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Cosimo Lisi

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Vois Lis, Voix Là : le podcast de ActuaLitté

Avec le développement fulgurant du livre lu, c’est toute une dimension audio qui se développe désormais dans le monde du livre. Ce qui devait pousser la rédaction à diversifier ses approches, avec la création d’un podcast dédié. Des livres, des auteurs, des lectures, des chroniques, et bien d’autres choses encore.

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Les mots en boite : le livre et ses secrets de cuisine

Capter l’information au mieux, donner la parole aux professionnels, de sorte qu’ils puissent raconter, expliquer, commenter : voilà tout l’enjeu de cette nouvelle émission. Dans la lignée des podcasts réunissant interviews ou chroniques d’albums jeunesse, avec Vois Lis Voix Là, ActuaLitté poursuit son exploration des territoires médiatiques avec la voix. Les Mots en boîte.

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Littératures de l'Imaginaire : questionner le monde de demain

Depuis le début de son aventure éditoriale en 2010, Scrineo a publié des romans imaginaires, portés par des auteurs et autrices exclusivement francophones – du steampunk à la dark fantasy, en passant par le fantastique et la SF. Les premiers titres ont permis de lancer une nouvelle génération comme Patrick McSpare et Olivier Peru, avec la série Les Hauts Conteurs (Lauréat du Prix des Incos 2012), Joslan F. Keller et Aurélie Laloum avec la série Via temporis et Marie Pavlenko et sa trilogie Le livre de Saskia

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Roman, BD, documentaires, albums : la littérature jeunesse parcourt l'Europe

Qu’est-ce qui témoigne de la vitalité d’une littérature ? Dans ce cas-ci, celle de la littérature jeunesse au Québec. Est-ce le nombre d’éditeurs ? On en compte plus d’une soixantaine. Le nombre d’ouvrages publiés par année ? Il y en a plus de 400. Les prix dédiés à ses créateurs ? On en compte une bonne douzaine. Ou alors l’attrait de ses créateurs pour des éditeurs étrangers ?

Extraits

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Géograhie urbaine

Paris capitale coloniale. Cartographie, colonialisme, rénovation urbaine

L'espace produit par la modernité est celui qui fut nommé par Henri Lefebvre " l'espace abstrait ". Produit de l'Etat moderne, cet espace est structuré par la violence. Violence de prédation : celle de l'accumulation primitive du capital, destructrice de tous les mondes qui ne sont pas compatibles avec ou qui résistent à la logique capitaliste. Violence d'homogénéisation : celle qui nie les différences tout en fragmentant et hiérarchisant les existences. L'espace abstrait est l'espace " neutre " ou neutralisant, qui est assigné aux classes moyennes, mais aussi l'espace de ségrégation (néo-) coloniale et de hiérarchisation. Ce livre analyse la production violente de l'espace abstrait à partir de l'histoire de la construction d'un dispositif d'intervention spatiale ayant structuré Paris selon une logique cartographique : la rénovation urbaine. Ce dispositif, déployé massivement par Haussmann, trouve sa logique systémique dans la rénovation fonctionnaliste-gaulliste des Trente glorieuses, son origine dans l'histoire coloniale et sa place dans les processus d'accumulation du capital. Notre analyse se concentre sur Paris et sa banlieue. En effet, si les interventions spatiales de l'appareil d'Etat ont touché en profondeur la campagne française et l'ensemble du territoire national, la rénovation urbaine a surtout visé Paris et sa banlieue. La rénovation urbaine se présente tout d'abord comme une bataille continue de l'Etat contre Paris - le Paris populaire, le Paris communal - et comme sa transformation progressive en " capitale ", centre du dispositif cartographique. Le Paris populaire, qui s'est souvent manifesté dans l'histoire comme le Paris ingouvernable, était ce qui devait être dominé, domestiqué ou expulsé.

01/2024

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Littérature Italienne

Cosima

Dernier roman de Grazia Deledda, publié après sa mort en 1937, Cosima était encore inédit en français. Dans ce texte ouvertement autobiographique, celle qui s'est vu attribuer le prix Nobel de littérature en 1926 porte un regard rétrospectif teinté d'émotion sur son enfance et son entrée en écriture. Cosima, son alter ego, rappelle l'environnement familial à la fois protecteur et strict, les récits légendaires qui ont très tôt alimenté son imaginaire, le fascinant pouvoir d'attraction de la nature sarde environnante, source d'émerveillement et de sauvagerie, L'éveil des sentiments et surtout la découverte fondatrice de la lecture. Car dès lors, en dépit du qu'en-dira-t-on tenace à l'époque, la jeune fille mettra en oeuvre toute son audace pour suivre sa passion et imposer sa voix dans un monde Littéraire qui lui était pourtant si peu familier. Roman de formation unique, Cosima offre un témoignage précieux sur la naissance d'une grande écrivaine.

04/2021

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Lecture 9-12 ans

Moi, Cosmo

Rencontrez Cosmo, un golden retriever qui adore la famille qui l'héberge et la nourriture. Hélas, les parents de son jeune maître chéri, Max, sont sur le point de divorcer... Cosmo ne veut pas que sa famille vole en éclats, et va tout faire pour la sauver. L'idée géniale de Cosmo : participer à un concours de danse. Le plan d'enfer pour leur rappeler les soirées qu'ils passaient à danser en famille !

