Recherche

Dans le bleu de tes yeux

Extraits

ActuaLitté

Non classé

Dans le bleu de tes yeux

Allemagne. 1943. Lanka est jeune femme qui ne connaît ni la faim ni la misère des temps de guerre cette période sombre qui ravage un pays désormais morcelé par des idéologies politiques abusives et totalitaires. Tout la prédestine à un avenir prodigieux, dans une lignée bien tracée. Elle pourrait épouser Hans, un riche Allemand dont l'environnement est tout aussi aisé, qui n'a d'yeux que pour elle. Mais ce n'est pas le choix que son coeur a fait. Elle rencontre par le pur des hasards Isaiah, un jeune homme juif sans argent et sans biens, hébergé avec sa famille chez des résistants antinazis. Ils tombent vite amoureux et deviennent inséparables, malgré les interdits qui leur sont posés. Mais le destin, lui aussi imprévisible, en décide autrement. Dénoncés par un voisin, Isaiah et sa famille sont déportés avec d'autres inconnus tout aussi innocents vers les camps de concentration. Lanka voit, impuissante, celui qu'elle aime s'éloigner d'elle. Sans nouvelles de lui, elle refuse tout de même de perdre espoir, s'accrochant à la promesse qu'il lui a faite ce soir-là : " Ne pleure pas, ma belle. Je reviendrai. ". Et il ne lui avait pas menti. En mai 1944, Isaiah écrit sa première lettre : il ne l'avait pas oubliée.

11/2021

ActuaLitté

Non classé

Dans le bleu de tes yeux

MUSE Ma muse inspiratrice Les journées sont bien tristes Et les mots sans éclat Lorsque tu es loin de moi. Tu as su me combler D'un simple regard de toi Grâce à ton beau minois Que je ne cesse d'admirer. Tu es ma voix, ma beauté Pleine de sincérité, La lumière de ma nuit L'éclat de fin de vie.

09/2021

ActuaLitté

Non classé

Tout le bleu de tes yeux

A 30 ans, Sophie a-t-elle encore une chance de trouver l'amour ? Avec son tempérament de feu et son exigence envers les hommes, elle commence à en douter... En reconversion professionnelle, elle suit des cours du soir à l'université et fait la connaissance d'Alexandre, l'un des intervenants. Entre eux, l'attirance est immédiate. Elle est sous le charme, lui ne semble pas indifférent. Alexandre a cependant un défaut : il est totalement incapable d'exprimer ce qu'il ressent ; aussi va-t-il devoir déployer toute son énergie et son imagination pour la séduire. Mais quand les trois meilleures amies de Sophie s'en mêlent et que son père, un truculent Irlandais qui n'aspire qu'au bonheur de sa fille adorée, rentre dans la danse, la partie s'annonce compliquée. Nos deux célibataires sauront-ils saisir la chance qui s'offre à eux ?

04/2022

ActuaLitté

Non classé

La Licorne en Poésies d'Amour

Tes mains chaudes me conduisent à te désirer de plus en plus fort. Cette envie est tracée par le premier sourire. Alors je découvre le soleil près de toi, puis l'étreinte. En cet instant je ne vois que tes yeux, et je prie qu'enfin cesse le silence, je demande pardon, parce que ce délicat sourire anime en moi le frisson de la passion. Alors après le silence de la nuit, jaillit la joie d'écrire. Et je monte sur le bateau enchanté. Et si je t'aime jusqu'à ce que l'aube s'en aille, c'est parce que je repense à la pluie de mon enfance. Tous les deux nous pouvons dire : "le matin a encore chanté dans l'espace bleu de la nuit que le vent déchire". Et tout cela est possible parce que l'homme de mes nuits, de mes jours est un homme comme toi.

