Carl Spitteler

Cher lecteur, tu n'y fais peut-être pas attention, mais les articles d'ActuaLitté sont précédés et suivis de signatures diverses et variées, chacune attribuant la paternité de ces petits bijoux de style à un auteur différent. Une rédaction, quoi. Sur le livre. Ce qui n'a donc, a priori, rien, mais strictement rien à voir avec le hit de l'été, Call me maybe. [de la délicieuse Carly Rae Jepsen, notons-le, NdlR]

Otaku et otakette ! Fan de Manga ! Geek et geekettes de tous horizons : Vous venez d'ouvrir un compte à la société colonelle, au crédit rural, au BMP, à la Banque Facteur.... Vous venez peut-être de faire également l'acquisition d'une superbe carte toute brillante et dorée !

Il se cache derrière ses lunettes noires, parce qu’il ne dort que 4 heures par nuit. C’est le secret de son succès. Éteindre son téléphone, et écrire toujours. Pour la musique ou la littérature.

Une fin d’après-midi, un petit voilier aborde une plage déserte à l’extrémité méridionale de la Suède. Un homme relativement âgé en descend, tire l’embarcation sur la berge et, visiblement fatigué, s’étend pour un petit somme réparateur.

Voici un livre qui peut servir à tous. A toi l’ami de droite qui voit en tout homme de gauche une sorte d’adolescent attardé qui n’a pas encore saisi toute la réalité (la cruauté ?) du monde ;  à toi l’ami de gauche, ô homme supérieurement moral, qui en matière de justice, d’équité, de valeurs, a fait les bons choix tandis que les autres sont des salauds.

Né le 27 mars 1901 à Merrill et mort le 25 août 2000, Carl Barks a marqué d'une empreinte indélébile tout l'univers Disney, en créant l'un de ses personnages les plus remarquables et les plus appréciés, le richissime Picsou. Acariâtre et radin, le canard aux guêtres et aux favoris est aujourd'hui la figure indissociable de l'empire du dessin animé.

Une lettre ouverte sur les librairies fermées en France. Et une triste annonce de décès : l’exception culturelle française est morte. 

Pendant vingt ans en France, j’ai vécu souvent grâce aux Salons du livre, deux en moyenne par mois, bonheur non confiné qui me manque du contact avec lecteurs, adolescents, enfants, enseignants, bibliothécaires et libraires. 

Carl Aderhold a été désigné lauréat du Prix Europe 1 - GMF, créé en cette année 2020, pour son livre Le théâtre des nuits, publié par les éditions Stock. Cette récompense salue les ouvrages de femmes et d’hommes qui se mettent au service des autres et œuvrent à rendre notre société plus humaine. 

Visage perdu est l’un des derniers romans de Roger Vercel, paru en 1953, quatre ans avant sa mort. L’auteur de Remorques (qui a déjà fait l’objet d’une chronique sur les Ensablés) et de Capitaine Conan retrouve ici un thème qui lui est cher. Le courage qu’il faut pour affronter le quotidien.

Il y a quelque temps, on avait pu voir Carl Jung sous les traits de Michael Fassbender dans le film A Dangerous Method de David Cronenberg. Si comme beaucoup, vous avez été un peu déçu par le film, et son approche de la psychanalyse, vous pouvez regarder cette interview de Jung, réalisée en 1957. 

Mark Helius sait qu’il est en train de jouer gros face aux membres du Conseil d’Administration de la petite merveille d’entreprise d’informatique qu’il dirige.

« Dans treize ans, je serai centenaire. On ouvrira grande la porte du salon et les contemporains viendront me toucher. » Quand René de Obaldia publie Le Centenaire, en 1959, il a à peine quarante ans. Arrière-petit-fils du deuxième président de Panama, fils d’un consul et d’une mère Picarde, cousine de Michèle Morgan, né à Hong-Kong en 1918, Obaldia est surtout connu pour ses pièces de théâtre, Du vent dans les branches de sassafras ou Monsieur Klebs et Rozalie. Il est également poète, a écrit des chansons pour Luis Mariano, et depuis 1999, est entré à l’Académie française.

« Ouf,
            La bonne étape, le relais avant de s’élancer vers d’autres lieux, 
            à portée de main, en sortant de chez lui la première maison de la rue Granchois. »
Ainsi débute la grande aventure de Francis Dubalu, représentant de commerce la firme Breganti, qui part pour la première fois démarcher de nouveaux clients en province. 
Ce sont les éditions de La Grange Batelière dont on connaît le riche catalogue, qui ont eu la bonne idée de republier le premier roman de Bernard Waller. 
Initialement paru dans la prestigieuse revue NRF en novembre 1960 avant de connaître, un an plus tard les honneurs de la collection blanche, Dubalu est un texte d’une incroyable modernité, qui n’a pas pris une ride. 

Par Carl Aderhold

À une époque où tout et n’importe quoi peut être qualifié d’acte de terrorisme, voici une réflexion qui explique l’histoire du XXe siècle

C'est un livre joyeux et très drôle, à l'humour potache, aussi savoureux à raconter qu'à écouter.  Fantaisiste et coloré, d'une conception graphique très vivante et aérée, l'album semble déborder d'énergie.

Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) propose ce dimanche, 21 mars, une lecture en ligne avec le poète belge Carl Norac et la poète québécoise Hélène Leclerc dans le cadre d’un jumelage Québec/Wallonie-Bruxelles.

« Rien ne me semble plus délectable qu’une biographie qui permet de révéler nos “vrais grands” sous un jour peu favorable, qui établit que l’objet de notre admiration n’était en réalité qu’une sous-merde. » Mordecai Richler. 

Seul ou en compagnie de Friedrich Engels, Karl Marx a révolutionné l'étude de l'économie, en décryptant le capitalisme et l'exploitation du prolétariat. Du Capital, son œuvre-phare, à la Misère de la philosophie en passant par le Manifeste du Parti communiste, il est temps de lire et de redécouvrir le travail de Karl Marx, entré dans le domaine public et ainsi disponible gratuitement au format numérique.

Le monde de la mode vient de perdre une de ses figures les plus populaires, le couturier, photographe et réalisateur Karl Lagerfeld. Le créateur était aussi un fameux lecteur, bibliophile déclaré et même éditeur au sein de la maison 7L, qu'il avait créé en 2000 avec l'éditeur allemand Geghard Steidl. Retour sur les inspirations et créations littéraires de l'homme en noir...

Carlo Rovelli est physicien théoricien et compte parmi les initiateurs de la théorie de la gravité quantique à boucles, un sujet d'une difficulté mathématique effrayante. Pourtant, lorsque je l'ai rencontré et entendu dans une réunion interdisciplinaire, il s'est montré capable de parler de son travail de façon si claire qu'un adolescent de quinze ans l'aurait suivi de bout au bout.

« De ma vie je n'ai jamais fait que lire et dessiner », dixit Karl Lagerfeld, qui se raconte en lecture lors d'un

Une ville de garnison avec ce qu’il faut pour assurer le repos des guerriers qui n’ont encore finalement mené là aucune guerre.

Carla Bruni-Sarkozy « apaise » le président

BONNES FEUILLES - Une exploration profonde de la vie d'un maître de la mode aux multiples facettes Karl Lagerfeld, maître de l'autonarration, s'est toujours mis en scène. Il a construit un personnage énigmatique durant ses quatre-vingt-cinq ans, se transformant constamment pour éviter de se confronter à un passé douloureux. 

Plus politique encore que son précédent roman, Mapuche, un peu moins violent aussi peut-être (quoique?), mais toujours noir et désenchanté, Condor confirme, à travers une intrigue politico-policière efficace et saisissante (quasi journalistique), la force et la profondeur  de personnages, avides de liberté et de justice, en lutte pour le respect des droits de l'homme, redoutables défenseurs des minorités, acharnés dans leur traque des criminels de l'ancienne dictature, résolus à ne pas oublier et à châtier les coupables à tout prix.