Recherche

Cochise, chef des Apaches chiricahuas

Rédacteurs

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Des romans jeunesse contemporains chez Scrineo

C’est avec Je suis Charliberté d’Arthur Ténor, un récit qui montre aux ados l’importance de la liberté d’expression, qui inaugure la collection Engagé, que Scrineo se lance dans les romans contemporains en 2016. Toujours avec une question de point du vue, l’idée est de parler aux jeunes lecteurs de sujets qui les touchent et auxquels ils peuvent être confrontés au quotidien.

ActuaLitté

Dossier

Le centenaire du chef-d’oeuvre de James Joyce, Ulysse

Précédé par une histoire éditoriale tumultueuse et légendaire, Ulysse, le chef-d’œuvre de James Joyce, fête en 2022 le centenaire de sa publication. C'est en France, à Paris, que le récit trouve en effet sa forme définitive, confié aux bons soins de Sylvia Plath.

ActuaLitté

Dossier

L'oiseau moqueur de Harper Lee, un chef d'oeuvre à la peau dure

L’histoire que raconte Jean Louise Finch, alors âgée de six ans, est devenue l’un des plus grands classiques de la littérature américaine. To Kill a Mockingbird, prix Pulitzer Littérature 1961, un an après sa sortie, est réputé pour son humour et sa chaleur, alors qu’il traite de viol et d’inégalité raciale.

ActuaLitté

Dossier

La collection de livres audio chez Actes Sud

AUDIOLIVRE – La lecture à haute voix, par les auteurs ou par les comédiens, fait depuis longtemps partie de la culture d’Actes Sud. Au-delà du livre imprimé, il s’agit de continuer à servir les textes, de les faire découvrir sous une autre forme, celle de l’oralité.

ActuaLitté

Dossier

Chez Label Emmaüs, des livres à petits prix et de la solidarité

Sur la plateforme Label Emmaüs, un impressionnant catalogue de plus de 2 millions de livres d'occasion est référencé par des personnes en insertion professionnelle. Des livres qui proviennent des dons faits par des particuliers aux diverses structures Emmaüs et ressourceries réparties sur le territoire.

ActuaLitté

Dossier

Affaire Renaudot : un auteur autoédité chez Amazon qui dérange

Depuis 1926, le prix Renaudot n’aura jamais autant fait parler de puis qu’en cette édition 2018. La présence d’un ouvrage autopublié chez Amazon, manifestement chouchou de Patrick besson, fait désordre. 

Extraits

ActuaLitté

Indiens

Cochise, chef des Apaches chiricahuas

Cet ouvrage d'Edwin R. Sweeney est la première biographie de Cochise, le chef le plus puissant, le plus craint et le plus respecté de tous les Apaches, et peut-être bien de tous les chefs Indiens du XIXe siècle. Il fut le seul à réunir sous son unique commandement les quatre bandes de sa tribu, les Chiricahuas, mais aussi d'autres groupes apaches et parfois des Navajos pour affronter deux Etats du Mexique et les Etats-Unis. Né parmi la bande des Chokonens vers 1810, dans les Dragoon Mountains au sud-est de l'Arizona, il prend leur tête au milieu des années 1850. L'autorité de ce maître stratège, orateur envoûtant, lui rallie bientôt les Chihennes de Mangas Coloradas puis de Victorio, les Nednhis de Juh, et les Bedonkohes du farouche guerrier Geronimo. Vénéré des Apaches, il fascine aussi les Blancs. Mais en février 1861, la tragique affaire Bascom où il est injustement accusé du rapt de l'enfant d'un fermier, puis la bataille d'Apache Pass des 15 et 16 juillet 1862, lancent une guerre implacable, incessante qui durera 12 ans. Le seul nom de Cochise résonne dès lors tel un tocsin dans les coeurs terrorisés des populations, inquiète les militaires. Prié par le président Ulysses S. Grant en personne de venir négocier à Washington il refusera, proposant aux émissaires que ce dernier vienne le voir au sommet d'une montagne. Toutefois, pour sauver des vies et préserver sa "Terre Spirituelle" , son Apacheria, il signe en octobre 1872 grâce à l'intermédiaire de Thomas J. Jeffords, son seul ami blanc de confiance, un traité de paix avec le général Oliver Otis Howard. Deux ans plus tard le 8 juin 1874, malade, Cochise décède. Son fils aîné Taza lui succède mais à sa disparition, en 1876, son frère Naiche, s'il devient le chef héréditaire des Chiricahuas, se laissera souvent dominer par Geronimo. Une nouvelle guerre apache éclate, héroïque mais illusoire. La paix de Cochise est bien morte. Réserves inhospitalières, déportation en Floride en 1886, tel se dessine désormais le terrible destin des Chiricahuas qui demeureront prisonniers de guerre jusqu'en 1913. Né en 1950 à Boston, Edwin Russell Sweeney est l'auteur de nombreux livres et articles sur les Indiens du sud-ouest des Etats-Unis. Ses biographies de Cochise et Mangas Coloradas font autorité dans le monde anglo-américain et dans toute l'Europe.

