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La société des rêveurs involontaires

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La Société des Gens De Lettres (SGDL)

La Société des Gens De Lettres (SGDL)

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Les sociétés matriarcales : les cultures autochtones dans le monde

Dans cet ouvrage pionnier, fondateur des recherches matriarcales modernes, Heide Goettner-Abendroth définit pour la première fois clairement et scientifiquement le concept de matriarcat, jusque-là décrié et opaque, qui lui permet de revisiter l’histoire culturelle de l’humanité. 

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Albums, romans : une sélection de 20 livres jeunesse pour Noël 2020

La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.

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Poésies d'ici, poèmes d'ailleurs

La poésie a longtemps été considérée comme l'apanage des âmes sensibles, des rêveurs et des romantiques. Mais qu'en est-il vraiment ? Est-ce un art réservé à une élite ou peut-on tous s'y adonner ?

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Le catalogue des nouveautés éditeurs de la rentrée

Les éditeurs planchent depuis des mois, les auteurs ont réécrit leurs livres... et voici le grand moment : la présentation des nouveautés aux libraires. Alors, quoi de bon à se mettre sous la dent ?

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Dossier

La chronique des Bridgerton : la revanche de la romance

À plus d’un titre ! En 2009, J’ai lu publiait les premiers ouvrages de Julia Quinn dans la collection Aventures & Passions. Entre temps, Netflix décide de réaliser une adaptation de cette fresque : au total, près de 900.000 exemplaires vendus… Ces aventures amoureuses sur fond de marivaudage britannique, à l’époque de la Régence, dans les premières années du XIXe siècle ont conquis le public.

Extraits

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Littérature étrangère

La société des rêveurs involontaires

Le journaliste Daniel Benchimol rêve de gens qu'il ne connaît pas mais reconnaît dans la mémoire de l'appareil photo qu'il retrouve sur une plage d'Angola. Moira Fernandes, une artiste mozambicaine habitant Le Cap, met en scène et photographie ses rêves. Hélio de Castro, un neuroscientifique, les filme. Hossi Kaley, le patron de l'hôtel Arco-Iris, ancien guérillero au passé obscur et violent, se promène dans les rêves des autres vêtu d'un costume violet, ce qui va donner à un service secret l'idée de l'utiliser pour manipuler les rêves de la population lors des élections, mais ne l'empêchera pas malgré tout de connaître un grand amour. Les rêves rassemblent ces quatre personnages dans un pays totalitaire au bord de la destruction, où se réveillent aussi les rêves de liberté de la jeunesse.

02/2019

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Critique

Souvenirs involontaires

" Il y a longtemps qu'on m'y incite : vous devriez raconter votre vie, elle est passionnante : vous en avez vu des choses et des gens, que ce soit dans le journalisme, la haute couture, la politique, dans le milieu littéraire, en amour ! ... Je croyais l'avoir fait : en une centaine d'ouvrages, j'en ai abattu des sujets, analysé des sentiments ! Que rajouter, comment y revenir ? De Jean-Jacques Servan Schreiber à Françoise Giroud en passant par le Brésil, et Saint-Tropez... D'analyses en psychanalystes, avec Pontalis, Lacan, Dolto, et bien d'autres. De Sagan à Camus et Nimier, de Sartre à Céline, de Liliane Bettencourt à François Mitterrand... Du jury Femina à tous mes éditeurs : Claude Gallimard, René Julliard, Jean-Claude Fasquelle, et bien sûr Claude Durand... , d'autres plus secrètement, que de personnages ont traversé - parfois durablement - ma vie ! C'est la façon dont j'ai forgé mon destin et dont en retour il m'a construite et constituée que j'entreprends de raconter ici. Qu'est-ce qu'écrire, sinon se donner en pâture au public ? " Madeleine Chapsal Madeleine Chapsal a écrit une centaine d'ouvrages, romans, essais, pièces de théâtre, poésie, principalement édités par les Editions Fayard. A 93 ans, sa parole est plus libre que jamais.

06/2018

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Littérature française

Les complicités involontaires

Par un jour d'avril, Corinne V., psychiatre, reçoit dans son cabinet une quinquagénaire, Zoé B., désireuse d'entreprendre une analyse. Reconnaissant en elle une ancienne amie, elle s'apprête à l'adresser à un confrère, quand Zoé lui révèle qu'elle souffre d'une amnésie ayant effacé ses souvenirs de jeunesse. Et qu'elle est atteinte depuis toujours d'une "mélancolie" dont la cause, elle en est persuadée, réside dans la mystérieuse histoire de sa famille paternelle - histoire dont son père ne lui a transmis qu'une infime partie. La curiosité est la plus forte : enfreignant les règles de sa profession, Corinne décide d'ignorer leur lointaine et brève amitié, et accède à la demande de Zoé. Elle ne peut imaginer les conséquences qu'une telle résolution aura sur leurs existences respectives. Car, tandis que l'analysante déroule son "enquête" en assemblant, telles les pièces d'un puzzle, les quelques éléments dont elle dispose - bribes de vieilles conversations, documents et photos -, l'analyste se voit confrontée, par un plongeon dans le passé, à un jeu de miroirs pour le moins inattendu. Dans ce roman de la transgression, Nathalie Bauer raconte l'odyssée d'une famille ballottée par le chaos de l'histoire du XXe siècle, la recherche obsédante d'une femme qui en subit les soubresauts, et explore les multiples complicités qui unissent les êtres à leur insu pour mieux se jouer de leur destin.