03/2022

ActuaLitté

Contes et nouvelles

Le ciel ouvert

Ces textes sont nés parce qu'il fallait bien écrire ce qui vient, au jour le jour, les gens, les livres, l'amour et son contraire, et puis les trains, les rencontres, l'effroi des dimanches, le grand émerveillement horizontal de nos étés, le gâchis et le désir possible, tout ce qui pendant des années exigeait des mots et a trouvé sa place sur Instagram, par bribes, par petites touches compactes, jusqu'à devenir cette histoire qui est toujours déjà commencée. Ici la solitude dans une chambre d'hôtel, là une voyageuse qui va au-devant de l'immensité de sa vie, le tapage des bars et leur petit peuple d'orpailleurs, et puis la mer, les villes entrevues, les commencements et le bonheur intenable, les saisons, les draps froissés, les gueules de bois, l'attente, l'épreuve des corps, l'enfance et toujours ce temps qui fait défaut, notre besoin qui crève le ciel et ce seul mot d'ordre qui court de phrase en phrase : "Accroche-toi, surtout ne cède rien de ta joie". A l'orée des grands incendies, nous aurons au moins eu ça, la bière, le sel et la pénombre d'une chambre où l'on marche pieds nus, nos veilles aux yeux plissés et le petit matin à trente-deux degrés déjà, les draps qui claquent dans le vent dehors et le bleu de la mer, nos engueulades et la catastrophe de tes reins. C'est assez de souvenirs pour dix romans et nos deux vies.

02/2024

ActuaLitté

Littérature française

Le Portail grand ouvert

"Moi, j'ai un peu honte d'en redemander et d'ouvrir les anciennes blessures mais je me dis qu'il faut que je recueille une grande partie de ce qu'il a vécu, avant, pendant et après la guerre jusqu'au bout de son existence. Du reste, il m'a déjà vu écrire sur un grand cahier d'écolier. — Qu'est-ce que tu fais ? Tes devoirs de vacances ? — J'écris ce que tu m'as raconté hier après-midi — Si tu commences à écrire tout ce que je te raconte, t'as pas fini avec mes bêtises ! Prends donc le vélo bleu et va au cinéma, je sais pas moi, promène toi dans les pins, va sur le bassin, fais quelque chose de tes après-midi du dimanche, c'est mieux que de m'entendre ou que de te brûler les yeux sur tes cahiers et de t'user les doigts avec tes crayons. Et qu'est-ce que tu vas en faire de toutes tes pages ? — Je ne sais pas, lui dis-je. Je les conserve. — Ah ! Et ça sert à quoi de les garder ? — Peut-être qu'un jour je les réunirai avec les feuillets que tu as écrits toi-même avec ceux de mon père. — Et après, t'en feras quoi ? — J'en ferai quelque chose en tout cas. — Ah ! Parce que tu crois que ça va intéresser quelqu'un ton quelque chose ? C'est des vieilles histoires tout ça. Mais qu'est-ce que je fais encore là à te raconter mes aventures de je sais plus trop quoi ? A cette heure-ci je devrais être au cimetière comme tout le monde ! En fait, le soir, je préfère reprendre où j'en suis de mon cahier, loin de son regard où, jusqu'à la nuit noire, j'y vois se refléter les contours cabossés de sa jeune vie, loin de lui que je laisse repartir dans ses souvenirs, au fil de sa mémoire partagée avec tant d'autres hommes du pays des vivants et des morts. Des bêtises, quoi ! Patrick Ducome a pris comme personnages principaux, un soldat qui fut mobilisé durant toute la durée de la Première Guerre mondiale ainsi qu'un garçon né en 1950. A travers le regard de cet adolescent, le lecteur apprendra bien des choses sur ce que fut l'existence de ces êtres qu'il suivra jusque-là où ils vivaient. Il franchira un portail grand ouvert qui donne sur un récit où s'entremêlent des inconnus, des célébrités, des personnes attachantes malgré leur part d'ombre, depuis le départ de Bayonne en été 1914 des Basques, Béarnais et Landais jusqu'à nos paisibles jours. L'auteur a volontairement distancié son personnage de tous ceux qu'il a pu rencontrer. Ce sont eux qui portent leur histoire, eux qui font les évènements du récit et non plus le narrateur. Ici, l'écriture dans sa musicalité rattrape le lecteur par rebonds et par ellipses dans un cheminement qui, pour l'auteur, s'apparente à une "archéologie" de la mémoire.

09/2024

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté