Erre, erre

En résidence à l’Université Paul-Valéry Montpellier 3, l'auteur Fabrice Erre a décidé de retracer l'histoire de la maison d'édition 6 Pieds sous terre, fondée en 1991 à Montpellier par Jean-Philippe Garçon, Jean-Christophe Lopez et Jérôme Sié. Une exposition viendra rappeler et actualiser le travail fait pour l’ouvrage collectif L’Animal a vingt ans, en 2011.

D’ailleurs, il doit rire, et même pas sous cape, en racontant ton histoire, tant tu ne ressembles à rien, mon cher Félix.

Le livre «La venue de l'ère du surmental vers la mutation de l'être humain» retrace comment nous devrions être dans le contexte intellectuel qui devrait être le nôtre afin d'éviter inconsciemment d'être malade et aussi de vivre plus longtemps en étant en bonne santé.

De réduire, voire même de supprimer, certaines causes provoquant les difficultés sociales et économiques par une remise en cause de soi à travers les comportements analysés dans ce livre.

Ceci confirme cette constatation d'Albert Einstein : « La vérité doit être tellement simple qu'elle doit être à côté de nous, c'est pour cela que nous ne la voyons pas. »

La vérité n'est rien d'autre que l'évolution amenant la connaissance vers l'infini qui prouve le sectarisme mental dont l'être humain doit se défaire pour acquérir et développer le surmental par sa sortie du mental.

Afin de réduire la force de l'inconscient qui est en nous et contre nous, nous devons nous en libérer pour être plus heureux et vivre dans un monde meilleur.

Le surmental, qui permet ceci, facilite la compréhension du surnaturel par le naturel et développe les pouvoirs qui sont en nous.

Si vous voulez en savoir plus je vous invite sur : www.evolution-mental.com et d'écouter la vidéo de 2 minutes (La venue de l'ère du surmental vers la mutation de l'être humain).

Ce livre est actuellement publié par les éditions Du Net et se trouve aussi sur Amazon à la rubrique du livre : «la venue de l'ère du surmental». Il est aussi en librairie en caractère de police 12 pour être référencé sur le DILICOM.

Afin que cet ouvrage soit lu par le plus grand nombre, il est écrit avec une police 14 sur Bio-Naturel

Depuis trois ans, le magazine Digital Book World et Writer's Digest publie leur enquête annuelle sur l'évolution de la profession d'auteur aux États-Unis, notamment en termes d'expériences éditoriales et de revenus. Depuis décembre 2013, le principal constat des analystes était que les écrivains ne gagnent généralement que peu d'argent. Au moment de faire leur nouveau bilan en décembre dernier, ils se sont rendu compte que ceux qui s'en sortent le mieux seraient les auteurs cumulant édition traditionnelle et autopublication.

Une fois n’est pas coutume, ce billet n’a pas pour objectif de vous présenter une nouvelle lecture. Pourtant, il y a à faire en ce moment. Peut-être trop d’ailleurs. Trop de livres, trop d’auteurs ? La question se pose non ? 

A l'heure de l'hypermédiatisation, en tant qu'écrivain, se pose toujours la question de participer du phénomène ou, au contraire, de s'en abstraire par choix, en manière de revendication. C'est tout ce qui put opposer, en leur temps, les attitudes d'un Hugo, d'un Zola ou d'un Flaubert, rapporte Le Devoir.

BONNES FEUILLES -Dans cette série émouvante de poèmes en prose, Semezdin Mehmedinović partage son vécu durant le siège de Sarajevo, offrant aux lecteurs une perspective personnelle et touchante sur la guerre.

Erri DE LUCA Les poissons ne ferment pas les yeux

C'est finalement dans un éclair de lucidité que Raoul Cauvin, nommé hier directeur éditorial des éditions Sandawé, a décidé que ce travail n'était pas pour lui. Une journée aura suffi pour que le scénariste prenne mesure de l'ampleur de la tâche. 24 heures et un surmenage terrible, qui lui ont fait lancer vers les cieux, cet apophtegme implacable : « Plus jamais… Plus jamais… Il faut être fou pour être éditeur. »

Régulièrement, le romancier John Le Carré intervient dans la presse, pour raconter la vie des services d'espionnage. D'autres fois, c'est pour avertir charitablement le public des dangers que représentent lesdits services. Et dans le Telegraph, aujourd'hui, il souligne que les services secrets pourraient « devenir un péril aussi grand pour notre démocratie, que leurs supposés ennemis », s'ils ne sont pas mieux contrôlés. Charmant. 

Dans les premières années du XXe siècle, la famille Dayrolles a l’habitude de passer l’été dans une vieille maison sur une île de la côte vendéenne. C’est là que, jeune fille de presque quatorze ans, Camille, que tout le monde surnomme Criquet, retrouve, avec un bonheur à chaque fois renouvelé, ses vêtements élimés de garçonne pour courir, sauter, parcourir les plages, les rochers, la campagne en compagnie de son cousin Michel, chasser avec son arc les poulpes dans les creux d’eau, profiter de ces moments privilégiés de liberté et de vacances.

