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Henri Roorda

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Dossier

Un titan littéraire : découvrir les livres d'Henry James

Henry James est né le 15 avril 1843 à New York, au sein d'une famille aisée d'intellectuels. Son père, Henry James Sr., était un éminent théologien et philosophe, offrant au jeune James un environnement nourri de débats intellectuels dès son plus jeune âge.

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Dossier

Nouveautés, actualités : les livres et romans de David Foenkinos

Né le 28 octobre 1974 à Paris, David Foenkinos fait son entrée dans le monde des lettres en 2002 avec la publication de son premier roman, Inversion de l'idiotie : de l'influence de deux Polonais, chez Gallimard. Depuis, David Foenkinos a publié une quinzaine de livres, avec un certain nombre de succès, dont Le Potentiel érotique de ma femme (2004) et La Délicatesse (2009).

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Dossier

Le Prix Eugène Dabit du roman populiste

Récompense créée en 1931 par Antonine Coullet-Tessier, le Prix Eugène Dabit du roman populiste s'est donné pour mission de saluer une œuvre romanesque qui « préfère les gens du peuple comme personnages et les milieux populaires comme décors à condition qu'il s'en dégage une authentique humanité ».

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Dossier

Les Ensablés : Survivre en littérature

"Les Ensablés, survivre en littérature" est un blog créé en 2010 et depuis intégré pleinement chez Actualitté.com. Chaque semaine, des écrivains ou des amateurs de littérature présentent le roman d'un écrivain français dit "ensablé", autrement "oublié" ou carrément disparu.

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Dossier

Le prestigieux et convoité Prix Goncourt

Récompense la plus populaire, la plus médiatique et la plus convoitée de la rentrée littéraire, le Prix Goncourt rythme depuis plus d'un siècle la vie littéraire française en désignant un lauréat ou une lauréate, au début du mois de novembre. Pour l'éditeur du livre en question, l'annonce signifie la plupart du temps des ventes assez confortables à l'occasion des fêtes de fin d'année.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Edith Wharton

Née en 1862, Edith Newbold Jones, mieux connue sous le nom Edith Wharton, a résolument marqué l'histoire de la littérature : elle fut ainsi la première femme à obtenir le Prix Pulitzer du roman, pour Le temps de l'innocence, publié en 1920. Après une enfance européenne, elle retourne à New York avec sa famille, qui jouit d'une situation très aisée.

Extraits

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Littérature française (poches)

Mon suicide. Suivi de A Henri Rooda

Annoncez, dans les journaux, une conférence sur le Suicide, par "Balthasar" ; et ajoutez, en caractères gras : "Le conférencier se suicidera à la fin de sa conférence". Puis, en caractères plus petits : "Places à 20 fr., 10 fr., 5 fr. et 2 fr." (Le prix des consommations sera triplé.) Je suis sûr que nous aurons du monde. Henri Roorda

09/2017

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Littérature française (poches)

Mon suicide

Roorda est, en 1925, un homme fatigué, endetté, insomniaque. Il aimerait pouvoir jouir sans entrave de la vie, mais ne peut se plier au carcan imposé par une société qui, par l'argent et les conventions sociales comme le mariage, empêche l'homme d'être ce qu'il est. Il décide donc de la date de sa mort. Avant de se tirer une balle en plein coeur, il rédige Mon suicide, qu'il adresse à ses proches comme une sorte de testament. Dans ce texte empreint d'un pessimisme joyeux, il explique sa décision de recourir à la seule échappée qui lui semble possible. Sous l'amertume d'un homme perce cependant un grand amour pour la vie, empli de vitalité et d'ivresse, que la morale et les lois nous refusent. Or, à celui qui "n'a aucun goût pour les travaux forcés, il reste une ressource : c'est de s'en aller".