08/2017

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Littérature étrangère

Rue Involontaire

Rien n'est jamais trop étrange pour Krzyzanowski. Voilà qu'un de ses grands textes - tout petit en nombre de pages - que l'on croyait perdu à jamais vient de réapparaître aux archives à Moscou, restitué en 1995 par le FSB (ex-KGB) puis oublié au fond d'une réserve. S'il n'a pas valu à son auteur d'être arrêté, c'est peut-être parce que celui-ci portait par hasard le même nom qu'un grand révolutionnaire, ou parce qu'il était un écrivain à ce point invisible que l'absence de reconnaissance dont il a tant souffert lui a pour finir sauvé la vie. Et l'on ne sait toujours pas de quelle "affaire" relevait ce dossier. S'agissait-il du texte original confié à une dactylo qui aurait été arrêtée ? D'un exemplaire donné à lire à un écrivain qui se serait fait confisquer ses écrits ? Mystère... Quant à la rue Involontaire, elle existait réellement à l'époque : quelques coudes zigzaguant dans le quartier de l'Arbat où vivait Krzyzanowski avaient "involontairement" formé une petite rue. Celle-ci figure aujourd'hui encore sur les cartes, mais... est introuvable dans la réalité. Rue Involontaire est composé de sept lettres écrites par l'écrivain et son coauteur, la vodka. N'ayant personne à qui écrire, Krzyzanowski les adresse au premier venu ou à la fenêtre qui reste allumée la nuit, et les expédie par la fente de son vasistas. Avec une noirceur joyeusement désespérée, il approche à pas grincés de l'autobiographie. Ce récit est accompagné de deux petits textes ivres et foutraques, et d'extraits des carnets de l'écrivain.

03/2014

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Policiers

Témoin involontaire

A trente-huit ans, Guido Guerrieri, avocat à Bari, ne sait plus où il en est : sa femme l'a quitté, ses amis lui paraissent superficiels et son métier l'ennuie. Il reçoit un jour la visite d'une jeune femme noire dont le compagnon, un vendeur ambulant nommé Abdou Thiam, a été arrêté pour le meurtre d'un petit garçon. Tout incrimine Abdou, en particulier le témoignage accablant d'un patron de bar. Comment défendre un homme condamné d'avance ? Lorsque la visiteuse quitte son cabinet, Guido ne sait pas pourquoi il a accepté cette cause perdue, ni que cette affaire va radicalement changer sa vie.

03/2018

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Littérature étrangère

Rêveurs

Avec Rêveurs, nous faisons connaissance avec Ove Rolandsen, frère d'âme de Johan Nagel de Mystères, de Thomas Glahn de Pan. Comme eux il est fantastique, inventif, imprévisible et surtout rêveur. Comme eux, il est accordé à la nature et au rythme des saisons. Il est épris de l'amour et fasciné par les femmes, que ce soit la toute jeune Olga ou sa fiancée, la gouvernante, personne de tête, ou l'épouse du pasteur qui, par certains côtés, ressemble à Ove. Mais ce sera devant la fille de Mack, le grand commerçant, qu'il perdra la tête, et peut-être ne sera-t-elle pas insensible à ce diable d'homme, sauvage, hâbleur, bagarreur et musicien. Mack, le seigneur des lieux, personnage plus familier dans le monde hasmunien, inquiet de sa réputation d'homme riche, n'hésitera pas à récompenser le voleur de son coffre, à condition qu'il avoue son forfait, montrant ainsi sa puissance et sa grandeur d'esprit. Ce qui fait de Rêveurs ou roman à part, c'est l'aspect souriant, la bonhomie, l'humour. C'est sans doute ce qui rend Rolandsen si sympathique, car s'il va jusqu'au bout de ses calculs matériels et sentimentaux, il se prendra sans le vouloir à leurs pièges. Il s'est joué la comédie de la grandeur et de la passion fatale, il a perdu, mais nous y gagnons un chef-d'oeuvre au pastel. Né en 1859 en Norvège, Knut Hamsan était fils de paysans et autodidacte. Il émigra aux Etats-Unis à deux reprises, puis revint en Norvège où en publiant La Faim, il acquiert une notoriété internationale. Il obtient le Prix Nobel en 1920. Il est décédé en 1952. Traduit du norvégien par Régis Boyer.

10/1994

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