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En un mot comme en mille

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Dossier

Lire en Poche 2022 : Un autre monde

Rendez-vous incontournable de la rentrée littéraire, Lire en Poche, organisé par la ville de Gradignan, accueille près de 27.000 visiteurs et plus de 100 auteurs, dont un tiers d’auteurs jeunesse qui rencontre son public également dans le cadre scolaire. L'édition 2022 se déroule du 7 au 9 octobre.

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Dossier

Livres et jeux éducatifs : My Bulle Toys, un libraire en Floride

La librairie My Bulle Toys, située près de Miami, propose une sélection de livres et de jeux éducatifs pour enfants en français. Nicolas Pacaud, le propriétaire de la librairie, a choisi d'ouvrir cette boutique en raison de sa passion pour la littérature jeunesse et les jouets pour enfants. 

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Les mots en boite : le livre et ses secrets de cuisine

Capter l’information au mieux, donner la parole aux professionnels, de sorte qu’ils puissent raconter, expliquer, commenter : voilà tout l’enjeu de cette nouvelle émission. Dans la lignée des podcasts réunissant interviews ou chroniques d’albums jeunesse, avec Vois Lis Voix Là, ActuaLitté poursuit son exploration des territoires médiatiques avec la voix. Les Mots en boîte.

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Dossier

Futurs de Liu Cixin : un avenir terrifiant, décliné en quinze aventures

Lauréat du prix Hugo, Liu Cixin est considéré comme l'un des plus grands écrivains de science-fiction contemporaine. Son œuvre, vendue à des millions d’exemplaires dans le monde entier et déjà adaptée à l’écran, est notée en moyenne 4,11/5 sur Babelio par plus de 2000 lecteurs et lectrices. 

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Dossier

Auteurs sans éditeurs, éditeurs sans auteurs ? Un podcast en 4 épisodes

Auteurs sans éditeurs ? Éditeurs sans auteurs ? Toute ressemblance avec un article ou un livre déjà paru n’est pas fortuite. D’ailleurs, le papier de Jérôme Lindon n’a pas pris une ride depuis 1998. Arrêtons-nous un instant sur sa conclusion dans les colonnes du monde : « [La] transformation du paysage de l’édition tend inévitablement à priver de toutes chances d’être lues, et par conséquent d’être publiées, les nouveautés d’exception qui ne répondent pas aux critères de valeurs en vigueur au moment où elles voient le jour. Mais qui remarque l’absence d’un auteur inconnu ? »

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Dossier

En 2024, Montmorillon met Cécile Coulon et Timothée de Fombelle à l'honneur

Le Festival du livre de Montmorillon fait son retour du 7 au 9 juin 2024. Depuis plus de 30 ans, le Festival du Livre invite personnalités du monde littéraire, lecteurs avertis et amateurs de tout âge et de tout milieu dans cette charmante ville de la Vienne pour trois jours consacrés à la littérature d’ici et d’ailleurs.

Extraits

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Littérature étrangère

En un mot comme en mille

Qu'est-ce qui précipite Yang Baishun sur les routes du Henan, loin de chez lui ? La colère qui le saisit à la révélation que son père l'a voué, lui, le plus doué de la fratrie, au petit commerce familial de tofu, tandis que ses frères sont promis à la rencontre du vaste monde. Qu'est-ce qui motive Niu Aiguo à s'engager à dix-huit ans dans l'armée de terre quitte à rester cantonné dans le désert de Gobi ? Le désir d'apprendre à conduire, de devenir chauffeur de camion un métier qui lui permet, rendu à la vie civile, de sillonner la Chine, à l'aventure. Un lien unit ces deux hommes que les époques et les lieux séparent. En un mot comme en mille se présente comme un aller et retour entre leurs histoires parallèles et pourtant différentes, à soixante ans d'intervalle. Liu Zhenyun y explore le sentiment de solitude, si difficile à supporter pour un Chinois. Car ouvrir son coeur à quelqu'un n'est pas chose aisée dans une société fondée sur des pratiques communautaires qui gomment ce sentiment universel. A travers une galerie de portraits, de personnages typés de la province du Henan dont on saisit peu à peu les relations et les interactions, les peines et les joies, Liu Zhenyun met en scène l'influence des mots des uns sur l'existence des autres. Au-delà de la satire, il livre une réflexion sur la vie quotidienne en Chine. Renouant avec le style des grandes fresques, il signe là l'ouvre maîtresse de sa maturité.

10/2013

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Littérature française

Carnets. En un mot comme en quatre

Samuel Taylor Coleridge a commencé à tenir un carnet de notes en 1794 dans sa vingt deuxième année, lors d'une randonnée au Pays de Galles. Il devait en garder l'habitude quarante ans durant, jusqu'aux dernières semaines de sa vie. Ces carnets, le poète les qualifia lui-même de "carnets de poche" , de "confidents" , "d'amis" ou de "compagnons" . C'est dire le rôle et l'importance que ces notations au fil de la plume revêtent pour celui qui dit encore de ces "confidents" qu'ils sont sans doute les seuls qui ne "l'ont point trahi" et de ces "compagnons" que devant eux il n'avait "pas honte de se plaindre, de languir, de pleurer". Ces Carnets constituent une masse considérable de manuscrits, Coleridge tenant simultanément plusieurs carnets, parfois sans date, parfois entrecoupés de pages blanches que le poète remplissait parfois après de longues années. Mais la vitalité de cette pensée, l'acuité de l'observation font de cet ensemble bien davantage qu'une simple introduction à l'oeuvre poétique de l'auteur du Dit du Vieux marin. Il suffit de feuilleter les Carnets, dans la merveilleuse traduction de Pierre Leyris, pour être saisi par l'urgence poétique de cette écriture : "Mardi matin, 10heures et demi, 17 avril 1804 : La nuit dernière, bourrasques, ballottements sans merci, mes rêves pleins de peine et de larmes amères". Puis : "Souvent il pleurait dans soin sommeil et il s'éveillait pour trouver/Son oreiller, sous sa joue, froid de larmes/Et pour trouver ses rêves/Si fidèles au passé, ou si prophétiques". Décrire un ciel, une lumière, un arbre, c'est à la fois apaiser la fièvre de la pensée et lui donner une direction. Les Carnets sont l'expression même de l'incandescence d'une pensée qui donnera par la suite les poèmes les plus bouleversants. Suivis de "En un mot comme en quatre" par Antonin Artaud (1896 - 1948) "En un mot comme en quatre, Samuel Taylor Coleridge, comme un certain nombre de poètes notoires à qui comme à lui il fut ordonné de se taire par tels moyens de brimade occulte auxquels il serait temps enfin d'apprendre à résister, Coleridge, dis-je, avait eu vent d'une vérité qu'il n'a pu transmettre à personne et qu'il n'a pu faire passer dans ses poèmes que de très loin (...)" Ainsi commence cet étonnant commentaire des Carnets par Artaud, en 1947, lequel poursuit un peu plus loin : "Car ce qui reste de Coleridge dans ses poèmes est encore moins que ce qui de lui-même est resté dans sa propre vie". Ces quelques lignes disent assez la proximité profonde, intime, presque indicible en réalité, qui, à un siècle distance, lie Coleridge à Antonin Artaud. Peu de temps après le retour d'Antonin Artaud de Rodez, Henri Parisot lui demanda d'écrire une préface pour une traduction qu'il préparait de poèmes de Coleridge. Entre juillet et octobre 1946, Antonin Artaud entreprit à plusieurs reprises d'écrire cette préface sans parvenir à un texte qui le satisfasse. Finalement il envoya en novembre un texte à Henri Parisot sous forme de lettre à laquelle il donna le titre de "Coleridge le traitre". Texte sur lequel Artaud pratiqua par la suite nombreuses corrections manuscrites. Ecrit en juin 1947, au moment où il apportait les derniers remaniements de son texte, le dernier fragment présenté ici, constitue vraisemblablement l'un de ces adendas. Les deux oeuvres ont été publiées ensemble dans la revue L'Ephémère (n° 17) à l'été 1971.

03/2024

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Littérature française

Un homme comme moi

Un mari odieux cristallise sur sa femme tout son ressentiment d'homme raté qui n'a trouvé sa place ni dans la société, ni dans son couple. Il cultive d'autant mieux sa haine envers sa femme que celle-ci est brillante et épanouie dans sa vie sociale. Et surtout, elle est amoureuse. Dans Un homme comme moi, Nicole Sigal fait le choix très provocateur du monologue intérieur pour raconter la violence conjugale du point de vue de l'agresseur. Le lecteur partage jusqu'au malaise l'errance de cet homme ambivalent qui se montre tour à tour touchant, sarcastique, pitoyable, insupportable. Ce tour de force narratif interroge la violence dans le couple sous sa forme verbale et physique, qu'elle soit le fait d'un homme ou celui d'une femme car le choix du sexe n'est ici qu'une modalité. Nicole Sigal décrypte avec subtilité et intelligence le phénomène de l'emprise, la manière dont le couple y fait système jusqu'à l'inconcevable : la permanence du lien amoureux.

10/2021

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Littérature française

Mille et un jours en Tartarie

Sept femmes autour d'une table bien garnie célèbrent la "Journée des femmes". Parmi elles, Lyane, la narratrice, seule Française dans le groupe... Nous sommes à Tachkent, capitale de l'Ouzbékistan (ancienne Tartarie, comme on désignait autrefois cette Asie centrale lointaine et mystérieuse), le 8 mars 2014. Sous forme d'interviews et de récits croisés ou emboîtés, un peu à la manière des Contes des Mille et une nuits, Lyane Guillaume nous entraîne dans une fresque multicolore à la suite de ces femmes d'aujourd'hui ou d'hier, anonymes ou célèbres, humbles ou puissantes, qui ont marqué et continuent de marquer l'Ouzbékistan de leur empreinte. Des harems de la Route de la Soie (Samarcande, Boukhara) aux business women actuelles, de Bibi, épouse du redoutable Tamerlan, à Rano, mariée contre son gré à son cousin, en passant par Tamara Khanoum, première danseuse ouzbèke à se produire sur scène, ou encore Sayora, médecin de campagne sur les rives de la mer d'Aral, à la recherche de son fils radicalisé, c'est toute la réalité riche et complexe de l'Ouzbékistan - terre d'Islam mais aussi ex-république soviétique - qui se révèle à travers ces voix féminines. Tour à tour épique, bouleversant, drôle, coloré, pimenté, en tout cas savoureux comme la cuisine ouzbèke, ce récit à sept voix sur les femmes d'Ouzbékistan est à la fois un livre d'histoires et un livre d'Histoire.

02/2017

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Connaissance de soi

Y a comme un vide en moi

Achats compulsifs, dépendance à l'alcool, addiction aux technologies et aux réseaux sociaux, incapacité à tolérer la solitude... La pandémie aura jeté une lumière sur ces comportements qui traduisent dans le quotidien notre sentiment de vide intérieur. Puisant dans ses propres expériences, la psychologue Julie Desrosiers refuse l'approche " pathologisante " que l'on retrouve dans plusieurs écrits, privilégiant plutôt l'acceptation d'une émotion, en particulier dans le contexte de crises individuelles ou collectives. Son livre est un guide d'autogestion accompagné dans lequel chacun trouvera écho à ses épreuves dans les témoignages illustrant diverses facettes du sentiment de vide. Le lecteur pourra développer ainsi un dialogue avec lui-même basé sur l'autocompassion.

10/2021

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12 ans et +

Comme un homme

Court toujours, une collection de romans courts à lire ou à écouter en moins d'une heure. Il était parti dès qu'il avait su, mû par un instinct animal. Juste se protéger du froid, juste saisir la carabine de chasse au passage, et juste une pensée en tête. Je vais le tuer. Au terme d'un voyage semé d'embûches, Ethan remontera le fil de son histoire personnelle et familiale. Quand on veut, où l'on veut ! 1 roman, 3 versions. Avec ce livre, vous pouvez écouter la version audio et lire la version numérique gratuitement via l'appli Nathan Live. Des récits initiatiques intenses et percutants, qui racontent un moment-charnière de la vie d'un ou d'une ado d'aujourd'hui.

09/2020

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