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La Faculté de juger

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Dossier

Albums, romans : une sélection de 20 livres jeunesse pour Noël 2020

La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.

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Dossier

Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

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Dossier

Le catalogue des nouveautés éditeurs de la rentrée

Les éditeurs planchent depuis des mois, les auteurs ont réécrit leurs livres... et voici le grand moment : la présentation des nouveautés aux libraires. Alors, quoi de bon à se mettre sous la dent ?

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Dossier

Le Prix Goncourt de la biographie

Dès 1980, l'Académie Goncourt se dote d'une bourse pour soutenir les auteurs de biographie : Jean Lacouture reçoit la première récompense pour son ouvrage François Mauriac, consacré à l'auteur d'Un Nœud de vipères et publié par les éditions du Seuil. Devenu un Prix Goncourt au même titre que le Goncourt de la nouvelle, par exemple, le prix est désormais remis chaque année par les académiciens, au cours d'une cérémonie organisée à Nancy pendant l'événement Le Livre sur la Place.

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Dossier

Le Prix de la littérature arabe

Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe est la seule récompense française distinguant la création littéraire arabe : il salue le roman ou le recueil de nouvelles d'un écrivain ressortissant de la Ligue arabe et auteur d'un ouvrage écrit en arabe et traduit en français ou directement écrit en français.

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Dossier

La chronique des Bridgerton : la revanche de la romance

À plus d’un titre ! En 2009, J’ai lu publiait les premiers ouvrages de Julia Quinn dans la collection Aventures & Passions. Entre temps, Netflix décide de réaliser une adaptation de cette fresque : au total, près de 900.000 exemplaires vendus… Ces aventures amoureuses sur fond de marivaudage britannique, à l’époque de la Régence, dans les premières années du XIXe siècle ont conquis le public.

Extraits

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Philosophie

La Faculté de juger

Juger, c'est trouver l'exemple qui atteste la loi. Et, inversement, quand on n'a pas la loi d'abord, c'est imaginer la règle que recèle et qu'exige le cas. Le juge dispose d'un code, le cas à juger y est traité. L'arrêt se termine alors, en principe, par application de l'un à l'autre. Mais en fait le juge doit encore juger que le cas est bien tel cas prévu par le code. Ou pire, si le cas n'y est pas traité, le juge doit en juger sans règle préétablie, et son jugement peut faire jurisprudence. Cette "prudence" est la vertu de se bien guider sans boussole. Avant l'institution. Déboussolés autant et plus que nous le sommes, six philosophes examinent ici comment juger quand la loi manque. L'occasion leur en est donnée par les écrits de l'un deux, Lyotard, lors d'un colloque à Cerisy en 1982. Le présent titre fait allusion à Kant. La force de juger ne fait pas seulement l'objet de la critique, elle est ce qui tend son ressort. Elle s'exerce et se réfléchit dans l'éthique et la politique, dans l'évaluation pratique ou esthétique, dans l'invention littéraire, scientifique, artistique. Elle est peut-être toute l'énergie du philosophe, sa faiblesse invincible.

09/1989

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Philosophie

Critique de la faculté de juger. Analytique de la faculté de juger esthétique

Pourquoi disons-nous de cette rose qu'elle est belle, et non qu'elle nous est agréable, qu'elle est parfaite, ou qu'elle est vraie ? Et pourquoi, parlant d'une " belle rose ", entendons-nous précisément dire autre chose que lorsque nous évoquons une " rose agréable ", une " rose parfaite ", ou encore une " vraie rose " ? La récurrence du terme beauté " dans nos discours se double d'une résistance envers toute substitution par un synonyme. Poser que ce fait têtu n'est pas infondé, c'est tenter de rendre justice à la spécificité de la beauté. Autonome beauté, que Kant entend précisément circonscrire, dans l'Analytique du beau, première partie de la Critique de la faculté de juger (1790).

09/2008

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Philosophie

Critique de la faculté de juger

Une nouvelle traduction de ce texte qui assure la cohérence du système kantien en répondant à la question : comment articuler en l'homme la soumission à la nature ? Cette réflexion sur la loi et le droit est aussi un texte fondamental d'esthétique.

09/2015

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Sociologie

La faculté de juger. Sociologie de l'action normative

Qu'est-ce qu'engage la question "comment juger" ? En quoi celui qui juge est-il en même temps jugé par son propre jugement, sans cesse confronté à l'exigence de juger ? Ces interrogations se plient en deux marges qui s'équilibrent et se croisent l'une à l'autre. D'une part, la loi absente. Point de vue négatif correspondant à une condition positive, à l'avantage d'une contrainte, d'une obligation : il faut trouver la loi. D'autre part, le droit ne coïncide pas avec la loi de nature : il concerne des arrêts que la faculté de juger se prescrit elle-même. Ces aspects s'accordent et se relancent mutuellement dans le reniement de la puissance des origines en faveur de celle de l'alliance : alliance non pas sur la base d'une provenance commune, mais d'objectifs partagés. Ce qui met en jeu la question de la non-dérivabilité des critères du jugement. Ou, dit en d'autres termes : afin d'éviter la chute dans le totalitarisme et dans la barbarie, l'action normative ne peut que renoncer à s'imposer à ses objets selon un modèle donné à l'avance qu'il faudrait tout simplement appliquer.

01/2022

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Textes commentés

Commentaire de la critique de la faculté de juger d'Emmanuel Kant. (Introduction et 2ème partie)

L'intérêt majeur de la troisième des Critiques kantiennes est que son auteur s'y affronte à lui-même en cherchant la solution de difficultés dont il a conscience que son système les laisse pendantes, bref en cherchant à sauver ce dernier de ce qui le menace de l'intérieur. Parallèlement, nul doute que cette dernière oeuvre ait préludé à l'histoire de la science naturelle ultérieure en réhabilitant philosophiquement les concepts et principes majeurs du finalisme aristotélicien, soit d'une conception de la nature qui donne à comprendre comment l'agir humain peut s'exercer et être pensé sans contradiction avec ce qui le précède et le rend possible. Dès lors que ladite science en est arrivée à renoncer au pseudo- déterminisme de la mécanique classique, le principe qui pour Kant menaçait essentiellement l'humanisme moral doit cesser du même coup d'être considéré comme un a priori constitutif de l'explication scientifique des réalités naturelles. Disparaît alors ce qui a été, de l'aveu même de Kant, la motivation fondamentale qui a donné son sens à la construction de son système. Si l'on ajoute à cela les contradictions qu'un Vaihinger, entre autres, n'a pas manqué de relever dans la Critique de la raison pure, on trouvera chez Kant les meilleures raisons de faire retour à la métaphysique à laquelle il passe pour avoir mis fin. C'est peut-être à ce titre qu'il y a lieu de considérer la Critique de la faculté de juger comme le "couronnement" de l'oeuvre de Kant, soit comme le moment où, poussant à sa limite l'intelligence de son propre système, il indique la voie dans laquelle celui-ci se révèle apte à produire des fruits philosophiques que sa lettre ne laissait pas prévoir.

01/2022

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Philosophie

Kant et la genèse de la subjectivité esthétique. Esthétique et philosophie avant la "Critique de la faculté de juger"

Sur un plan historique, la première partie de la Critique de la faculté de juger de Kant mérite d'être considérée comme la principale entreprise de fondation philosophique de l'esthétique de la subjectivité. Cette reconnaissance du statut philosophique de l'"esthétique", Kant semble l'avoir opérée tardivement, en 1790, dans la troisième de ses grandes oeuvres critiques. Or, on oublie souvent que l'essentiel de cette théorie esthétique s'est formé bien plus tôt, entre 1755 et 1787, au fil d'un dialogue sans cesse renoué avec la philosophie esthétique du XVIIIe siècle. C'est ce parcours méconnu de la réflexion de Kant sur l'esthétique qu'il s'agira de reconstituer, en marquant trois étapes principales qui forment autant de strates philosophiques que la troisième Critique se chargera de réinterpréter. On est d'abord conduit des textes de jeunesse (1755-1763), encore fortement imprégnés des conceptions rationalistes de la beauté et de l'art, à une deuxième période marquée par la prédominance d'un questionnement anthropologique qui fait apparaître la proximité du sentiment moral et du sentiment esthétique (1764-1765), avant de s'arrêter à une période cruciale (1769-1779), qui recoupe la mise en place de la philosophie critique, pendant laquelle Kant isole la dimension proprement "esthétique" de la subjectivité. C'est pendant cette décennie silencieuse, mais féconde, que se met en place une théorie du goût et du beau fondée sur l'universalité des lois de la sensibilité, en même temps que s'élabore une importante réflexion sur l'art, la nature et l'exemplarité sans règles du génie. Lien intime entre la beauté et la finalité, affinité entre le goût et la moralité, revendication de validité non conceptuelle du sentiment esthétique : les trois moments théoriques principaux que cette genèse permet successivement d'isoler sont autant de clés pour comprendre les "tensions" théoriques qui structurent la Critique de la faculté de juger esthétique.

12/1999

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