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L'esprit public sous le Consulat. Rapports du ministre de la Guerre au Premier consul, analyse des rapports des Armées et des divisions militaires, janvier 1800-mai 1804

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Dossier

Ouvrir les bibliothèques de France : Erik Orsenna au rapport

Mandaté par Françoise Nyssen, ministre de la Culture, faisant suite aux promesses de campagne d’Emmanuel Macron, Érik Orsenna est devenu rapporteur. Aux côtés de Noël Corbin, il s’est embarqué dans un tour de France des bibliothèques, pour évaluer la situation, et proposer des solutions pour valoriser les lieux.

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Albums, romans : une sélection de 20 livres jeunesse pour Noël 2020

La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.

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De l'auteur à la création : le rapport Racine, une nouvelle politique publique

141 pages de constats, d’observations, de commentaires, découlant des différentes auditions menées ces derniers mois : le rapport de Bruno Racine fait office de pavé dans la mare, lancé depuis les hauteurs de la tour Montparnasse. Et le ministre de la Culture, Franck Riester, se laisse encore quelques semaines avant de présenter les mesures qui en découleront.

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Dossier

La guerre de Vladimir Poutine contre l'Ukraine ou la Russie impériale

En fond historique, la place Maïdan, d’où était partie la révolution de 2014 qui avait conduit au soulèvement contre le gouvernement. Mais depuis le 24 février, la Russie de Vladimir Poutine a décidé d’une invasion du territoire ukrainien. Une force militaire en marche qui soulève l’indignation internationale et provoque des réactions de soutien partout dans le monde. Les organisations littéraires avec des mots pour armes grossissent les rangs de cette opposition.

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Dossier

Portrait de Roselyne Bachelot en ministre de la Culture

Portrait de Roselyne Bachelot en ministre de la Culture

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Dossier

Les éditions J'ai lu inaugurent le Prix Club des lecteurs 2023

Les éditions J’ai Lu ont souhaité se doter d’un prix véritablement incarné par ses votants, c’est-à-dire prix avec des vrais lecteurs dedans. Cette année, la maison lance donc son Prix Club des Lecteurs, une opération au long cours qui prolonge un dispositif d’animations pensé pour tous.

Extraits

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Histoire de France

L'esprit public sous le Consulat. Rapports du ministre de la Guerre au Premier consul, analyse des rapports des Armées et des divisions militaires, janvier 1800-mai 1804

Les rapports du ministre de la Guerre adressés au Premier consul, puis à l'Empereur, établis à partir de la correspondance du ministre avec les généraux commandant les divisions militaires, constituent une source de première importance du renseignement napoléonien. Ils replacent en perspective le rôle des militaires - commandants de place, commandants d'unité, gendarmes... - dans cette "culture de l'information" établie par Napoléon pour gouverner et administrer la France puis l'Empire. Pendant des Bulletins de Police, les rapports du ministre de la Guerre à l'époque du Consulat complétant de façon significative notre connaissance de l'esprit public, en même temps que de celle de l'organisation, du fonctionnement et de l'ambiance des armées. Ils témoignent de la participation des militaires à la pacification de la France consulaire, mais également à la reprise en main du territoire, ainsi qu'à la prise de contrôle des départements annexés à la France. Initialement instruments politique, les Rapports du ministre de la Guerre sont désormais des documents de première importance pour la compréhension de la politique napoléonienne.

04/2019

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Récits de voyage

Voyage aux Régions Equinoxiales du Nouveau Continent, fait en 1799, 1800, 1801, 1802, 1803, et 1804. Tome 11, La Havane

Tome 11 des treize volumes du Voyage au Régions Equinoxiales du Nouveau Continent de A. de Humboldt et A. Bonpland Un palmier des plus majestueux de cette tribu, la Palma Real, donne au paysage, dans les environs de La Havane, un caractère particulier. C'est l'Oreodoxa regia de notre description des palmiers américains : son tronc élancé mais un peu renflé vers le milieu s'élève à 60 ou 80 pieds de hauteur ; sa partie supérieure luisante, d'un vert tendre et nouvellement formée par le rapprochement et la dilatation des pétioles, contraste avec le reste qui est blanchâtre et fendillé. C'est comme deux colonnes qui se surmontent. La Palma Real de l'île de Cuba a des feuilles panachées qui montent droit vers le ciel, et ne sont recourbées que vers la pointe. Le port de ce végétal nous rappelait le palmier Vadgiai qui couvre les rochers dans les cataractes de l'Orénoque et balance ces longues flèches au-dessus d'un brouillard d'écume. Ici, comme partout où la population se concentre, la végétation diminue. Autour de La Havane, dans l'amphithéâtre de Regla, ces palmiers qui faisaient mes délices, disparaissent d'année en année. Les endroits marécageux, que je voyais couverts de Bambousacées, se cultivent et se dessèchent. La civilisation avance et l'on assure qu'aujourd'hui la terre, plus dénuée de végétaux, offre à peine quelques traces de sa sauvage abondance.

03/2022

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Récits de voyage

Voyage aux régions équinoxiales du Nouveau Continent : fait en 1799, 1800, 1801, 1802 & 1804. Tome 12, La mer des Antilles

Tome 12 des treize volumes du Voyage au Régions Equinoxiales du Nouveau Continent de A. de Humboldt et A. Bonpland A La Havane comme partout où le commerce et la richesse qu'il produit prennent un accroissement rapide, on se plaint de l'influence nuisible qu'exerce cet accroissement sur les vieilles moeurs. Ce n'est pas ici le lieu de comparer le premier état de l'île de Cuba couverte de pâturages avant la prise de la capitale par les Anglais, et son état actuel depuis qu'elle est devenue la métropole des Antilles ; ce n'est pas le lieu de mettre en balance la candeur et la simplicité des moeurs d'une société naissante avec les moeurs qui appartiennent au développement d'une civilisation avancée. L'esprit du commerce amenant le culte des richesses, porte sans doute les peuples à déprécier ce qu'on ne peut obtenir pour de l'argent. Or l'état des choses humaines est heureusement tel que ce qu'il y a de plus désirable, de plus noble, de plus libre dans l'homme, n'est dû qu'aux seules inspirations de l'âme, à l'étendue et à l'amélioration des facultés intellectuelles.