04/2023

ActuaLitté

Indiens

Faire la paix avec Cochise. Journal de 1872 du capitaine Joseph Alton Sladen

S'il y eut au XIXe siècle, au plus fort des guerres indiennes, une mission en laquelle personne ne croyait, c'est bien celle que mena le général de brigade Oliver Otis Howard pour négocier une paix avec le chef apache Cochise. Eté 1872. La Maison-Blanche considère qu'il est temps de mettre fin aux guerres apaches. Aux yeux du président républicain Ulysses S. Grant, Cochise, chef des Apaches chiricahuas, est le seul interlocuteur de cette tribu ayant assez d'autorité et d'ascendant sur les siens pour être à même de négocier sérieusement une paix. Le chef chiricahua tient tête depuis douze ans aux troupes américaines, mais aussi mexicaines. La "Guerre de Cochise" répand la terreur en Arizona et au Nouveau-Mexique et commence à coûter cher en vies, en dollars et ralentit fortement la "marche du progrès" . Même s'il reste souvent maître du terrain, le grand chef est conscient que chaque affrontement se termine par trop de morts dans les rangs chiricahuas. Par l'intermédiaire de son seul ami blanc, Thomas Jonathan Jeffords, Howard, en qualité de représentant du président Grant, assisté de son aide de camp Joseph A. Sladen, met sur pied une mission de paix. Jusqu'à la signature du traité le 11 octobre 1872, Sladen tient au jour le jour son journal. Scrupuleux, détaillé, intelligemment rédigé, ce journal se révèle un véritable trésor pour tout lecteur et bien sûr pour les ethnologues et les historiens. En immersion au sein d'une tribu indienne en état de guerre, nous découvrons la vie quotidienne des Apaches, leurs lois de l'hospitalité. Et enfin, nous nous trouvons face à Cochise. Joseph Alton Sladen (1841-1911) outre qu'il fut un vétéran des armées de L'union durant la guerre de Sécession effectua des études en médecine. Très tôt il devint l'intendance du général Oliver Otis Howard. Il sera jusqu'à la mort de ce dernier en 1909 son fidèle aide de camp. Edwin R. Sweeney qui a établi l'édition et l'appareil critique du Journal est l'auteur des biographies de Cochise et de Mangas Coloradas parues dans la présente collection.

10/2023

ActuaLitté

Histoire internationale

Géronimo

" Lorsque Usen créa les Apaches, il leur donna un pays qui se situe à l'ouest. Cela eut lieu au début de la Création : car Usen créa simultanément le peuple apache et son pays. Quand viendra le jour où les Apaches seront séparés de leur terre, ils tomberont malades et mourront. Combien de temps s'écoulera-t-il avant qu'on dise qu'il n'y a plus d'Apaches ? " Né sur les rives de la Gila River, dans l'actuel Nouveau-Mexique, au sein de la tribu des Apaches chiricahuas, Geronimo (vers 1823-1909) n'a jamais été chef. Guerrier belliqueux, stratège hors pair, ce fut avant tout un chamane influent et redouté. Après avoir rompu l'accord de paix négocié par Cochise, il s'enfuit à plusieurs reprises de la réserve où il était assigné et organisa des raids meurtriers au Mexique, en Arizona et au Nouveau-Mexique. Dernier guerrier apache à se rendre en septembre 1886, face à une armée de neuf mille soldats, il fut déporté avec les siens en Floride puis en Oklahoma. Converti au christianisme, devenu fermier, il mourut d'une pneumonie à Fort Sill.