Hamlet... affligeante créature dépassée par les événements, devenu fou à force de parler à des crânes, capable de tuer le père de sa promise... Désespérant. D'ailleurs, s'il était donné de pouvoir intervenir dans l'histoire, que ne lui ferait-on pas faire, à ce Hamlet. D'abord, un grand coup de pied dans le postérieur, pour le remuer un peu !

Être lesbienne ou ne pas être libanaise, telle est la question

J’ai le plaisir de vous annoncer la publication mon livre de poésie « entre terre et ciel » : une évasion dans le monde et un temps de réflexion sur nous.

Ils sont nombreux les déçus de la révolution en Tunisie. Si certains continuent de faire entendre leur refus de la situation actuelle du pays par des manifestations, d'autres prennent la plume. C'est le cas de la poétesse Shams Radhuouani Abdi  qui, par ses poèmes, exprime  sa critique de la dérive politique de son pays, rapporte Courrier International, reprenant un article paru le 9 décembre 2013 dans Your Middle East Stockholm.

Amy Kathleen RyanGlow - Mission Nouvelle Terre

Michel HonakerLe Chevalier de Terre NoireStepan Tchakarov

« Un an, c’est long, surtout quand les sondages sont défavorables », répétait encore un président sur le départ. Un an d’amour avec Antoine Chereau, ça passe vite : heureusement, il y eut gâteaux et bougies, fête et bulles. Tout cela fut dignement célébré. 

ROMAN FRANCOPHONE - « Le duende ne vient pas s’il ne voit pas de possibilité de mort, s’il n’est pas sûr qu’elle va rôder autour de la maison, s’il n’est pas certain qu’elle va secouer ces branches que nous portons tous et que l’on ne peut pas, que l’on ne pourra jamais consoler. […] L’ange et la muse s’échappent avec un violon ou un compas, mais le duende vous blesse ». Ce duende dont parle Garcia Lorca (Jeu et Théorie du duende, éditions Allia), à la fois don, feu sacré, sortilège et démon, intraduisible en français, est au cœur du très beau roman de Marie Charrel, Les Danseurs de l’aube (éditions de L’Observatoire), en lice pour le prix de l’Instant. 

Fondatrice et Présidente de KAZoART.com, plateforme de promotion des artistes émergents, Mathilde Le Roy vient de diffuser une tribune, dénonçant l’état grave dans lequel les créateurs se trouvent aujourd’hui. Si la vie d’artiste fait rêver, elle porte également son lot de difficultés, souvent totalement ignorées du grand public. L’art contemporain, qu’il s’agisse d’écriture, de dessin, de sculpture ou de photos, et bien d’autres, souffre évidemment d’une crise protéiforme. Son analyse participe d’une réflexion plus globale, permettant à chacun de mieux mesurer l’ampleur de cette crise.

Pour lire, pas besoin d'être une lumière, juste d'être éclairé

L'acteur anglais Riz Ahmed, récemment primé aux Emmys, vient de passer un accord avec Netflix pour un rôle dans une adaptation contemporaine d'Hamlet que la plateforme américaine va produire et diffuser. « Être ou ne pas être », telle n'est plus la question de Riz Ahmed pour ce rôle shakespearien qu'il déclare préparer depuis des années.

La vie de William Shakespeare est bien mystérieuse – a-t-il même réellement existé ? –, et ce qui l'a inspiré pour l'écriture de ses pièces aussi. Deux auteurs ont décidé d'enquêter grâce à un logiciel de plagiat habituellement utilisé par les professeurs d'université. Selon eux, un manuscrit jamais publié aurait inspiré pas moins de onze pièces du Barde de Stratford.

D'un commun accord, bien que personne n'estime nécessaire de revendiquer l'expression, l'an passé, l'accréditation des auteurs au Salon du livre de Paris avait fait grand bruit. « On a connu de gros problèmes, l'année dernière », nous rappelle-t-on. Il est vrai que la Charte, le Grill et le SNAC BD avaient frappé fort dans une lettre ouverte interpellant le commissaire général, Bertrand Morisset. 

Le magazine Capital vient de publier sa traditionnelle enquête sur les plus gros revenus perçus par les Français. Dans ce numéro de mars 2017 le dossier intitulé « Les Français les mieux payés » ne met pas seulement en avant les grandes fortunes et autres patrons du CAC 40 mais s'intéresse aussi au secteur culturel.

Question de société des plus brûlantes, l'accueil des réfugiés, désignés sous le terme « migrants », occupe de plus en plus d'espace médiatique, et cela ne devrait pas changer dans les prochaines années, tant en raison des conflits que des bouleversements climatiques. L'Association des Bibliothécaires de France évoque le sujet au coeur d'une conférence de son congrès annuel.

ROMAN FRANCOPHONE – Revoir Marceau de Romain Meynier est un premier roman à la fraîcheur préservée et qui fait preuve d’une élégante étrangeté. C’est l’histoire d’un homme en vacances en Lozère que sa femme, la veille de leur retour à Paris, décide de quitter en l’enfermant à double tour dans la maison de campagne. Elle ne lui laisse ni clés ni explications. 

Depuis 2019, Livre et lecture en Bretagne, observatoire régional pour la filière du livre, publie chaque année les chiffres clés du livre et de la lecture en Bretagne administrative (auteurs, manifestations littéraires, édition, librairies, bibliothèques et espaces "Facile à lire"). Les Chiffres clés 2021 viennent de paraître.