03/2022

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Récits de voyage

Voyage aux régions équinoxiales du Nouveau Continent : fait en 1799, 1800, 1801, 1802 & 1804. Tome 13, Additions

Tome 13 et dernier des treize volumes du Voyage au Régions Equinoxiales du Nouveau Continent de A. de Humboldt et A. Bonpland Depuis les années 1792 et 1795, a commencé une nouvelle ère pour la Géographie de l'île de Cuba et de toutes les côtes du bassin des Antilles. Les travaux de Barcaiztegui, la Rigada, Churruca, Ferrer, Del Rio, Cevallos et Robredo se succédèrent en rectifiant le contour des côtes et, grâce aux calculs et aux savantes discussions de MM. Ferrer et Oltmanns, La Havane devint un des ports de l'Amérique dont la position astronomique est le mieux fixée. Don Ventura de Barcaiztegui a relevé de 1790 à 1794, le littoral entre Santiago de Cuba et Punta Maternillos, à l'entrée orientale du Canal de Bahama. Les travaux de Don Jose Del Rio (1802-1804) embrassent la côte méridionale entre le cap Saint-Antoine et le Cabo de Cruz. Le peu que nous connaissons (depuis 1792) du Vieux Canal même est dû au zèle du Capitan de Correos, Don Juan Henrique de la Rigada. Mais dans cette partie, entre Punta Maternillos et le port de Matanzas, comme plus à l'ouest, entre Bahia Honda et le cap Saint-Antoine, il reste encore beaucoup à faire par des moyens astronomiques. Les positions en longitude y sont entièrement incertaines et malheureusement ces incertitudes s'étendent sur un espace de 135 lieues marines de longueur.

03/2022

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Histoire de France

Paris sous le consulat. Lettres d'un voyageur anglais (1801-1802)

1803. Paris brille au firmament des Arts et des Lettres, les Tuileries ressuscitent les fastes de la cour, Paris s'abandonne à une fringale de plaisirs tandis que bruissent les rumeurs de guerre, que Fouché corsète la police et que Mme de Staël, chassée de la capitale par Bonaparte, s'exile pour écrire. Cette année-là, sous le titre Paris as it was and as it is, le journaliste et écrivain britannique Francis William Blagdon fait paraître à Londres un recueil de lettres savoureuses, rédigées alors qu'il séjournait à Paris en 1801-1802. Esprit libéral et cultivé, caustique, paradoxal, Blagdon livre ici un portrait unique de la France du Consulat, une France à peine sortie de la tempête révolutionnaire et déjà sur le pied de guerre. En un style rafraîchissant, ces lettres soulignent les effets de la Révolution sur les sciences, la littérature, la religion, l'éducation, les moeurs, les manières, les divertissements... Blagdon observe et s'étonne, recueille documents et témoignages. Perplexe, il s'interroge sur la véritable nature de cette France nouvelle sortie de la Terreur, et se demande si ses institutions sont en mesure d'inspirer l'Angleterre, l'Europe, le monde. Un témoignage de première main sur une époque cruciale de l'histoire de France, traduit pour la première fois.

01/2016

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Sciences historiques

Saragosse (1808-1809). "La guerre au couteau"

L'Espagne a gardé le souvenir glorieux de Sagonte et Numance. Ces deux noms demeurent dans la mémoire collective espagnole comme un exemple d'abnégation de la part d'un peuple en proie à un funeste destin : assiégé, réduit à la dernière extrémité, il se trouva dans la cruelle alternative de se rendre et vivre en esclave ou de se battre et mourir dans l'honneur. Les habitants de ces deux illustres cités choisirent le dénouement fatal en faisant le sacrifice de leur vie. Tout comme Sagonte et Numance, Saragosse allait devenir, vingt siècles plus tard, le symbole de la résistance espagnole à l'invasion d'une puissance étrangère. Il ne s'agissait plus cette fois de résister à des armées carthaginoises ou romaines, mais à celles de Napoléon alors que l'Espagne était l'alliée de la France depuis la paix de Bâle, en 1795. En voulant imposer sa politique d'expansion économique et dynastique sur la péninsule ibérique, Napoléon provoqua la réaction du peuple espagnol et une guerre qui allait le conduire au désastre de Waterloo. Exprimant à Sainte-Hélène des regrets tardifs, il confia à Las Cases : "Quoi qu'il en soit, cette malheureuse guerre d'Espagne a été une véritable plaie, la cause première des malheurs de la France". Une guerre payée au prix d'un lourd bilan humain, évalué à plus de six cent mille victimes espagnoles tant civiles que militaires, contre deux cent soixante mille soldats de la Grande Armée, y compris les soixante mille auxiliaires étrangers tués au combat ou morts dans les hôpitaux. Une guerre à laquelle ont participé dix-huit maréchaux de l'Empire, avec plus ou moins de succès, mais sans jamais remporter de victoire décisive. Deux caresseront l'espoir d'être roi, Murat à Madrid, Soult à Lisbonne, seul le frère aîné de Napoléon portera la couronne d'Espagne, sans d'ailleurs beaucoup d'enthousiasme ni de conviction.

06/2011

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