10/2007

ActuaLitté

Histoire internationale

J'ai combattu avec Geronimo

De sa prime jeunesse à presque l'avant-dernière année de sa vie mouvementée, en 1959, ce cousin de Geronimo que fut le centenaire apache chiricahua Jason Betzinez nous relate, du côté indien, ses dernières années de liberté puis de captivité en tant que prisonnier de guerre. Sur un ton allant de la chronique au récit - et parfois même relevant de la confidence familiale et ethnographique - nous suivons Betzinez dans les ultimes combats de Geronimo contre les Mexicains et les Américains, jusqu'aux successives assignations à la réserve de San Carlos et de leurs non moins successives et rocambolesques évasions qui, juste après la reddition de Geronimo en 1886, mèneront tout droit les Chiricahuas dans le train de la déportation en Floride. Betzinez se souvient des grands chefs : l'ombre céleste de Cochise, la puissance guerrière de Victorio ; il se remémore dans le détail les courses dans le désert et les montagnes, les performances de Geronimo, tout comme les coups de folie et de férocité de ce dernier. Enfin, de ces années de captivité jusqu'en 1914, puis de son existence jusqu'à l'âge de 99 ans, il nous conte ce que fut la vie des Chiricahuas, et la sienne comme Apache "intégré" à l'Amérique et lucide sur les temps nouveaux qui faisaient table rase de son passé, des Apaches. Né en 1860 à Canada Alamosa au Nouveau-Mexique, Betzinez a été dès les années 1920 un excellent fermier et un forgeron réputé de l'Oklahoma où, avec quelques autres Chiricahuas, il avait choisi de rester après la libération de la tribu. Jason Betzinez mourra à peine une année après avoir achevé ce récit, le 1er novembre 1960. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Thierry Chevrier

11/2019

ActuaLitté

Littérature anglo-saxonne

La flèche brisée. Le roman de Cochise

Fruit de recherches minutieuses d'informations de premier plan, Elliott Arnold s'est attaché, dans cette grande fresque à la fois épique, littéraire et historique, à mettre en relief la figure du personnage le plus emblématique d'une des tribus indiennes les plus puissantes et redoutées de la seconde moitié du XIXe, celui qui fut loyal, craint et respecté autant par les Apaches que par les Américains : Cochise. En 1848, les Apaches chiricahuas, qui vivent dans le futur Etat de l'Arizona, ont à leur tête ce chef vénéré et puissant. En guerre depuis plus d'un siècle avec le Mexique, les Apaches s'inquiètent de l'arrivée en nombre des Américains. Pris entre deux armées, de deux grands pays, Cochise parvient à contenir la fougue de ses jeunes guerriers pour maintenir à bout de bras une paix qui épargne des vies apaches. Mais quand, en 1861, les Chiricahuas sont accusés à tort du rapt d'un enfant, le feu est mis aux poudres et provoque la célèbre guerre de Cochise qui durera onze ans. Sa rencontre avec Thomas J. Jeffords et les liens d'amitié qu'ils noueront, permettront à Cochise de changer le cours de l'Histoire et, à nouveau, de sauver de nombreuses vies apaches grâce au traité de paix de 1872. En 1949, quand Delmer Daves porte, avec James Stewart et Jeff Chandler, le livre d'Arnold à l'écran, il en fait l'un des premiers westerns qui pose un regard différent et favorable aux Indiens d'Amérique du Nord. Elliott Arnold, né en 1912 à New York, est mort en 1980. Journaliste et grand reporter, membre de l'US Air Force, il écrit et publie de nombreux romans traduits dans plusieurs langues. Elliott Arnold demeure un des auteurs américains de romans historiques les plus solidement documentés.

04/2024

ActuaLitté

Histoire internationale

Au temps de Victorio. De mémoire apache

James Kaywaykla, Apache warm spring, a vécu suffisamment longtemps pour pouvoir raconter l'histoire de sa tribu. Né en 1877, il faisait partie de ces enfants Apaches qui, dès leur plus jeune âge ont été, avec leurs familles, perpétuellement en alerte, bringuebalés dans les vastes contrées de la Sierra Madre, de l'Arizona et du Nouveau-Mexique au gré des combats qui ont émaillé les guerres menées par Victorio, Nana, Juh puis Geronimo, avant d'être, avec tous les Chiricahuas, déportés en Floride en 1886. L'intérêt et la passion que les Apaches ont suscités chez Eve Bali, font qu'elle a consacré une grande partie de sa vie à faire connaître leur histoire en consignant les paroles de ceux avec lesquels elle a pu s'entretenir. James Kaywaykla a été l'un de ses principaux interlocuteurs. La bande de Kaywaykla, les Chihennes du groupe des Warm Springs, appartient à la grande tribu des Chiricahuas. Au début de ce récit, cette bande est dirigée par le digne successeur de Mangas Coloradas, Victorio, un chef qui a exercé sur son peuple presque autant d'ascendant et d'autorité que Cochise. Eve Bali rapporte ici la version que Kaywaykla et ses proches ont de leur histoire entre 1878 et 1963, année de la mort de Kaywaykla. Après la disparition de ceux qui racontèrent à Bali les événements, les générations qui ont suivi n'eurent plus l'occasion d'apprendre l'histoire de leur peuple à travers un récit de première main comme celui-ci."

09/2014

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté