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Ecrits sur la musique

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La musique dans tous ses états

Le chant, le rythme, les sons, la mélodie, l’harmonie... La musique est le plus magique des arts. Là nulle rationalisation, aucun mensonge du discours. Certes la poésie doit atteindre à la musique, mais n’est-ce pas là bien la preuve d’une supériorité ? Une autre occasion où le texte rejoint l'art musical, c’est quand de grands musicologues ou mélomanes nous en décryptent les subtilités ou nous en racontent les histoires.

 

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Poésie, musique et légendes : découvrir l'Afrique

Continent exploité des siècles durant, berceau de l’humanité, mais également terre de mystères et de fascination : l’Afrique, complexe et plurielle, offre au lecteur mille raisons de s’émerveiller. Et peut-être autant de prendre conscience de ce que la civilisation occidentale a pu exercer d’influence et de dégâts. Voici dix ouvrages, sans prétention à l’exhaustivité, pour aborder ces mondes, autrement.

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Profession : agent littéraire, un métier mal connu

L’agent littéraire est une personne chargée de représenter les écrivains et leurs œuvres écrites auprès des éditeurs, des producteurs de théâtre et des producteurs audiovisuels. Il accompagne ses auteurs sur un plan juridique, financier et artistique, et veille sur leurs intérêts.  

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Festival des Littératures européennes de Cognac 2021

Cette année, le LEC Festival nous emmène sur « la route du Danube », chère à Emmanuel Ruben. Éloignés des lecteurs depuis longtemps, la tentation de l’ailleurs a été forte. Que ce fleuve soit un pont entre nous et les peuples qui le bordent ! Stephan Zweig montre dans Le Monde d’hier combien nos destins sont liés. Les invités nous raconteront l’Histoire et des histoires, ils nous inviteront à écouter leur musique.

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La collection de livres audio chez Actes Sud

AUDIOLIVRE – La lecture à haute voix, par les auteurs ou par les comédiens, fait depuis longtemps partie de la culture d’Actes Sud. Au-delà du livre imprimé, il s’agit de continuer à servir les textes, de les faire découvrir sous une autre forme, celle de l’oralité.

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De l'écriture à la promotion, les auteurs se professionnalisent

Mis sur pied en 2017 par la Fondation pour l’Ecrit (FPEC), le programme destiné aux auteurs en début de carrière « De l’écriture à la promotion » a pour vocation d’offrir à ces jeunes plumes un aperçu complet des métiers du livre, un réseau, des témoignages de professionnels, ainsi qu’une connaissance du milieu littéraire et de la chaîne du livre.

Extraits

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Musique, danse

Ecrits sur la musique

Emile Zola n'est guère réputé pour sa mélomanie, et il ne s'est lui-même pas privé d'ironiser sur sa supposée ignorance en matière musicale. Pour autant, il est indéniable que sa plume fut souvent virulente à l'encontre de la musique en vogue : Offenbach et l'opérette, genre alors très couru, en furent les victimes régulières, pour la raison que, selon lui, celle-ci est le symbole même de la corruption politique, financière et morale du Second Empire. Zola se méfiait aussi du grand Opéra, car il établissait une séparation nette entre la littérature et la musique : alors que la première réclame de ses lecteurs de la réflexion et une attention soutenue, la seconde se contenterait d'une écoute superficielle, car elle ne parlerait qu'aux sens, et non à la raison. L'auteur de Germinal s'en prenait en outre à une certaine forme de romantisme frelaté, faite d'idéalisme souffreteux et de mièvrerie, véhiculée par les oeuvrettes alors à la mode dans les salons. Son jugement semble sans appel. Pourtant, tout n'est pas si simple... Zola sera notamment un fervent partisan de Wagner, Verdi, Bizet ou encore Berlioz ; et, à partir de 1888, il mènera une fructueuse collaboration artistique avec Alfred Bruneau, imprimant à sa carrière une orientation nouvelle. Même s'il prétendait ne rien connaître à la musique, ses écrits témoignent du contraire : les textes que nous réunissons ici une centaine d'articles de critiques qu'il a livrés à la presse entre 1865 et 1897, ainsi que plusieurs entretiens donnés dans les années 1890 comportent maintes références à des compositeurs et à des oeuvres musicales. Corrigeant l'image d'un homme réfractaire à l'art d'Euterpe, ces documents donnent à voir la richesse des goûts et des conceptions musicales de Zola.

04/2013

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Musique, danse

Ecrits sur la musique

Ce livre rassemble des écrits de Wagner (Beethoven, suivi d'Une communication à mes amis et de Lettre sur la musique) devenus introuvables. Tout d'abord, les textes qu'il a consacrés à Beethoven, le grand intercesseur, entre 1840 et 1870, et publiés en français en 1937, dans une traduction de Jean-Louis Crémieux-Brilhac. Et puis, paru en 1976, traduit et préfacé par Jean Launay, Une communication à mes amis, le texte de présentation de ses trois grands opéras d'avant la Tétralogie : Le Vaisseau fantôme, Tannhäuser et Lohengrin. En 1851, âgé de trente-huit ans, le compositeur y définit sa conception du drame musical, qu'il oppose à l'opéra, à travers le récit de son propre itinéraire et une vision très juste de son avenir musical, notamment de L'Anneau du Nibelung. A ces textes s'ajoute enfin l'important Lettre sur la musique, traduit en 1860 par Challemel-Lacour, que Wagner avait connu dans leur exil en Suisse, et qui fut longtemps, en France, l'unique accès aux écrits théoriques de Wagner, écrivain prolifique qui n'a jamais vraiment séparé le théorique de l'autobiographique.

