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Fabienne Brutus

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Critique littéraire

BRUTUS

Brutus, qui a été composé dans les premiers mois de l'année 708/46, est un des plus grands traités de Cicéron sur la rhétorique.

01/1973

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Littérature française

Cassos. L'amertume des marchandises

"Cassos", n. m, contraction de l'expression "cas social", fin XXème siècle. Locution a priori haineuse, finalement utilisée dans de nombreux milieux. A noter, le cassos lui-même emploie le mot cassos, souvent pour évoquer ses voisins de palier. Il est de plus en plus lucide, au point de se l'appliquer à lui-même. (…) Dispute entre gosses. L'insulte a fusé : "cassos". Ils se la servent à toutes les sauces, pour rire, mais là, ce jour-là, c'était en trop. Les poings parlent. Vous allez feuilleter un catalogue, vous y trouverez des individus. Ils vivent l'ère mercantile et ses conséquences sur la formation et la réinsertion. Vous pourrez y croiser des gens pauvres et de pauvres gens, qui ne sont pas toujours les mêmes, de ces personnes qui font la société splendide et munificente et sordide que l'on sait.

06/2022

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Littérature étrangère

Brutes

Pittsburgh, années 1990. Saint-Mike est un lycée catholique en perdition. Sa réputation désastreuse l'a transformé en décharge à délinquants et le corps enseignant a depuis longtemps baissé les bras, préférant fermer les yeux sur les agissements de certains élèves qui se livrent à un bizutage sans merci sur les plus jeunes. C'est au milieu de cet enfer que Peter Davidek fait son entrée en première année. Il se lie avec Noah Stein, un garçon plein de ressources portant une mystérieuse cicatrice au visage, et la belle et fragile Lorelei, qui rêve d'entrer dans le clan très fermé des filles populaires. A trois, auront-ils une chance de survivre à ce système scolaire cruel où l'on entre innocent et dont on ressort en ayant fait de l'intimidation et de la brutalité un mode de vie ? Brutes est un roman d'apprentissage inversé, où les élèves découvrent qu'au lieu de chercher la maturité et la sagesse, mal tourner est le meilleur moyen de s'en sortir.

08/2015

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Théâtre - Pièces

Brutes

A partir de son histoire familiale et de son propre parcours d'émancipation personnelle, mais aussi nourri de son expérience d'artiste intervenant dans les prisons et les Centres d'Hébergement d'Urgence, Antony Quenet s'interroge sur ce que signifie être un homme à l'époque de #MeToo et sur la possibilité d'une réinvention de sa propre masculinité. Sur un mode tout à la fois intime et burlesque, et dans une forme de poésie crue qui fait la part belle à la musique et au travail du son, BRUTES bouscule les codes et embrasse les combats féministes dans un élan de tendresse radicale pour les hommes. Pièce écrite pour cinq comédiens

04/2023

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Sciences politiques

Le coeur de Brutus

Pour reprendre la fameuse formule d'Anacharsis Cloots, "Ni Marat, Ni Roland", la ligne directrice de cet essai sera : "Ni Soboul, Ni Furet". Le pari est fait que le temps est venu de proposer une lecture qui se tienne à l'écart des idéologies qui ont cours, soit l'identification du jacobinisme à une préfiguration du léninisme, soit la glorification de Thermidor. Autrement féconde nous apparaît l'approche de R. Bodei qui, dans La Géométrie des Passions, en confrontant le projet jacobin à Spinoza dévoile une nouvelle constellation dans laquelle le recours à la crainte et à l'espoir, loin de viser à l'asservissement du peuple travaille à sa libération. Aussi cet ouvrage aura-t-il pour ambition de "s'expliquer avec Saint-Just" en faisant de la question politique le lieu critique par excellence ? L'ouvrage comprend deux volets : l'un consacré à la philosophie politique de Saint-Just, l'autre à l'héroïsme et à sa prégnance dans l'agir révolutionnaire.

05/2019

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Décoration

Fabienne Delvigne. Sublimer par la différence

Des chapeaux à en perdre la tête ! Il est des artistes croisés au hasard d'un cocktail ou d'un dîner dont on ne saurait oublier le nom. Ma première rencontre avec Fabienne Delvigne fut avant tout marquée par un pimpant chapeau, flottant au beau milieu d'une réception donnée dans un bel hôtel de Bruxelles. De cette circonstance naquit une complicité puis, très vite, l'envie de retranscrire son univers unique à travers mes articles dans la presse, mais aussi par le biais de textes plus profonds, dans lesquels se dévoilerait sa véritable sensibilité artistique. L'idée de célébrer les trente années de création de la Maison Fabienne Delvigne fut le prétexte idéal pour lancer la rédaction de cet ouvrage aux multiples facettes. Un brin de malice, une imagination à foison, un zeste d'innovation, peut-être devrais-je dire d'audace, la gaîeté incarnée et surtout une belle dose de passion au service de clientes fidèles venues de toute l'Europe pour se faire chapeauter avec grâce. Voici brossé en quelques traits le portrait de cette délicieuse modiste. Perfectionniste jusqu'au bout des ciseaux, Fabienne ne laisse jamais rien au hasard et mène sa vie à cent à l'heure sans jamais se départir de son entrain. Entrepreneuse heureuse, équilibriste dans l'âme, elle jongle avec bonheur entre les moments consacrés à la création, confortablement installée dans sa jolie maison de maître bruxelloise où elle a aménagé son atelier boudoir, ses apparitions dans les cocktails et soirées mondaines où elle ne manque jamais une occasion de porter ses créations et sa vie de famille qu'elle n'entend surtout pas sacrifier. Femme de caractère, Fabienne souhaite sublimer la beauté de ses clientes par la différence. Elle sait apporter un regard rafraîchissant sur la mode, un regard libre et sensuel où la laideur ne trouve nulle grâce. Véritable ode à la belle esthétique, ses chapeaux aspirent à rendre le monde plus beau. Fabriqués selon des savoir-faire artisanaux, ils ne manquent cependant pas de surprendre par leur créativité et leur modernité. Portée par sa passion, elle relève tous les défis et réussit haut la main le pari audacieux de rendre l'objet désirable, indissociable de la personnalité et de la silhouette de la femme en redonnant sa part de rêve au port du chapeau. Entrer dans son atelier, c'est suspendre le temps et s'accorder un moment de pur plaisir artistique. Elle y crée des pièces uniques inspirées par les matières qu'elle travaille, sculpte et drape avec doigté jusqu'à trouver la forme parfaite, le bon coiffant ou l'équilibre absolu entre originalité et féminité. Ses élégants chapeaux s'exposent sur les longues étagères parmi les jolies boîtes rondes réalisées à façon. Un véritable enchantement pour les yeux, l'impression inestimable de retomber en enfance, de se rêver en princesse de conte de fées. Dans l'un de ses poèmes, Paul Eluard fait l'éloge d'une femme à travers la seule courbe de ses yeux, il aurait, à n'en point douter, été conquis par la vision artistique de Fabienne Delvigne où la courbe est reine. Tendance le chapeau ? Assurément ! Surtout lorsqu'il prend vie entre les mains de Fabienne ! Au fil des pages qui suivent, je vous laisse découvrir son parcours unique et passionnant. Catherine Seiler Journaliste, auteure

12/2019

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