01/2020

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Littérature française

Cosima, femme électrique

Dans ce livre, Cosima Wagner raconte sa vie, avec les paroles de Christophe Fiat, comme en voix off. Fille de Franz Liszt et épouse de Richard Wagner, femme adultère et mère de famille hantée par la mort, Cosima joue un rôle déterminant auprès de Wagner, inspirant, encourageant, organisant la vie du compositeur dont elle a compris, avant tout le monde, l’ampleur du génie. Sous la plume de Christophe Fiat elle apparaît comme le modèle même de la femme émancipée du début du XXe siècle, une héroïne de notre temps. Elle se sent à l’étroit dans sa vie domestique, va au bout de sa passion, dirige avec poigne le festival de Bayreuth, première industrie culturelle de l’histoire, jusqu’en 1930, année de son décès, et mêle son destin au devenir artistique, intellectuel et politique de l’Europe, dans son versant le plus flamboyant comme le plus tragique. L’histoire s’achève après Cosima, avec le sombre destin de Bayreuth et de la famille Wagner pendant la Seconde Guerre mondiale. L’auteur convoque dans les toutes dernières pages du livre, l’inoubliable film de Visconti, Ludwig ou le Crépuscule des dieux, que Cosima, sous les traits de Silvana Mangano, traverse comme un soleil noir. Ni biographie, ni essai, ce roman sérieusement documenté est un hommage à l’énergie d’une femme « électrique ». Un hommage mais qui n’occulte pas les parts d’ombre de Cosima, dont un antisémitisme féroce. Christophe Fiat – l’une des voix les plus singulières de la littérature contemporaine – prolonge ainsi son univers fait de fascination et de relecture des grands mythes du XXe siècle.

04/2013

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Littérature Italienne

Le Roi Zosimo

Voici l'histoire de Michele Zosimo, un jeune paysan sicilien dont les archives nous disent qu'au début du XVIIIe siècle il devint roi éphémère de Girgenti, l'ancienne Agrigente, après avoir désarmé la garnison piémontaise. Avec verve et verdeur, Andrea Camilleri brosse le portrait, tantôt désopilant, tantôt dramatique, d'un personnage d'exception - des circonstances rocambolesques qui ont suscité sa naissance jusqu'à son engagement pour défendre le peuple contre les abus de pouvoir, en passant par ses années de jeunesse prodige, bercées par l'instruction que lui donne le père Uhù, un ermite illuminé, grand expert en diableries. Tour à tour récit historique et biographie impertinente, ce livre campe la société sicilienne sous la domination espagnole, partagée entre un monde paysan qui vit toujours au seuil d'une misère noire, et une minorité d'aristocrates, grands propriétaires terriens inféodés à l'autorité du vice-roi et particulièrement soucieux de défendre leurs privilèges et leurs revenus. Mélange d'anticléricalisme vigoureux, de fantastique, de drôlerie gaillarde servis par une langue explosive, il fait aussi la part belle à la tendresse.

01/2005

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Ecrits sur l'art

Piero Di Cosimo ou la forêt sacrilège

" Avec Piero di Cosimo, l'incroyable est arrivé : grâce à Vasari, qui fut le premier et le dernier à le célébrer au XVIe siècle, les chercheurs et les historiens du XIXe et du XXe siècle ont tenté de reconstituer ce qui est resté de son oeuvre dispersée et que l'on attribuait souvent à d'autres peintres. L'énigme a resurgi, mutilée mais impressionnante par sa singularité : les surréalistes ne s'y trompèrent pas, qui furent les premiers à lui rendre hommage. " C'est dans cette lignée qu'il faut replacer l'essai d'Alain Jouffroy, premier livre français consacré à Piero di Cosimo, paru d'abord en 1982 dans la collection L'Atelier du merveilleux de Robert Laffont, où des écrivains de renom célébraient des artistes rares. Aussi ancienne, sinueuse et fragmentée que l'oeuvre aujourd'hui attribuée au peintre florentin, cette généalogie n'encombre pourtant pas Alain Jouffroy. Abreuvé aux recherches des érudits, celui-ci fait le choix de la subjectivité : " Je pleure, je ris, je veille et je suis sourd aux appels d'un homme extraordinairement ex-centrique, qui a situé le centre de tout hors de tous les cercles où pourrait subsister ce qu'on appelle un "centre". " C'est de fait son oeuvre profane et mythologique qui intéresse Jouffroy, au détriment d'une oeuvre religieuse dans laquelle il décèle une concession du contemporain des Médicis et de Savonarole " à la malveillance du pouvoir des princes et à la surveillance de l'Inquisition ". Ce n'est pas pour rien qu'il dédie son livre André Breton, défenseur des " briseurs de barrières " et auteur avec Gérard Legrand de L'Art magique : " Piero di Cosimo, affirme-t-il, n'a pas peint ces tableaux pour nous rassurer, mais pour dialoguer avec nous dans un autre langage que celui de la raison : un langage plus exact que celui des mots, où l'ordre que nous croyons par notre pensée introduire dans le chaos du monde est entièrement remis en cause, mais en douceur. " Vénus, Mars et amours, La Mort de Procris, La Chute de Vulcain ou Hylas et les Naïades, Vulcain et Eole, Combat des Centaures et des Lapithes, Persée libérant Andromède... : autant de tableaux qui doivent leur titre à l'iconologie et que Jouffroy scrute à frais nouveaux, avec passion autant qu'avec prudence, pour finalement y déchiffrer " un probable mouvement d'opposition clandestin aux dogmes de la philosophie néo-platonicienne à la mode, comme aux pouvoirs religieux et civils de l'époque ", l'oeuvre d'un " nostalgique du triomphe sur l'impossible, qui aurait trouvé le moyen de s'exiler dans sa propre cité ". Toiles longues et basses d'où le ciel de la transcendance est presque absent ; scènes de chasse, de combats et d'amours sensuelles et meurtrières célébrant l'existence terrestre ; rêveries d'un homme que Jouffroy présente à la suite de Vasari comme un demi-ermite pour qui la peinture fut le moyen de penser à l'écart.

05/2021

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