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Musique, danse

Ecrits sur la musique

Ce livre rassemble des écrits de Wagner (Beethoven, suivi d'Une communication à mes amis et de Lettre sur la musique) devenus introuvables. Tout d'abord, les textes qu'il a consacrés à Beethoven, le grand intercesseur, entre 1840 et 1870, et publiés en français en 1937, dans une traduction de Jean-Louis Crémieux-Brilhac. Et puis, paru en 1976, traduit et préfacé par Jean Launay, Une communication à mes amis, le texte de présentation de ses trois grands opéras d'avant la Tétralogie : Le Vaisseau fantôme, Tannhäuser et Lohengrin. En 1851, âgé de trente-huit ans, le compositeur y définit sa conception du drame musical, qu'il oppose à l'opéra, à travers le récit de son propre itinéraire et une vision très juste de son avenir musical, notamment de L'Anneau du Nibelung. A ces textes s'ajoute enfin l'important Lettre sur la musique, traduit en 1860 par Challemel-Lacour, que Wagner avait connu dans leur exil en Suisse, et qui fut longtemps, en France, l'unique accès aux écrits théoriques de Wagner, écrivain prolifique qui n'a jamais vraiment séparé le théorique de l'autobiographique.

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Histoire de la philosophie

Ecrits sur la musique

Ce livre rassemble des écrits de Wagner (Beethoven, suivi d'Une communication à mes amis et de Lettre sur la musique) devenus introuvables. Tout d'abord, les textes qu'il a consacrés à Beethoven, le grand intercesseur, entre 1840 et 1870, et publiés en français en 1937, dans une traduction de Jean-Louis Crémieux-Brilhac. Et puis, paru en 1976, traduit et préfacé par Jean Launay, Une communication à mes amis, le texte de présentation de ses trois grands opéras d'avant la Tétralogie : Le Vaisseau fantôme, Tannhäuser et Lohengrin. En 1851, âgé de trente-huit ans, le compositeur y définit sa conception du drame musical, qu'il oppose à l'opéra, à travers le récit de son propre itinéraire et une vision très juste de son avenir musical, notamment de L'Anneau du Nibelung. A ces textes s'ajoute enfin l'important Lettre sur la musique, traduit en 1860 par Challemel-Lacour, que Wagner avait connu dans leur exil en Suisse, et qui fut longtemps, en France, l'unique accès aux écrits théoriques de Wagner, écrivain prolifique qui n'a jamais vraiment séparé le théorique de l'autobiographique.

11/2013

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Musique, danse

Ecrits sur la musique

Avec Camille Saint-Saëns, Claude Debussy et quelques autres, Paul Dukas (186ç-1935) compte assurément parmi les grands compositeurs français qui, dans le sillage d'Hector Berlioz, se sont aussi illustrés comme critiques musicaux. D'une immense érudition, l'auteur d'Ariane et Barbe-Bleue, de L'Apprenti sorcier et de La Péri signe entre 1892 et 1932 près de quatre-cents articles où brillent une finesse d'observation peu commune ainsi qu'une profondeur d'analyse qui ne dédaigne cependant ni la polémique, ni l'ironie parfois grinçante. Tour à tour, Dukas se fait témoin, acteur ou théoricien des bouleversements esthétiques et institutionnels qui ont jalonné le tournant des XIXe et XXe siècles, depuis l'essor du wagnérisme, du vérisme ou de l'impressionnisme musical jusqu'aux réformes de l'Opéra et du Conservatoire de Paris (où il enseignera tardivement la composition), sans oublier la redécouverte des musiques anciennes, des folklores régionaux ou encore des musiques extra-européennes. Surtout, il écrit "en compositeur", dévoilant ainsi, entre les lignes, nombre de conceptions et d'idées personnelles qui permettent alors de cerner le créateur au plus près. Cette nouvelle édition en deux volumes, introduite et annotée, propose une sélection de quelque cent-trente textes représentatifs, dont la moitié g restait jusqu'à présent inédite en recueil. Le second volume est complété d'une chronologie et d'une bibliographie complète des écrits de Paul Dukas.

07/2019

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Musique, danse

Fixer la liberté ? Ecrits sur la musique

Wolfgang Rihm, né en 1952, est l'un des compositeurs les plus importants de la scène musicale actuelle, et sans conteste l'un des plus prolifiques. Il a été perçu, dès ses débuts, comme un représentant majeur du courant de la "Nouvelle simplicité", puis comme le musicien typique de l'ère postmoderne, deux étiquettes qu'il réfute de façon virulente dans ses textes. Tout en affirmant une entière liberté vis-à-vis du matériau, du style et des références historiques, Rihm a développé une pensée radicale. Dans ses textes, qui accompagnent et qui éclairent son travail de compositeur, il manie avec virtuosité les paradoxes et les retournements dialectiques, combattant les idées reçues comme les positions dogmatiques. Il y réfléchit notamment à la position sociale du musicien, aux formes de l'engagement éthique, au sens même de la musique, qualifiée d'art "sensuel", et revendique une indépendance qui permette au désir de création de s'affirmer sans entraves. Ses réflexions i se situent presque exclusivement dans le domaine de l'esthétique, le compositeur renonçant aux explications techniques et aux analyses qui avaient caractérisé le discours sur la musique dans les années d'après-guerre ; elles cherchent moins à fixer des notions ou des positions qu'à mettre en question les évidences présumées et à dégager un espace pour l'imagination. Elles illustrent la situation du musicien actuel, à la recherche d'une nouvelle synthèse entre les formes héritées de la "monstrueuse euphorie du modernisme" et celles que la modernité a rejetées.

01/2014

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