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La situation désespérée du présent me remplit d'espoir. Face à trois délires politiques mortifères, l'hypothèse convivialiste

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Dossier

De l'auteur à la création : le rapport Racine, une nouvelle politique publique

141 pages de constats, d’observations, de commentaires, découlant des différentes auditions menées ces derniers mois : le rapport de Bruno Racine fait office de pavé dans la mare, lancé depuis les hauteurs de la tour Montparnasse. Et le ministre de la Culture, Franck Riester, se laisse encore quelques semaines avant de présenter les mesures qui en découleront.

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Dossier

Coronavirus : l'industrie du livre face à l'épidémie

Cela avait commencé avec quelques cas en Chine, mal recensé et des perturbations dans l’économie du pays. Et rapidement, le coronavirus est devenu l’invité tragique de l’année 2020. Les cas se sont multipliés et les décès sont survenus peu après. Avec des conséquences diverses dans l’industrie du livre, à travers le monde.

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Dossier

La SCELF face à la lecture publique : la redevance qui indigne

La lecture à haute voix de livres, en totalité ou sous forme d‘extraits, est considérée comme une “représentation”, et tombe de facto sous le coup du “droit de représentation”. Jusque-là, ce droit était géré par une société d‘auteurs, la SACD, mais depuis le 1er janvier 2016, et sans que grand monde en ait été informé, la gestion du droit de lecture est passée dans l'escarcelle de la SCELF, une société d'éditeurs.

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Dossier

Le Tripode : dix ans d'édition indépendante sur trois pieds, sans trembler

Le Tripode incarne l'esprit de la créativité et de l'originalité littéraire. Fondées en 2013 par Frédéric Martin, elles se sont rapidement imposées comme un acteur majeur de l'édition indépendante. À l'occasion de ses 10 ans, la maison d'édition propose de redécouvrir les livres qui ont forgé son identité. 

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Dossier

Sangre : espoir, désespoir, rage et amour

Lorsqu'on évoque le monde de la bande dessinée, certains noms se démarquent instantanément. Christophe Arleston est l'un de ces talents incontournables. Avec une plume affûtée et une imagination débordante, il nous a offert de nombreuses sagas captivantes. Parmi elles, "Sangre" se distingue par son originalité et sa profondeur.

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Dossier

Le FIBD 2022 à Angoulême : auteurs, programme et événements

Le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême investira les rues d'Angoulême, en 2022, du 17 au 20 mars 2022, avec le ferme espoir de pouvoir renouer avec une édition plus habituelle, malgré la crise sanitaire. Initialement prévu du 27 au 30 janvier, le FIBD a dû, une nouvelle fois, se plier à la situation. Quoi qu'il en soit, la 49e édition de l'événement s'appliquera à contenter les amateurs du 9e art...

Extraits

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Sciences politiques

La situation désespérée du présent me remplit d'espoir. Face à trois délires politiques mortifères, l'hypothèse convivialiste

Trois délires politiques mortifères hantent notre époque. Dans le premier, le délire occidental, la pléonexie (vouloir toujours plus) à l'oeuvre dans le néolibéralisme se transforme en risque de tout perdre (dislocation des subjectivités, déchirure du lien social, épuisement de la planète, destruction des bases mêmes de la vie sur terre). Le second, le délire théo-fasciste de l'islamisme djihadiste prétend, contre l'égoïsme érigé en système et la démesure caractérisant l'Occident, restaurer une pureté absolue. Or, quand cette pureté originaire revendiquée se réalise, elle se transforme en souillure et en horreur absolues. Le troisième, le délire identitaire néo-fasciste (qui monte aujourd'hui partout en Europe) se présente comme le seul rempart possible contre les deux premiers. Contre la mondialisation néo-libérale, il prône un retour à la patrie. Non pas une patrie fondée sur un principe universaliste (du type "liberté, égalité, fraternité"), mais une patrie refermée sur elle-même, désignant des boucs émissaires, les étrangers, pour que des acolytes réputés "amis" se regroupent et décrètent contre ces "ennemis" l' "état d'exception". Ces trois délires tendent de plus en plus à former système : on ne sort de 1'un que pour entrer dans l'un des deux autres. Puisqu'aucun des garde-fous démocratiques (Etat, médias et université) ne fonctionne plus, il faut songer à tout refonder à partir des principes de dignité et de commune humanité, également bafoués par ces trois délires. Il se pourrait bien que le travail actuellement fourni par Les Convivialistes puisse fournir les bases de cette reconstruction - probablement une des dernières possibles avant la catastrophe annoncée.

10/2016

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Penser l'écologie

L'Hypothèse K. La science face à la catastrophe écologique

Sortir la science de ses mauvaises habitudes, tel est le projet de ce bref et révolutionnaire essai. Face à la catastrophe écologique, la science est utilisée pour donner une réponse essentiellement " ingénierique " : technologie à tout prix, algorithmes envahissants, machines toutes-puissantes. Cela constitue le pire des choix. Si elle peut jouer un rôle salvateur, c'est, tout au contraire, en contribuant à un renouveau radical des symboles et des valeurs. En réinventant le sens du monde. Elle joue un rôle essentiel dans le constat du délitement : les espèces disparaissent, les populations s'effondrent, la pollution et la chaleur tuent, la planète devient inhospitalière... Elle demeure pourtant incapable de choisir la direction souhaitable. Considérée comme un simple outil, elle ne pourra que contribuer à accélérer l'effondrement. Comme l'écrit Aurélien Barrau, nous ne tenons pas assez compte des rêves des chiens. A partir de ce qu'il appelle " l'hypothèse K. " , un laisser-faire entraînant une prolifération technique exponentielle, ce texte suggère de réinvestir la science de l'immense charge poétique qui lui a été déniée. Et cela afin de la libérer, de lui rendre son pouvoir bénéfique. Un plaidoyer pour une science nomade, tzigane ou touareg, humble et intransigeante. Une science déviante et fière de l'être.

10/2023

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Littérature française

Délires, délices et dérives de Jéll Mbaam

"A la base de ce roman philosophique, savamment construit, deux personnages aux noms programmatiques : Lifa-Dëkulfeen et Fatima-Feendëkul, dont les seconds termes sont anacycliques. Lifa-Dëkulfeen est un personnage complexe qui cherche refuge dans un recoin de la mémoire et se lance dans une problématique quête de sens et d'authenticité. Ce gaillard "cérébral", quia toutes les références et même les manières de faire d'un philosophe, est d'ailleurs plus soucieux d'amour, en un sens peu platonique, que de bonheur - comme si les deux ne pouvaient trouver aucun arrangement. Fatima-Feendëkul est une femme du terroir, d'une beauté faite d'un "mélange de sauvage, de suave, de doux", une beauté qu'on peut qualifier d'intrusive en empruntant le lexique géologique. Qu'on garde à l'esprit, toutefois, que cette dame imposante, sans en avoir l'air, sait aussi ruminer une pensée philosophique structurée. C'est la flamboyante romance entre ces deux personnages atypiques que décrit El Hadj Songdé Diouf...". Extrait de la préface du Pr Djibril Samb.

10/2020

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Notions

La convivialité

PointsTerre – La convivialité " Si les outils ne sont pas dès maintenant soumis à un contrôle politique, la coopération des bureaucrates du bien-être et des bureaucrates de l'idéologie nous fera crever de "bonheur'. La liberté et la dignité de l'être humain continueront à se dégrader, ainsi s'établira un asservissement sans précédent de l'homme à son outil. " Dénonçant la servitude née du productivisme, le gigantisme des outils, le culte de la croissance et de la réussite matérielle, Ivan Illich oppose à la " menace d'une apocalypse technocratique " la " vision d'une société conviviale ". Ce n'est que par la redécouverte de l'espace du bien-vivre et de la sobriété qu'Illich appelait la convivialité, que les sociétés s'humaniseront. Ivan Illich (1926-2002) Philosophe, penseur de l'écologie politique, il a fondé, au Mexique, le Centre international de documentation (CIDOC). Il est l'auteur d'une oeuvre importante qui a contribué à l'analyse critique de la société industrielle, dont Une société sans école (1971).

10/2021

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Sociologie politique

Politiques de la destruction. Trois figures de l'hallucination en politique

Appliquées aux sciences sociales, les catégories de la psychanalyse permettent d'analyser l'action totalitaire et sa dérivée autoritaire en mettant en valeur ce qui est commun à tous les régimes qui s'en revendiquent : la destruction des cadres de l'espace et du temps ; leur substitution au profit d'une "sur-réalité" fantasmée ; un processus d'assignation des individus dans l'espace social en fonction de motions d'amour et de haine, que leur vouent les détenteurs de l'autorité. Qu'il s'agisse du bolchévisme stalinien, considéré ici comme la matrice de la "personnalité totalitaire", de sa version extrême avec l'Etat islamique et de celle, affadie, du parti dirigeant polonais "Droit et justice" (PiS), tous se caractérisent par la négation de la temporalité et de la distance, donc la négation des liens de causalité, le déplacement et la transformation des données de l'expérience. Autant de composantes propres à l'inconscient qui dans le rêve agit sur le donné factuel, le transforme, le nie et le reproduit sous une autre forme, plus conforme aux désirs du rêveur. C'est pourquoi les politiques qui en résultent peuvent s'apparenter à une hallucination.

04/2021

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Histoire de France

Les institutions politiques mossis à l'épreuve de la situation coloniale

Avant la conquête française, la plus grande partie de la moitié orientale du Burkina Faso actuel était occupée par les Mossis. On appelle également "mossis" les représentants de l'ordre aristocratique qui dirige ce territoire, souvent qualifié à tort d'empire, un ordre dont les institutions se sont maintenues durant les six décennies de domination coloniale. Pourquoi et comment ce système a-t-il été préservé alors même que la société toute entière vit de grands bouleversements ? Au moment de la conquête, les chefs précoloniaux n'auraient-ils pas dû être renversés et leur système aboli ? Et lorsqu'on s'approche de la décolonisation, c'est-à-dire d'une indépendance accordée à une élite "moderne" formée à l'école coloniale, la question de l'abolition des organisations traditionnelles n'aurait-elle pas dû être de nouveau soulevée ? Comment les structures politiques mossis ont-elles su se maintenir durant la période coloniale ? Selon quelles modalités ?

09/2013

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