Dictionnaire ou Traité de la police générale des villes, bourgs, paroisses

Je ne surprendrai personne en expliquant que mon enfance fut plus souvent bercée par le ballon con (celui qui rebondit en se foutant de ta gue*le), plus que par celui rond dans lequel on met de grands coups de tatanes. L’inclinaison personnelle me conduisit à me prendre pour Michaël Jordan par la suite, convaincu que # IBelieveICanFly…

Donc, celui à qui je dois ce dictionnaire amoureux peut raisonnablement considérer que je l’aime au point de dépasser l’aversion que j’éprouve pour les pousse-citrouilles.

Et cette même affection, mue par la curiosité tout de même de comprendre, fait ouvrir le livre – dont on regrettera juste que la préface signée Michel Platini ne soit pas explicitement signalée dès la couverture : je suis convaincu qu’il y a des aficionados pour qui cela compte.

Parce qu’en réalité, quand on est amoureux, on ne demande pas aux autres de comprendre les motifs de cet élan : on les expose. Et qu’il n’existe pas d’amour, mais des preuves d’amour. Et qu’à ce titre, le boulot abattu par Vincent Duluc va au-delà de la preuve : ce journaliste sportif (et romancier) a pour le ballon rond un respect mêlé de passion. La combinaison est terrifiante : loin d’être changé en missionnaire, il se meut en pédagogue, multipliant anecdote et histoire.

Et un peu à la manière de cette part de gâteau que l’on prend malgré le banquet qui a précédé, on tourne les pages, intrigué, amusé, parfois (pour le profane que je suis) avec un vague souvenir de quelque chose…

Le football, sport le plus simple à pratiquer (les poteaux de but en blouson…) est aussi celui qui mobilise la planète entière. Et plus encore quand il s’agit d’un événement aussi mobilisateur (encore que celui qui approche, au Qatar, me sorte définitivement par les yeux…).

Avec ses travers financiers, ses joueurs qui refusent le char à voile pour se déplacer et bien d’autres. Mais entre deux pages, même le réfractaire que je suis se dit : « C’est aussi de la culture. Et c’est très loin d’être à rejeter en bloc, imbécile. »

D’un point de vue philosophique, l’idée de Dieu apparaît comme le point culminant de la synthèse métaphysique. Mais est-il possible de démontrer l’existence de Dieu qui est la base de toutes les vérités des croyants ? Est-ce nécessaire ? Ce que l’auteur souhaite démontrer ici, c’est que l’homme est capable de connaître Dieu, indépendamment de la Révélation. Comment ? Tout simplement au moyen de la raison. La théologie philosophique a toujours affirmé la possibilité d’une connaissance rationnelle de l’existence de Dieu.

En fait, la véritable question est : y a-t-il, après tout, assez de raisons de concevoir l’existence de Dieu ? Le traité de théologie philosophique que nous présentons ici propose une réponse à cette question. Par ailleurs, les grandes questions philosophiques ne peuvent éluder la question de l’existence de Dieu. C’est même à vrai dire la seule question qui intéresse la démarche ontologicométaphysique.

La métaphysique empêche justement la raison de se refermer sur elle-même, elle est une fenêtre ouverte sur le mystère du réel. Cependant, si la raison peut connaître Dieu, elle ne peut le connaître que du dehors, extérieurement, objectivement, mais jamais la raison ne sera capable de connaître Dieu correctement, pleinement. Il est vrai que l’essence de Dieu dépasse notre intelligence et reste ignorée de nous. Cela signifie également qu’un Dieu qui serait entièrement intelligible à l’homme ne serait sûrement pas le vrai Dieu. 

Dans le Traité de la connaissabilité de Dieu, Paul-Emmanuel Stradda expose douze « arguments », ouverts, réfléchis et concordants, en faveur de l’existence de Dieu, principe et fin de toutes choses. Bien entendu, le mot « argument » n’est pas employé dans le sens formel ou mathématique, mais dans le sens de la réflexion et du raisonnement philosophique. Il suppose donc la valeur de l’abstraction intellectuelle et requiert tout un raisonnement sur le possible.

Paul-Emmanuel Stradda (pseudonyme) est un universitaire poly-diplômé : Marketing, Sciences du travail et Développent social, Management public et Management des Institutions de Soins et de Santé (Ecole de Commerce Solvay à Bruxelles). Habité par la passion de la philosophie au sens large, et plus particulièrement de métaphysique, l’auteur propose de mettre en relief toute la richesse de la métaphysique et sa profondeur, de souligner toute son importance et sa pertinence pour la pensée philosophique comme pour la culture dans son ensemble. 

Il fait froid en ce moment, non ? ne se lancent pas dans la météo, mais une petite actu nous a bien amusés aujourd'hui.

Alors que dans certaines régions des États-Unis, les températures descendent aux alentours de -20°, dans le centre du pays, au Kentucky, la police a émis un avis de recherche contre… la Reine des neiges !

C'est sur leur profil Facebook qu'elle a laissé ce message : Le HPD (ndlr : Harlan City Police Department) a délivré un mandat d'arrêt contre la Reine Elsa d'Arendelle. La suspecte est une femme blonde. Elle a été vue la dernière fois vêtue d'une robe longue bleue et est connue pour chanter à tout bout de champ « Libérée, Délivrée ! ». Comme vous pouvez le voir grâce à la météo, elle est très dangereuse. Ne tentez pas de l'arrêter par vous même…

La Police de Harlan, quelques heures plus tard, voyant ce message partagé plus de 350 fois, a écrit un nouveau statut en disant qu'il ne pensait pas que leur petite blague allait avoir un tel succès. Elle en a profité pour rappeler les précautions à faire par ces glaciales températures.

La Reine des neiges est décidément une source bien inspirante, en effet, relève le site 20 minutes, le directeur d'une école privée de Providence dans l'État du Rhode Island à posté une vidéo, il y a quelques jours, en chantant lui même l'air de la célèbre chanson, pour annoncer à ses élèves qu'à cause du blizzard, l'école était fermée. Avec plus de 1,3 million de vues sur YouTube, le message n'est pas passé inaperçu…

Il parodie «La Reine des Neiges» pour annoncer...par 20Minutes

En ce qui concerne la vraie Reine des neiges, les fans pourront là retrouver en 2016 dans la suite du premier film qui a quand même rapporté la modique somme de 1,3 milliard de dollars dans le monde entier. En attendant, un court métrage diffusé avant Cendrillon(qui sortira le 25 mars 2015), La Reine des neiges - Une fête givrée, devrait ravir les plus impatients

© The Walt Disney Company France

« C'est l'anniversaire d'Anna, et Elsa et Kristoff sont décidés à lui offrir la plus belle fête dont on puisse rêver, mais les pouvoirs "glaçants" d'Elsa pourraient bien provoquer une catastrophe… »

Glaçant, non ?

Il faut bien avouer que les températures actuelles sont une réelle invitation au voyage et c’est précisément ce que vous ferez en picorant dans ce grand petit dictionnaire insolite du Brésil qui vient de sortir aux éditions Cosmopole;

Izabella Borges vous entraîne à la visite de ce pays continent où se côtoient les mégalopoles et la nature la plus sauvage. Un pays où la diversité culturelle est à l’image de sa grande histoire. Un pays dont on ignore pas les problèmes et les blessures profondes mais où une danse peut résoudre beaucoup.

Ce petit livre vous donne envie de grignoter des tira-gosto avec de bons amis et des rencontres fortuites et ça #actualitteaime ! 

Le brigadier-chef Marc Bardelang menait hier une campagne de sensibilisation et de réflexes à adopter face à une agression. Parler. Toujours parler... Un élève l'interrompt : « Mais s'il nous menace : "Ne dis rien sinon je te tue" ? » Marc ne se dégonfle pas : « En vous le disant, le racketteur avoue qu'il a peur, peur de votre parole. »

Au lycée Jacques-Decour, dans le 9e arrondissement, les élèves ont ainsi eu droit à des cours de mise en situation pour se préparer pacifiquement à toute agression. En trois temps. Crier « au secours », ne pas céder « pour déstabiliser l'agresseur » et prendre la fuite, « car plus le racket dure longtemps, plus la victime est tétanisée ».

Les uns comme les autres doivent s'interroger, plonger dans leur expérience personnelle ou revivre des situations semblables. Pour Antoine, la leçon est comprise : « Pratique, on sait comment réagir. », mais Camille privilégie l'aspect psychologique : « Si ça arrive quand même, il faut tout de suite en parler pour ne pas être traumatisé. »

On le sait, l'agression est plus marquante que ce qui a été dérobé et le brigadier acquiesce : « Toutes proportions gardées, le traumatisme rappelle celui que l'on observe pour les victimes d'agressions sexuelles. Honteux de ne pas avoir résisté, le racketté tait l'événement et encourage le racketteur à repasser à l'acte. »

Chaque fois qu'il vient présenter son cours, il laisse son numéro de téléphone. Et se réjouit, quand on l'appelle pour lui dire que ça a marché.