10/2014

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Théâtre

La ligue contre la bêtise et autres fantaisies théâtrales

Méconnu aujourd'hui, Henri Roorda, sous le pseudonyme de Balthasar, était un grand humoriste. Et quoi de mieux que l'humour pour parler de la faiblesse humaine ? Car c'est là l'objet de ces quatre courtes pièces de théâtre qu'il écrivit à la fin de sa vie et que nous regroupons aujourd'hui en recueil : "Le Silence de la bonne", "Un amoureux", "Un beau divorce" et "La Ligue contre la Bêtise". Dans chacune de ces pièces, nous voyons des hommes emplis de belles et grandes idées sur l'amour, les relations sociales et le bonheur de l'humanité, chercher à les mettre en pratique et se heurter aux conventions sociales, aux opinions divergentes et à leurs propres contradictions. Cela aurait pu donner lieu à des drames, des tragédies. Mais l'auteur préfère s'en amuser, et nous en amuser avec lui. La dérision est souvent le meilleur remède contre le désabusement, le seul antidote efficace contre le désespoir. Aussi Roorda prend-il le parti d'en rire, et de nous réjouir du ridicule de ses personnages. Mais son regard moqueur est bien loin du cynisme et de la moralisation. Son rire est toujours tendre et bienveillant, car il sait qu'il n'est lui-même pas meilleur que ces hommes et ces femmes qu'il met en scène. Leur naïveté est finalement la nôtre, et quand nous rions d'eux nous rions de nous-mêmes. La simplicité, l'humilité et la conscience claire de la faiblesse humaine sont sans doute ce qui caractérise le mieux le style et l'esprit de Henri Roorda. Comme il le dit lui-même : " J'ai d'excellentes raisons pour ne pas enseigner la morale à mes contemporains. Je suis tout au plus tenté de leur dire : Ayez pitié des hommes, car ils errent sur une planète où la vie est difficile. Ayez autant d'indulgence pour leurs faiblesses que pour les vôtres. Et, surtout, n'imitez pas ces Purs qui sont contents d'eux-mêmes parce que, du matin au soir, ils marinent dans la vertu et qui, pour cela, sont un peu trop sûrs de leur supériorité sur autrui " (" Réponse à celle qui n'a pas compris ", Gazette de Lausanne, février 1924).

09/2012

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Littérature française

Les saisons indisciplinées

"Puisque la vie est courte, les livres devraient être minces." Henri Roorda.

02/2013

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Littérature française (poches)

A prendre ou à laisser. Le programme de lecture du professeur d'optimisme

Philosophe et professeur de mathématique, Henri Roorda (1870-1925) a marqué les premières décennies du XXe siècle de son esprit facétieux, à l'égal d'un Alphonse Allais, qui lui fit faire ses débuts de chroniqueur en 1894. Après des ouvrages de pédagogie et des articles anarchistes, il publie régulièrement dans la presse suisse. En 1919, À prendre ou à laisser réunit le meilleur de ses paradoxes, jeux de mots au pied de la lettre, historiettes tendres et moqueuses. Prenant le contrepied de la morale petite-bourgeoise, le « professeur d'optimisme » s'en prend aux usages sociaux les plus banals et décoche ses flèches fraîches et légères. Témoin libertaire et effaré de la Grande Guerre, Roorda ne cherche pas seulement à amuser la galerie. Il fait de l'esprit son combat, de l'humour son arme, histoire de remettre un peu d'humanité chez l'homme.

10/2012

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Littérature française

Henri ou Henry. Le roman de mon père

"Je lui aurais obéi. Je lui ai toujours obéi. Même le soir où on l'a retrouvé allongé sur le tapis chinois de son bureau, le cœur presque arrêté. Le médecin était là avant moi, il m'a chuchoté d'aller lui dire adieu parce qu'il n'arriverait pas vivant à la clinique, il allait mourir dans l'ambulance. Quand je me suis accroupi pour l'embrasser, papa m'a dit de lui servir un whisky sec, bien tassé. Ne fais pas ça, m'a dit maman, tu vas tuer ton père. Je l'ai fait quand même, toujours obéir à papa, j'ai soulevé sa tête pour qu'il soit bien à l'aise pour boire son whisky, qu'il en profite à fond, je n'avais pas lésiné sur la dose, j'ai senti les boucles de sa nuque ma caresser la paume, ça faisait comme un chat un peu lourd et qui semblait avoir froid, je lui ai demandé de ne pas mourir, pas comme ça, pas couché sur le tapis, alors il m'a dit laisse-moi finir ce putain de whisky et tu m'aideras à me relever, ne le bougez surtout pas a dit l'ambulancier, c'est mon père, j'ai dit, j'ai aidé papa à se redresser, à se mettre debout, il ne tenait pas très bien sur ses jambes mais il n'est pas tombé, il s'est appuyé sur moi pour marcher jusqu'à la porte palière où l'attendait la civière pour l'enfourner dans l'ambulance où il devait mourir, et il n'est pas mort, ni dans l'ambulance ni à la clinique, il n'est pas mort ce soir-là, le scotch y fut peut-être pour quelque chose, c'est la preuve en tout cas qu'une fois de plus j'avais bien fait d'obéir à mon père. Et ce livre est tout le contraire, une désobéissance. " Des années et des années après Abraham de Brooklyn et John l'Enfer, Didier Decoin raconte enfin la vie du plus beau de ses héros, Henri Decoin, son père.

05/2006

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