Vénitiens inventèrent le capitalisme moderne (la Bourse, les banques, la lettre de change, la comptabilité double), mais aussi l’écologie au quotidien, une certaine forme de laïcité, le non cumul des mandats et la justice égale pour tous. Parce que les riches qui dirigeaient ce monde avaient à cœur de le préserver, de le faire fructifier et non de le consommer. Comment construire un capitalisme à visage humain ? En ces temps de crise, la question est d'une grande urgence. Venise nous donne une partie de la réponse et Jean-Claude Barreau une magistrale leçon d'économie politique.

01/2011

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Littérature française

Barbarie humaine ou maladie du sentiment ?

Cet ouvrage étudie l'impact que peuvent avoir nos blessures psychiques ainsi que les conditionnements sociaux sur notre vision du réel. Plus encore, à partir des stéréotypes masculins-féminins découlant du conditionnement social lui-même, il met l'accent sur un modèle structurel de domination de base archaïque, comme archétype, qui intervient sur nos choix les plus affirmés. Par extension, certains de ces processus subtils, mais concrets, peuvent-ils conduire progressivement à des formes de déshumanisation profondément dangereuses pour l'humanité ? Que pensent les chercheurs les plus avertis de ce sujet ?

05/2017

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Actualité médiatique internati

Echec à la barbarie

Jack Angeli, Didier Raoult et Mark Zuckerberg : trois figures des dérives du temps. Le premier, américain visage peint et coiffé de cornes de bisons, est monté à l'assaut du Capitole ; le deuxième a proposé sa médecine magique contre le coronavirus et le troisième a exposé le " metaverse " , la génération prochaine des réseaux sociaux qui nous transformera en nos propres avatars dans " la réalité augmentée " . Le complotiste, le sorcier, le prêtre des paradis numériques : trois formes du même danger d'irraison. Ajoutez le fondamentalisme religieux, le conflit sino-américain, la crise climatique... De toutes parts, la peur saisit l'opinion publique et l'appelle au repli sur soi, au ressentiment et à la haine. Le populisme version 1 (celle des gourous comme Donald Trump ou Jair Bolsonaro) a échoué. Dans la version 2, il ne faut plus croire en rien. Sauf à la défiance généralisée et au plongeon dans le " n'importe quoi " , entrainant la fin de la démocratie libérale et, plus profondément, l'abandon de la Raison grecque. Nous allons vers un nouveau Moyen-Age. La société démocratique libérale peut réagir. L'espoir d'une " bonne vie " peut renaître. Les solutions aux maux sont connues, mais elles sont mises en place trop lentement et trop timidement. Le capitalisme, l'écologie, la technologie nécessitent de vastes réformes dictées par la " modération radicale " : viser le milieu, mais très vite et fort. L'élite dirigeante qui, dans sa bulle, profitait seule de l'époque, doit voir la menace existentielle et s'engager.

02/2022

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